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La saveur des aliments s’avère parfois une supercherie du cerveau

Voici une étude et des révélations surprenantes et fascinantes sur les réactions de l’humain face à ses plats favoris.

En effet, Science Daily rapporte des propos du chercheur et docteur Terry E. Acree, qui décrit le rôle du cerveau sur la façon dont on perçoit, sent et goûte les aliments.

Selon le spécialiste, le cerveau peut y aller d’une supercherie monstre lorsque vous êtes placé devant divers aliments, des réactions qui peuvent être influencées par vos propres appréhensions et expériences.

Ainsi, on pourrait « créer » des saveurs et des odeurs, en fonction de nos attentes.

« Il y a des années, le goût était constitué de deux facteurs : la saveur et l’odeur. Maintenant, on commence à comprendre que la saveur dépend des parties du cerveau qui impliquent le goût, l’odorat, le toucher et la vue. La somme de tous ces signaux, en plus de nos expériences passées et de nos émotions, peut faire varier la perception des saveurs, et déterminer si on va aimer ou détester un aliment », explique Acree, convaincu.

Il explique aussi que l’on peut donc « voir » les odeurs, et que notre perception de ce qu’un aliment ou un vin, par exemple, « devrait goûter » change carrément la façon de le percevoir ensuite.

Fascinant!

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Émilie Lévesque présente son nouvel extrait

Émilie Lévesque, une nouvelle venue qui gagne en popularité au Québec, propose en ce moment son deuxième simple, Pourquoi M’Aimes-Tu Déjà?.

La pièce est tirée de son album Le Goût du Bonheur, un titre parfait s’il en est un, la chanteuse respirant la joie de vivre et la simplicité, tout en dégageant un charisme irrésistible.

On peut s’attendre à voir Émilie Lévesque faire sa marque de plus en plus sur le marché musical au Québec, elle qui a connu de vives réactions de la part du public présent aux concerts de Claude Barzotti et de Brigitte Boisjoli notamment, dont elle assurait les premières parties

Plus qu’une voix, la chanteuse collabore aussi à la création des pièces. Elle cosigne justement le texte de Pourquoi M’Aimes-Tu Déjà?, une chanson qui la touche et lui ressemble.

Traitant de l’insécurité, notamment en amour, la chanson est empreinte d’une sincérité qu’ont su développer les auteurs, Christian Sbrocca et Richard Turcotte, qui collaborent sur la chanson.

La pièce rejoindra sans doute plusieurs personnes aux prises avec des problèmes de confiance ou qui sont simplement amatrices de bonnes chansons pop francophones et québécoises.

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Les jeunes obèses auraient le goût moins développé que les autres enfants

Selon une étude menée en Allemagne et publiée dans la revue médicale Archives of Disease in Childhood, les enfants obèses avaient beaucoup plus de difficulté que les enfants de poids normal à reconnaître les goûts amer, salé, sûr et umami (savoureux). Seul le goût sucré était reconnu de façon similaire parmi les deux groupes d’enfants.

94 enfants de poids normal et 99 enfants obèses âgés de 6 à 18 ans ont participé à l’étude, qui consistait à reconnaître 22 goûts différents placés sur leur langue, incluant les cinq différents goûts cités plus haut en quatre niveaux d’intensité pour chacun, en plus de deux échantillons « sans goût ».

Tous les enfants arrivaient généralement à faire la différence entre le sucré et le salé, mais avaient plus de mal à reconnaître les nuances parmi les autres goûts. Les enfants plus vieux y arrivaient mieux, un phénomène normal dû au fait que les papilles gustatives se développent avec l’âge.

Toutefois, peu importe leur âge, les enfants obèses ont eu beaucoup plus de difficulté que les autres à correctement identifier les goûts, mis à part le sucré.

Ces résultats pourraient offrir une piste de compréhension de l’obésité enfantine, suggérant que ces enfants mangent plus pour compenser le manque de sensations, selon le Daily Mail.

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Le goût lié aux formes géométriques

Le journal Flavour mentionne que les formes géométriques pourraient être la meilleure stratégie marketing qui soit en alimentation.
 
Apparemment, les formes seraient associées à des saveurs dans notre esprit. Par exemple, les formes arrondies seraient plus liées aux goûts sucrés, et les formes angulaires aux saveurs plus amères.
 
En prenant conscience de ce fait, on constate donc que les gens seraient attirés par les formes géométriques sur les étiquettes et emballages alimentaires.
 
De plus, cela permettrait aussi de créer des attentes sensorielles dans l’esprit des consommateurs.
 
« Nous croyons que l’utilisation appropriée des formes sur le marché aurait un certain impact positif, comparativement aux autres techniques de marketing », mentionnent les auteurs de la recherche.
 
De cette manière, les fabricants pourraient mieux cibler les consommateurs en utilisant judicieusement cette technique.
 
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Les goûts alimentaires, ça se développe!

Un gâteau aux zucchinis n’est pas seulement un gâteau, tout comme un pâté de thon n’est pas qu’un simple pâté. Il faut dire les vrais termes et inciter l’enfant à goûter tôt pour développer une alimentation variée chez lui.

Selon une étude de chercheurs de la Columbia University, parue dans le numéro de mars/avril de la revue Journal of Nutrition Education and Behavior, il semblerait que les parents sous-estiment les goûts de leurs enfants et que de tels trucs sont inutiles.

Pour arriver à cette conclusion, un test de goût a été effectué auprès de 68 enfants de l’école élémentaire. Divers échantillons, aliments et plats leur ont été présentés en formule duo. L’un portait toujours son réel nom (ex. : pain d’épices au brocoli) et l’autre son nom partiel (ex. : pain d’épices), relate RelaxNews.

À ce test, il est ressorti que même s’ils ne savaient pas que les produits étaient identiques, les enfants n’avaient pas de préférence de goût, car nombreux savaient ce qu’était un brocoli pour en avoir déjà mangé.

En revanche, quand des biscuits aux pois chiches leur étaient présentés à côté de ceux dits aux pépites de chocolat, la plupart (81 %) ont dit préférer ceux au chocolat, car ils ne savaient pas ce qu’étaient des pois chiches et fonçaient vers un choix qui leur semblait familier et appétissant.

Pour Lizzy Pope, auteure principale de l’étude, il semblerait que pour ne pas influencer leur choix concernant le goût d’un produit, le légume utilisé pour sa confection doit être connu par les enfants. « Les résultats de cette étude coïncident avec les conclusions d’innombrables articles sur la néophobie selon lesquels les enfants sont moins à même et moins susceptibles d’aimer ce qu’ils ne connaissent pas », dit-elle dans un communiqué.

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Une simple image peut influencer le goût

Regarder des images d’aliments riches en glucides, comme la pizza, rendra votre repas meilleur.
 
Selon la revue PLoS ONE, les scientifiques viennent d’émettre une autre preuve que la vision joue un rôle important dans la perception des aliments.
 
14 personnes se sont portées volontaires pour cette recherche. Elles ont toutes regardé des images, soit d’aliments riches en glucides, comme des pizzas ou des pâtisseries, soit faibles en glucides, comme des haricots verts et des pastèques.
 
Elles ont aussi eu un test de goût électrique, qui consiste en une petite impulsion qui stimule la langue, mais le goût n’est ni agréable ni désagréable.
 
Les personnes qui avaient vu les images d’aliments riches en glucides ont trouvé le goût meilleur que celles qui avaient eu les aliments comme les haricots et les pastèques.
 
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Grossesse : une alimentation variée pour un bébé pas compliqué

Pour éviter que votre enfant soit un mangeur méticuleux, il semble qu’il faut l’exposer à des goûts, des aliments et des odeurs variés dès les premières semaines de sa vie, et même lorsqu’il est dans l’utérus, stipulent plusieurs recherches.

Selon Benoist Schaal de l’Université de Bourgogne à Dijon, qui a exploré l’effet de l’odeur dans et à l’extérieur de l’utérus, « pendant la grossesse, l’utérus est relativement perméable, et dans ce que la mère consomme, une certaine dose va au fœtus. Lorsque certaines choses sont consommées, notamment lorsque le cerveau est formé, cela peut influencer les goûts des enfants, à long terme ».

Il ajoute : « Une étude argentine a montré que les bébés dont les mères ont bu pendant la grossesse léchaient leurs lèvres à l’odeur de l’alcool ».

C’est donc en donnant une certaine quantité de bonbons et de biscuits à saveur d’anis à un groupe de femmes, quelques jours avant qu’elles accouchent, qu’il a été noté que lorsque leurs bébés sont nés, ceux-ci se retournaient et souriaient lorsqu’une branche d’anis était près d’eux.

L’expérience n’a pas testé si les enfants aimaient automatiquement l’anis. Cependant, comme le parfum est un contributeur majeur à notre sens du goût, il est probable qu’ils aiment, a confirmé l’étude.

Il a été également prouvé que la période pendant laquelle un bébé est sevré pour manger des aliments solides peut également influer sur les goûts de l’enfant plus tard. Varier les sortes de purées quotidiennement favoriserait le développement du goût.

De plus, les femmes qui allaitent et qui aiment manger épicé ne devraient pas s’inquiéter pour la santé de leur bébé si elles mangeaient déjà enceintes ce style de nourriture.

Il semblerait également que les goûts que nous développons bébé nous suivent pendant des décennies.

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Quand les enfants cuisinent, ils ont plus d’appétit

Faire participer les enfants à l’élaboration du repas permettrait à ces petits chefs d’être moins difficiles, révèle une étude suisse de l’École polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ).

Il semblerait que les parents ne devraient pas se contenter de donner la responsabilité à l’enfant de mettre la table, vider le lave-vaisselle ou de donner la permission à l’enfant d’être seulement spectateur quand il est assis au comptoir, par peur qu’il les retarde ou se blesse.
 
Pour que votre enfant apprécie ce qu’il mange, il doit participer activement à la préparation de son repas, affirment les chercheurs. Ils mentionnent toutefois que les obliger à terminer leur assiette risque de les rendre encore plus difficiles et plaintifs à table.
 
« Contraindre les enfants à finir leur assiette aurait l’effet inverse d’ouvrir l’appétit : cela leur gâcherait le plaisir de manger et aggraverait la situation », expliquent les chercheurs.
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Les foetus avortés utilisés comme ingrédient culinaire?

Aussi spécial que cela puisse paraître, il semblerait, selon cet élu républicain, que des cellules souches embryonnaires ou de fœtus soient utilisées pour rehausser la saveur et le goût de certains aliments.

Provenant de fœtus avortés, ces cellules joueraient un rôle d’édulcorant naturel.

Outré, Ralph Shortey a partagé ses intentions et son opinion lors de diverses entrevues. Il vient de déposer un projet de loi et demande à ce que les fœtus avortés ne soient plus utilisés à cette fin.

Le peuple américain semble être méfiant et avoir une opinion mitigée quant aux affirmations du politicien, qui semble chercher des poux où il n’y en a pas depuis quelques années.

Rappelons qu’en 2008, Ralph Shortey avait réclamé que les candidats à la Maison Blanche prouvent leur citoyenneté américaine, visant ainsi directement Barack Obama, accusé de ne pas être né sur le sol américain.

Depuis un an, Shortey affirme enquêter sur l’utilisation des fœtus humains dans l’alimentation, après avoir découvert que des groupes anti-avortement avaient soi-disant appris que le géant Pepsi avait recours à ce genre de pratique peu éthique.

L’entreprise Pepsico a immédiatement démenti de fait par voix de communiqué, et la FDA n’a fait aucun commentaire.

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Les papilles gustatives perdent de leur sensibilité en vieillissant

Les papilles gustatives subissent aussi les effets du vieillissement, en devenant moins sensibles.
 
Les personnes âgées ont donc besoin d’aliments avec un goût plus prononcé, avec plus de contrastes et de textures.
 
Après 40 ans, les papilles gustatives ne se renouvellent pas autant.
 
Habituellement, pour ajouter du goût à nos aliments, on a tendance à augmenter le sel, le sucre ou le gras, mais l’Institut culinaire américain mentionne que c’est parfois simplement en changeant la méthode de cuisson que l’on obtient plus de goût.
 
Par exemple, le café, le chocolat, le pain, le poulet et la bière ont un goût plus riche et intense lorsqu’on augmente leur température de cuisson et qu’il est possible de les faire dorer.
 
De plus, les parfums comme la cannelle, les pommes et les épices éveillent les papilles gustatives. Les contrastes et les textures en augmentent leur saveur.