Catégories
Uncategorized

La musique pourrait influencer le goût de l’alcool

Une équipe de l’Université de Portsmouth au Royaume-Uni a constaté que la musique forte pouvait altérer le goût de l’alcool et même influencer sa consommation.
 
Les chercheurs ont observé 80 personnes qui devaient classer à l’aveugle des boissons selon la teneur en alcool, la douceur et l’amertume, tout en étant en présence de différentes musiques, d’informations à la télévision, des deux ou encore dans le silence.
 
Avec de la musique, les boissons devenaient plus sucrées. « Comme les humains ont une préférence innée pour le sucré, ces résultats pourraient expliquer pourquoi on a tendance à consommer plus d’alcool dans un environnement bruyant », indique le chercheur Lorenzo Stafford dans un communiqué.
 
« C’est une étude menée à petite échelle, mais elle présente de nombreuses implications pour les personnes qui boivent de l’alcool dans des environnements bruyants, mais aussi pour les bars, l’industrie des boissons alcoolisées et les autorités locales. »
 
L’automne dernier, le British Journal of Psychology publiait également une étude du même genre disant que le goût du vin était amélioré en présence de musique.

Catégories
Uncategorized

Incapable de cesser de manger du pop corn au cinéma?

Des scientifiques de l’University of Southern California ont découvert que ce n’est pas seulement le goût d’un aliment qui nous fait succomber à la tentation.
 
En fait, une fois que nous avons associé un aliment à un lieu, comme le maïs soufflé au cinéma, nous allons continuer d’en manger même s’il n’est pas frais.
 
Les chercheurs ont fait le test en donnant des seaux de pop corn dans un cinéma. Il y avait des seaux de maïs éclaté frais et d’autres périmés depuis quelques semaines.
 
Les personnes qui n’avaient pas l’habitude de manger du maïs au cinéma ont consommé plus de pop corn frais, car le périmé n’avait pas bon goût. Les personnes qui mangeaient toujours du maïs soufflé au cinéma ont mangé autant des deux, ne faisant pas la différence entre le frais et le périmé.
 
Cela met en évidence une nouvelle perspective, à savoir pourquoi les gens continuent de manger même s’ils n’ont plus faim.
 
Lorsque nous mangeons un aliment spécifique dans un endroit particulier, cela devient presque un réflexe et nous allons toujours manger de cet aliment à cet endroit.
 
Lorsqu’on a donné du pop corn à des gens regardant des vidéos dans une salle de conférence, un lieu qui n’est pas associé à cet aliment, le goût importait grandement sur la consommation de maïs éclaté.
 
Catégories
Uncategorized

Pots pour bébés ou purées faites maison?

Rapportée par le Daily Mail, l’information provient d’une nouvelle étude de chercheurs des universités de Montfort à Leicester, Bristol et Birmingham. Les résultats démontrent clairement que les enfants qui consomment des purées de fruits et de légumes concoctées par maman développent une plus grande acceptation des goûts.

Ainsi, dès l’âge de 7 ans, les enfants sont plus enclins à consommer et apprécier divers légumes et fruits. La raison est très simple : les purées commerciales ont toutes la même texture et, à peu de choses près, un goût similaire. Quant aux purées maison, elles conservent d’autant plus leurs vitamines et offrent des sensations différentes pour les papilles et le palais de l’enfant.
 
L’étude se base sur l’analyse de 7 866 mères dont les enfants sont nés en 1991 et 1992.
 
La docteure Helen Coulthard, de l’Université de Montfort, recommande fortement de faire nous-mêmes les plats de notre poupon.
 
« Dès leur plus jeune âge, les enfants se basent sur de nouvelles expériences sensorielles et en apprécient la diversité. Les différentes textures et goûts variés des plats maison assurent la diversité future de consommation de fruits et légumes », explique Coulthard.
 
Catégories
Uncategorized

Plusieurs facteurs influencent notre préférence envers les aliments sucrés et gras

Plusieurs facteurs influenceraient notre préférence pour les aliments sucrés et gras, et ce, depuis la préhistoire.
 
Selon une étude parue dans le Daily Mail, il s’agissait à cette époque d’un mécanisme de survie. Le corps avait besoin de beaucoup de calories. Bien que les besoins aient changé depuis, le cerveau a encore ce même mécanisme, soit de rechercher le sucre et le gras.
 
Le niveau de stress peut faire en sorte que nous recherchons davantage le sucre et le gras également. Le stress hausse la production de cortisol, l’hormone qui augmente la glycémie utilisée comme source d’énergie. De plus, cela inhibe le système immunitaire et réprime le métabolisme des acides dans les graisses, protéines et glucides.
 
Finalement, notre humeur joue aussi un rôle. Rappelez-vous votre enfance, lorsqu’on vous donnait des friandises comme récompense ou comme subterfuge pour soulager la douleur. Ces aliments provoquent un sentiment d’euphorie dans le cerveau, ce qui explique pourquoi plusieurs personnes préfèrent cette nourriture sucrée et grasse.
Catégories
Uncategorized

Bientôt des médicaments au meilleur goût

Présenté lors du congrès que l’American Chemical Society, le composé GIV3616 serait capable d’empêcher les papilles gustatives de déceler le goût amer, ce qui permettrait donc de donner meilleur goût à de nombreux médicaments.
Ce procédé serait très utile pour les personnes âgées, sensibles à ce type de goût, qui prennent de nombreux médicaments. Éventuellement, ce composé pourrait également servir dans les produits alimentaires pour en améliorer la saveur.
 
Auparavant, le GIV3727 a été utilisé dans les édulcorants comme la saccharine et le sucralose, mais le nouveau composé serait plus efficace encore.
 
« Beaucoup de gens sont très sensibles au goût amer des médicaments, des édulcorants et des aliments. Nous aimerions pouvoir rendre leur alimentation plus agréable en masquant ce goût amer, ce qui pourrait les aider à avoir une alimentation plus variée et plus saine », explique la chercheuse Ioana Ungureanu dans un communiqué.
Catégories
Uncategorized

Lien entre les otites et l’obésité

Une nouvelle étude ayant porté sur les effets de l’otite chronique a mené à des résultats surprenants. Il semble que la conséquence finale en serait l’obésité.

Pour en venir à cette constatation, on a suivi 42 enfants âgés de 3 à 7 ans qui souffraient tous d’otite chronique et à qui l’on avait posé des tubes. On les a comparés à 42 autres enfants du même âge qui n’avaient pas eu cette infection.
 
On a donc remarqué, après leur avoir fait passer des tests chimiques de goût, que chez les enfants atteints de l’otite, ce sens était altéré par l’infection.
 
Celle-ci réduisait leur capacité à goûter le sucré et le salé, ce qui pouvait entraîner une consommation immodérée de calories et de liquides, faisant ainsi augmenter l’emmagasinement des gras et la rétention des fluides. Ultimement, cela mène à l’obésité.

Les résultats complets de cette expérimentation sont parus dernièrement dans Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery.

Catégories
Uncategorized

Le cannabis redonne le sens du goût aux patients atteints de cancer

Une étude publiée dans les Annals of Oncology affirme que la substance active du cannabis, le THC, aiderait les personnes atteintes de cancer à retrouver le plaisir de manger et profiter pleinement des différentes saveurs.
 
Le cancer et ses traitements diminuent l’appétit et conduisent souvent à une perte de poids qui peut s’avérer dangereuse. La plupart des patients se plaignent notamment que la viande sent et qu’elle a mauvais goût.
 
« Pendant longtemps, tout le monde croyait qu’il n’y avait rien à faire. On demande souvent aux patients atteints de cancer de “faire avec” et de manger de la viande fade, froide et sans couleur », explique l’auteure principale de la recherche, Wendy Wismer.
 
Les 21 patients qui ont participé à l’étude ont reçu soit un placebo, soit une pilule de THC. Chez ceux qui avaient reçu le THC, 73 % disaient avoir pu apprécier la nourriture et 55 % disaient que celle-ci avait meilleur goût.
De plus, le THC aurait favorisé leur sommeil et la relaxation.
 
On croit donc que le THC devrait être une solution à envisager sérieusement pour aider les patients cancéreux à retrouver leur appétit.
Catégories
Uncategorized

Le gras, le sel et le sucre, les préférés des petits

Une récente étude menée par deux universités américaines vient de prouver que les jeunes enfants ont une préférence pour les aliments contenant du gras, du sel et du sucre.

De plus, ils associent très rapidement des produits au nom d’une chaîne de restauration rapide ou d’une marque de boisson gazeuse.

Parue dans le Journal of Public Policy & Marketing, cette recherche a tout d’abord porté sur 67 enfants âgés de 3 à 5 ans. Parmi eux, il y avait 31 garçons et 36 filles.

Les mères devaient remplir un questionnaire, tandis que les enfants goûtaient à 11 saveurs naturelles et 11 saveurs artificielles sans voir le nom des produits.

Les résultats concordaient : si la mère avait remarqué l’envie de produits contenant du gras, du sel et du sucre, l’enfant préférait en effet les aliments aux saveurs artificielles.

Une seconde expérimentation a ensuite été faite. On a présenté à 108 enfants (autant de filles que de garçons) des cartes représentant des produits et des marques de commerce. Tous les enfants ont facilement associé le bon produit à la bonne marque.

Il semble donc que les enfants sont sensibles à la persuasion dès l’âge de trois ans. Il faudrait d’une part revoir la publicité qui leur est adressée et, d’autre part, leur apprendre ce que sont les bons aliments bien avant leur entrée à l’école.

Catégories
Uncategorized

Le thé indien n’a plus le même goût

En Inde, les producteurs de thé affirment que les changements climatiques affectent les plantations. Non seulement leur production connaît une baisse importante, mais le goût du thé a considérablement changé.
 
55 % de la production nationale de thé provient de l’État d’Assam. Autrefois, son thé était reconnu pour son goût particulièrement prononcé. C’est ce qui a fait la réputation du thé Assam qui est issu d’une plante dérivée du théier chinois, l’Assam assamicus.
 
Aujourd’hui, le goût de ce thé est beaucoup plus doux qu’il ne l’était. De plus, alors qu’on a produit 564 000 tonnes de thé en 2007 dans l’État d’Assam, ce chiffre a chuté à 487 000 tonnes en 2009 et l’année 2010 s’est terminée avec 460 000 tonnes de thé produit.
 
Les producteurs de thé affirment que ce sont les changements climatiques qui sont responsables de ces phénomènes indésirables. Ils estiment que la température moyenne a grimpé de deux degrés dans les huit dernières décennies. Ceci soulève donc de grandes inquiétudes pour l’avenir de ce réputé thé indien.
Catégories
Uncategorized

L’alimentation de la mère pourrait influer sur le développement du cerveau du bébé

Des chercheurs de l’Université du Colorado ont trouvé pourquoi le bébé est porté à aimer ce que sa mère ingérait durant sa grossesse, apprenons-nous sur MailOnline

Les odeurs présentes dans le liquide amniotique atteindraient une partie du cerveau responsable du goût et de l’odorat.

Ainsi, le bébé sera porté à mieux aimer ce que sa mère aimait aussi durant sa grossesse. En effet, il croira que tout ce que la mère ingère est bon pour la santé.

Plus vieux, l’enfant aura tendance à manger de la même façon que sa mère lorsqu’elle était enceinte, car son cerveau aura appris à aimer certaines odeurs et saveurs.

Les chercheurs concluent sur l’importance de préférer une saine alimentation durant la grossesse, en plus d’éviter l’alcool pendant celle-ci et durant l’allaitement.

Pour la première fois, on aura donc fait un lien entre l’alimentation durant la grossesse et le cerveau du fœtus, ce qui met en lumière une fois de plus l’importance de favoriser la bonne santé de l’enfant le plus tôt possible.