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La graisse abdominale est un plus gros facteur de risque pour le diabète

Le journal JAMA dévoile que la graisse abdominale est un plus grand facteur de risque pour le diabète de type 2 qu’une obésité mieux répartie sur l’ensemble du corps.
 
Les personnes ayant plus de graisse viscérale (abdominale) développent généralement une plus grande résistance à l’insuline et ont donc plus de risques de développer le diabète.
 
« Une augmentation marquée de la prévalence du surpoids et de l’obésité a contribué à un doublement de l’incidence du diabète de type 2 ces 30 dernières années. Le prédiabète, une situation clinique intermédiaire entre l’hyperglycémie et le diabète, est également associé à l’obésité et entraîne un risque accru de maladies cardiovasculaires (MCV) et de décès. L’indice de masse corporelle (IMC), si associé au diabète en population générale, ne suffit pas à qualifier le risque de diabète chez les personnes obèses », explique le Dr James A. de Lemos de l’Université du Texas.
 
Beaucoup de personnes obèses résistent au développement de maladies métaboliques, observent les chercheurs. L’incidence du diabète n’augmenterait pas seulement avec l’obésité, mais il est grandement accru lorsque l’on parle de graisse abdominale.
 
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Les produits laitiers contre la graisse abdominale

Le Journal of Nutrition nous apprend qu’un régime hypocalorique riche en protéines et pauvre en glucides peut grandement aider à perdre de la graisse abdominale et à gagner du muscle, si les protéines sont issues de produits laitiers.
 
C’est ce qui a été constaté auprès de 90 femmes en surpoids ou obèses. Elles ont été divisées en trois groupes, selon la quantité de produits laitiers et de protéines reçue.
 
Toutes les femmes ont également suivi un programme d’exercices cinq jours par semaine.
 
Après quatre mois, la perte de poids était similaire dans tous les groupes. Toutefois, les femmes ayant absorbé le plus de produits laitiers et de protéines présentaient une plus faible quantité de graisse corporelle, surtout au niveau de l’abdomen. Elles enregistraient également un plus important gain de muscles.
 
Ces facteurs favorisent le maintien de la perte de poids à long terme.
 
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Soya et exercice pour les femmes ménopausées

Selon des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, un programme d’exercice régulier, combiné à une alimentation riche en soya, diminue l’incidence de maladies cardiovasculaires chez les femmes ménopausées, beaucoup plus que l’exercice seul.

50 participantes ont été suivies pour cette recherche. La moitié d’entre elles ont consommé un placebo, tandis que le reste du groupe prenait des isoflavones de soya, qui agissent comme les estrogènes lorsqu’elles sont assimilées par les intestins. De plus, ces sujets ont suivi un programme d’exercices aérobiques et musculaires trois fois par semaine.

« Nos analyses ont amené deux conclusions. La combinaison d’exercices et d’isoflavones agit d’une part sur une hormone appelée sex-hormone binding globuline (SHBG) qui est liée aux risques de maladies cardiovasculaires. D’autre part, cette combinaison est associée à la perte de graisse abdominale », a mentionné Isabelle Dionne, vice-doyenne à la recherche et aux études supérieures à la Faculté d’éducation physique et sportive de l’université.