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Nouvel appareil de contrôle glycémique approuvé pour les enfants diabétiques

Aux États-Unis seulement, il est estimé que 2,8 millions de personnes souffrent de diabète, dont 215 000 sont âgées de moins de 20 ans. La U.S. Food and Drug Administration a ainsi donné son accord au Dexcom G4 Platinum Continuous Monitoring System pour les jeunes, rapporte Webmd.com.

La FDA avait approuvé l’appareil uniquement pour les adultes. Le dispositif Dexcom G4 surveille en permanence le taux de glycémie de l’utilisateur, relevant les niveaux de sucre dangereusement élevés ou bas. Ce qui a probablement freiné l’association de santé, à priori, est le petit capteur inséré sous la peau du sujet.

C’est précisément la lecture du taux de glucose du capteur, combiné à l’analyse du dispositif externe, qui aide les médecins à déterminer un traitement adapté pour le patient, ainsi que la quantité d’insuline requise pour contrôler le diabète.

La FDA met cependant en garde contre l’efficacité du Dexcom G4 chez l’enfant, comparativement à l’adulte. « La performance chez les jeunes sujets n’a pas été aussi précise que lors des tests effectués chez les adultes. » Par contre, l’agence affirme que l’appareil demeure « efficace pour détecter les tendances et schémas du niveau de glucose ».

Les tests ont été effectués auprès de 176 jeunes volontaires de 2 à 17 ans.

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Un régime riche en fibres s’avère très efficace contre le diabète et l’obésité

MedicalNewsToday rapporte une étude qui confirme les bienfaits d’un régime alimentaire fort en fibres, notamment dans la prévention de certains troubles de la santé comme le diabète et l’obésité.

Si ces notions sont connues depuis longtemps par les spécialistes en santé et nutrition, il demeurait à démontrer le fait, puis à en expliquer la cause. Il semble que ce soit pratiquement chose faite, alors que des chercheurs français du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), en collaboration avec collègues basés en Suède, présentent les résultats de leurs travaux.

On apprend de ces derniers, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Cell, qu’une diète riche en fibres permet à l’intestin de produire des acides gras, et ce que les chercheurs appellent du « glucose synthétique ».

Relâchés plus tard dans la nuit ou entre les repas, ces éléments permettraient à l’intestin et au corps de déclencher une série d’actions qui protège contre le développement du diabète et de l’obésité, comme un plus grand sentiment de satiété, une dépense d’énergie accrue et une production moindre de glucose par le foie.

Des tests subséquents sur des souris ont confirmé cette théorie. Les rongeurs soumis à une diète plus riche en fibres démontraient une meilleure protection contre le diabète et une prise de poids moins grande que les autres.

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Déjeuner pour éviter le diabète

Voilà les trouvailles faites par la Dre Elizabeth Thomas de l’Université du Colorado lors d’une petite étude publiée par HealthDayNews.

Bien que les résultats de seulement 9 femmes d’âge moyen de 29 ans aient été analysés, ils ont montré une incidence directe. Les tests consistaient simplement en l’analyse des taux de sucre et d’insuline après le dîner.

Le premier jour, chaque femme avait aussi consommé un déjeuner. À ce moment, les taux se seraient montrés normaux. Le lendemain cependant, n’ayant pas ingéré de déjeuner, elles présentaient toutes une résistance à l’insuline, ce qui nécessiterait normalement une injection pour assurer l’équilibre du sucre dans le sang.

La Dre Thomas explique que bien que l’étude soit petite, les résultats sont très intéressants, même si le long terme n’a pas été observé pour le moment. En effet, si ces symptômes devenaient chroniques, les risques de souffrir de diabète augmenteraient.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’après un repas, le taux de glucose s’élève dans notre sang. C’est alors que notre système se met à libérer plus d’insuline, afin de convertir ce sucre en énergie. Si un déjeuner n’est pas consommé, le système aura besoin d’encore plus d’insuline pour gérer le prochain repas.

Alors que ces résultats sont en effet intéressants, ils ne démontrent qu’un lien, et non pas une causalité. De plus amples recherches devront être conduites afin d’approfondir celle-ci.

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Prévention des dommages cérébraux chez les nouveau-nés

C’est sur le site Medicalxpress que nous apprenons cette nouvelle. À la suite d’une récente recherche faite par les spécialistes de l’Université de Manchester, il serait démontré que même les bébés souffrant de la moins sévère forme d’hyperinsulinisme présenteraient des risques de handicaps à long terme ainsi que des dommages au cerveau.

L’hyperinsulinisme est caractérisé par un taux sanguin d’insuline qui dépasse la norme et, par le fait même, abaisse le taux de glucose qui, lui, cause de l’hypoglycémie. Il s’agit en fait du contraire clinique du diabète.

L’étude a démontré qu’on dénote des signes de dommage au cerveau causé par ce phénomène chez le tiers des enfants de bas âge.

Ayant participé à la recherche, la Dre Karen Cosgrove de la Faculté des sciences de l’université déclare : « Notre nouvelle recherche prouve qu’il est important pour tous les bébés souffrant de ce mal d’être rapidement traités afin de prévenir une trop grande baisse de sucre dans le sang ».

Alors que les répercussions peuvent être très importantes, il existe cependant de très bons moyens de prévenir le tout en réajustant le taux sanguin avec la découverte hâtive du problème.

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L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

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Le fructose est-il le véritable coupable du surpoids?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui porte encore une fois un blâme au fructose, un sucre retrouvé dans les fruits, qui se voit réutilisé mécaniquement dans une panoplie de produits retrouvés sur le marché, sous la forme notamment du sirop de maïs.

Cette fois, on suggère que le fructose pourrait bien être la cause principale de la hausse des cas d’obésité et des statistiques désastreuses concernant le poids moyen des Nord-Américains.

C’est qu’en plus d’être un sucre et de ne pas posséder de véritables vertus pour la santé, le fructose ne couperait pas non plus la faim. Ainsi, malgré de larges quantités ingérées, les gens seraient tout de même enclins à manger rapidement de nouveau pour aller finalement chercher ce sentiment de satiété.

Ce sont des chercheurs de l’Université Yale qui arrivent à ces conclusions, après avoir analysé les réponses cérébrales de 20 sujets types, des hommes adultes en santé, à la suite de la consommation de produits renfermant de fortes doses de fructose.

Les hormones associées à la satiété ne sont pas produites en grande quantité lorsque les sujets consomment du fructose. Pour les spécialistes, cela signifie que le cerveau envoie le message que le corps a encore faim, malgré des tonnes de calories déjà consommées.

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Le sirop de maïs blâmé dans plusieurs cas de diabète

Le sirop de maïs est un ingrédient utilisé abondamment par les grandes compagnies du domaine de l’alimentation, et il serait à blâmer dans plusieurs dossiers, dont celui de la hausse des cas de diabète en Amérique.

C’est que le produit possède une haute teneur en glucose-fructose, rapporte Santelog.com, et que celui-ci s’avèrerait toxique pour l’organisme, comme on l’apprenait récemment.

Peut-on éviter de consommer de trop grandes quantités de sirop de maïs? La réponse est oui, mais il vous faudra faire quelques sacrifices. Choisir un bon régime alimentaire permet d’éviter le problème partiellement, puisque l’ingrédient en cause se retrouve majoritairement, vous l’aurez compris, dans les desserts et autres produits du sucre.

Par exemple, les biscuits, la crème glacée et les fameuses boissons gazeuses ont tous des teneurs en glucose-fructose beaucoup trop élevées.

Une étude qui analyse les habitudes de consommation de 43 pays dévoile que ceux qui utilisent des quantités abondantes de sirop de maïs dans leurs produits voient leur taux de diabète grimper de 20 % dans la population.

Difficile de nier le lien direct entre ces ajouts et la montée fulgurante du diabète, de type 2 notamment, à travers l’Amérique du Nord.

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Le sucre vilipendé par les spécialistes

On le savait, le sucre n’est pas l’ingrédient le plus bénéfique pour la santé. Ses effets néfastes sont connus partout, à commencer par sa propension à faire prendre des kilos en trop.

Voilà que des chercheurs de la communauté scientifique mondiale attaquent les propriétés du sucre de façon beaucoup plus agressive, le taxant même d’être carrément « toxique ».

C’est ce qui ressort de plusieurs recherches et études, selon ce que rapportent plusieurs sources, dont radio-canada.ca.

Celles-ci tendent à démontrer que la consommation de sucre de façon « chronique », quotidienne, aurait des effets dévastateurs sur la santé. Le sucre peut non seulement vous rendre malade, mais aussi faire varier vos humeurs, augmenter la fatigue ainsi que la faim, et déclencher des maladies chroniques.

Le principal accusé dans cette affaire est le glucose-fructose, un ingrédient artificiel de plus en plus utilisé par les grandes compagnies et multinationales alimentaires de ce monde, entre autres pour ses faibles coûts de production.

On somme la population de réduire le plus possible la quantité de sucre absorbée dans une journée et de bien lire les ingrédients de ce que vous consommez.

On estime que la consommation quotidienne de sucre des Québécois se situe entre 26 et 41 cuillérées par jour!

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Le sucre protège de la neurodégénérescence, mais il a un prix

De nombreuses études ont mentionné par le passé que la restriction calorique permettait d’avoir une meilleure santé et une espérance de vie plus longue.
 
Des chercheurs du Centre de recherche du CHUM ont alors cru que comme certains troubles neurodégénératifs, comme la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson, sont liés au vieillissement, une restriction calorique permettrait de ralentir ces maladies, mais la surprise a été de taille.
 
En fait, selon les expériences menées avec des vers C. elegans, le sucre aiderait à protéger contre la neurodégénérescence. « À notre grande surprise, on a observé chez les vers traités avec des niveaux élevés de glucose une réduction importante de la neurodégénérescence, et ce, dans tous nos modèles », mentionne le professeur Alex Parker à Radio-Canada.
 
Le problème est que les vers qui ont eu moins de neurodégénérescence ont vécu moins longtemps et en moins bonne santé.
 
Les scientifiques doivent donc trouver un moyen de profiter pleinement de l’effet protecteur du sucre, en évitant toutefois de devoir subir ses effets néfastes sur la santé.
 
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Quand diabète rime avec malformations congénitales

Les femmes enceintes atteintes de diabète sont presque quatre fois plus à risque de donner naissance à un bébé qui aura une malformation congénitale, comme les maladies cardiaques et le spina-bifida.

Environ un bébé sur 13 subira ce sort lorsqu’il a une mère qui est touchée par un diabète de type 1 ou 2, si l’on compare à un bébé sur 50 pour ceux qui n’ont pas de mères diabétiques.

Cas moins alarmant cependant, la grande majorité des grossesses chez les femmes atteintes de diabète ne comportent aucun défaut de naissance, selon les spécialistes.

Selon les médecins de Charity Diabetes au Royaume-Uni et l’étude menée par des chercheurs de l’Université de Newcastle et du Bureau de la maternité de l’Enquête régionale, les femmes atteintes de diabète devraient demander des conseils pour le bon contrôle du glucose dès leur premier examen chez le médecin.

De plus, les spécialistes suggèrent aux femmes diabétiques de se protéger sexuellement, tant et aussi longtemps qu’elles n’ont pas prévu de prendre des suppléments d’acide folique en prévision de tomber enceintes.

Ils expliquent : « C’est parce que certains médicaments pris par des personnes diabétiques de type 2 peuvent causer des problèmes dans le développement du fœtus que des doses plus élevées d’acide folique sont nécessaires pour les femmes atteintes de diabète, afin de réduire le risque de complications telles que le spina-bifida ».

Pour les spécialistes, les risques de malformations congénitales peuvent être grandement réduits si des précautions sont prises tôt.

Les femmes qui développent un diabète gestationnel pendant la grossesse n’ont pas été ciblées par cette étude.