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Lorsque les touristes sauvent les gorilles

La forêt de Bwindi en Ouganda abrite quelque 400 gorilles de montagne, soit à peu près la moitié de la population de cette espèce dans le monde. Dans cette région reculée, ce sont les revenus du tourisme qui aident à protéger les grands singes, que les paysans chassaient par le passé pour défendre leurs champs.

« Le tourisme a débuté comme un moyen de montrer aux populations que les gorilles peuvent avoir une importance économique, que nous pouvons en tirer des revenus pouvant améliorer notre quotidien », dit Charles Tumwesigye, vice-directeur chargé de la conservation au sein de l’Autorité ougandaise pour la faune sauvage (UWA, publique).

L’Ouganda et deux de ses voisins, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC), sont les seuls pays où vivent aujourd’hui ces gorilles de montagne.

Mais le privilège de les voir dans leur milieu a un prix : environ 600 dollars le « permis de pistage » dans la forêt de Bwindi.

Savoir que cet argent aide à protéger les gorilles « aide à avaler la pilule », confie Blaise Peccia-Galleto, un touriste français. Et puis, dit-il, les visiteurs ont le sentiment de vivre ici « quelque chose de vraiment à part ».

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Dans la jungle ougandaise, les gorilles protégés par les touristes

La forêt de Bwindi abrite quelque 400 gorilles de montagne, soit à peu près la moitié de la population de cette espèce dans le monde. Dans cette région reculée, ce sont les revenus du tourisme qui aident à protéger les grands singes, que les paysans chassaient par le passé pour défendre leurs champs.

« Pour protéger cette espèce menacée, nous devions montrer le bénéfice économique lié aux gorilles », explique Charles Tumwesigye, vice-directeur chargé de la conservation au sein de l’Autorité ougandaise pour la faune sauvage (UWA, publique).

« Le tourisme a débuté comme un moyen de montrer aux populations que les gorilles peuvent avoir une importance économique, que nous pouvons en tirer des revenus pouvant améliorer notre quotidien », dit-il.

L’Ouganda et deux de ses voisins, le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC), sont les seuls pays où vivent aujourd’hui ces gorilles de montagne.

Mais le privilège de les voir dans leur milieu a un prix : environ 600 dollars le « permis de pistage » dans la forêt de Bwindi.

Savoir que cet argent aide à protéger les gorilles « aide à avaler la pilule », confie Blaise Peccia-Galleto, un touriste français. Et puis, dit-il, les visiteurs ont le sentiment de vivre ici « quelque chose de vraiment à part ».

Les menaces qui naguère pesaient sur les gorilles de montagne – guerre, destruction de leur habitat et maladie, notamment – étaient telles que leur disparition était quasiment programmée pour la fin du siècle dernier. Pourtant, leur population a augmenté ces dernières décennies, largement grâce à l’intensification des efforts pour les protéger.

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Les gorilles seraient responsables du paludisme chez l’homme

Les médecins croyaient que le paludisme, qui a été découvert en 1880, prenait son origine chez l’humain, mais dans les faits, il viendrait des gorilles.
 
Le parasite, qui est transmis par une piqûre de moustique, touche 250 millions de personnes par année.
 
Selon ce qu’ont découvert l’équipe de la Dre Beatrice Han de l’Université d’Alabama et des collègues français de l’Institut de recherche pour le développement, ce sont les gorilles qui seraient responsables de la contamination humaine, mentionne la revue Nature.
 
En étudiant le parasite en Afrique, où il est le plus répandu, on a constaté que les singes bonobos et les gorilles de l’est ne sont pas affectés par la maladie, mais le parasite est très répandu chez les gorilles de l’ouest et les chimpanzés. 32 à 48 % sont touchés.
 
Le séquençage de l’ADN des gorilles a permis de découvrir qu’ils étaient touchés par différentes souches du parasite, dont l’ancêtre de celui retrouvé chez l’humain.
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Une visite chez les gorilles

Pour ce forfait d’écotourisme, les touristes doivent débourser 745 $ et marcher plusieurs heures pour trouver les gorilles.

La familiarisation de ce nouveau groupe de 13 gorilles, qui remplacent ceux partis vers la République démocratique du Congo (RDC), a pris deux ans. Pour ne pas les incommoder, les touristes doivent rester moins d’une heure en leur présence.

C’est dans cette portion de l’Afrique de l’Est que se retrouvent 350 des 700 gorilles des montagnes encore vivants. L’autre moitié de cette espèce en voie d’extinction vit dans le parc de Virunga, situé entre le Rwanda et la RDC.

La porte-parole du Service ougandais de la faune, Lillian Nsubuga, reste positive par rapport à la survie des gorilles des montagnes en Ouganda. Cependant, la situation est tout autre pour la RDC, où les gorilles sont victimes de la chasse et des divers conflits.