Cette baisse, qui se fait sentir depuis le mois d’août, entraînera une perte nette de 5,2 milliards de dollars.
L’offre est supérieure à la demande. Cela est constatable lorsque l’on regarde le nombre de passagers par vols.
Le président de l’International Air Transport Association (IATA), Giovanni Bisignani, explique que la crise que traverse l’industrie n’a pas pu être anticipée.
La baisse du prix du carburant n’aide en rien, car celui-ci est encore 30 % plus cher qu’il y a un an.