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Les cas de gonorrhées en hausse au Québec

Depuis un peu plus d’un an, les cas de gonorrhées diagnostiquées sont en hausse au Québec, ce qui inquiète grandement les autorités de la santé du Québec.

C’est le constat alarmant que rapporte La Presse, alors que des experts croient qu’il est temps d’agir. Surtout que si la tendance se maintient, on pourrait voir apparaître sur notre territoire une souche de la maladie qui s’avère incurable.

« On voit apparaître des souches de gonorrhée qui ont une sensibilité réduite aux céphalosporines… On s’approche du seuil où ce sera préoccupant. Il n’y a pas beaucoup d’autres options », lance Brigitte Lefebvre, du Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ).

En chiffre, la hausse des cas de gonorrhées se traduirait par une augmentation de 407 % depuis 1997!

« C’est clair que le nombre est sous-estimé, parce qu’on ne teste pas tout le monde », déclare quant à lui le Dr Côté.

La maladie touche beaucoup les 20-29 ans, et les autorités rappellent l’importance de se protéger lors des rapports sexuels. Il reste manifestement encore beaucoup de travail en prévention et en sensibilisation au Québec…

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La gonorrhée devient résistante aux traitements

Des chercheurs suédois viennent de découvrir une nouvelle souche de gonorrhée et malheureusement, cela n’augure rien de bon.
 
Cette souche est résistante à tous les traitements offerts en ce moment, ce qui veut dire qu’elle pourrait se propager rapidement dans le monde.
 
La gonorrhée est une ITS (infection transmise sexuellement) très fréquente. Malheureusement, 50 % des femmes infectées et 2 à 5 % des hommes présentent des symptômes de l’infection.
 
Non traitée, la gonorrhée peut entraîner des complications graves ou même permanentes, comme l’infertilité. La nouvelle souche n’est donc pas une bonne nouvelle.
 
« Il s’agit d’une découverte à la fois alarmante et prévisible. Depuis que l’usage d’antibiotiques est devenu le traitement privilégié pour traiter la gonorrhée, au cours des années 40, la bactérie s’est montrée particulièrement habile à développer des mécanismes de résistance aux médicaments », dit le Dr Magnus Unemo par voie de communiqué.

« Bien qu’il soit encore trop tôt pour déterminer dans quelle mesure la nouvelle souche s’est répandue, l’historique de cette bactérie suggère qu’elle pourrait se propager rapidement en l’absence de nouveaux médicaments et de programmes de prévention appropriés », conclut-il.

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La gonorrhée de plus en plus résistante aux antibiotiques

La gonorrhée, une infection transmise sexuellement (ITS), est de plus en plus résistante aux antibiotiques. C’est ce que constatent des chercheurs américains et britanniques, rapporte le site MyHealthNewsDaily.
 
En 2009, le quart des souches testées aux États-Unis étaient résistantes à des traitements communs comme la pénicilline, la tétracycline et les fluoroquinolones. Pour les premiers chiffres de 2010, les données sont encore plus pessimistes, car la maladie est résistante à encore plus de traitements courants.
 
Les chercheurs examinent de nouvelles stratégies pour prévenir l’apparition de souches résistantes. Ils conseillent vivement aux personnes sexuellement actives d’utiliser des préservatifs et de passer régulièrement des tests de dépistage d’ITS.
 
Une gonorrhée qui n’est pas traitée peut s’étendre dans le sang, dans les articulations et même entraîner la mort. Malheureusement, les symptômes sont généralement invisibles. Cette ITS peut aussi causer l’infertilité, des douleurs pelviennes pour les femmes et l’épididymite (maladie des testicules) chez les hommes.
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La gonorrhée de plus en plus résistante

À travers le monde, les médecins doivent trouver un nouveau moyen de combattre la gonorrhée, car elle se fait de plus en plus résistante aux médicaments.
 
Depuis les années 1970, cette infection transmissible sexuellement (ITS) évolue afin de survivre aux différents traitements, dont la pénicilline et la doxycycline.
 
La semaine prochaine, les experts de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) vont se réunir afin d’évaluer les nouvelles options possibles. Il pourrait être envisageable que les médecins doivent prescrire plus d’un médicament pour combattre la maladie.
 
Par contre, certains médecins craignent qu’un traitement complexe contribue à faire augmenter le nombre de cas. Si le traitement est trop compliqué, les patients pourraient l’abandonner, ce qui augmenterait le taux de transmission.
 
Une gonorrhée non traitée peut causer bien des complications, comme des maladies inflammatoires pelviennes. Elle peut aussi provoquer des grossesses ectopiques et même rendre infertile.
 
En 2006, on estime de 11 334 personnes souffraient de la maladie au Canada.
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Hausse de certaines MTS dans la région de Québec

Le rapport sur l’état de santé dans la région de Québec publié par la Direction de la santé publique de la Capitale-Nationale (DRSP) fait état de 1 265 nouveaux cas de chlamydia, une hausse de 27 % depuis 2002; par ailleurs, 58 cas de gonorrhée ont été rapportés cette année, ce qui représente une hausse de 52 %.

Ce sont particulièrement les jeunes âgés de 15 à 24 ans, peu enclins à utiliser le condom, qui ont fait grimper ces statistiques. « Dans les années 1980 et 1990, la peur terrible d’attraper le sida faisait en sorte que les gens se protégeaient de façon fantastique. Mais là, avec la trithérapie, attraper le VIH n’entraîne plus une mort inéluctable à court terme, et les médias en parlent beaucoup moins », a expliqué le Dr Francois Desbiens, directeur de la DRSP.

Les quartiers les plus touchés par ces cas de MTS sont la Basse-Ville, Limoilou et Vanier.