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Le lait biologique meilleur pour la santé

Une nouvelle étude mentionne qu’il serait préférable de choisir du lait biologique plutôt que le lait commercial usuel.
 
Le Journal of Dairy Science mentionne que les chercheurs ont découvert que le lait provenant de bovins qui sont soumis à un régime alimentaire d’herbes fraîches contient moins de graisses saturées et plus d’acides gras comme les oméga-3.
 
De plus, les vertus bienfaitrices du lait biologique ont moins de risques d’être affectées par la transformation.
 
L’équipe de chercheurs de l’Université de Newcastle affirme également qu’on ne retrouve pas d’engrais azotés, utilisés pour favoriser la pousse du gazon, dans le lait biologique.
 
En choisissant un lait biologique, il est possible de couper la consommation des graisses saturées de 30 à 50 %, tout en conservant les bienfaits des nutriments comme les acides gras oméga-3.
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Les graisses saturées pas aussi nocives qu’on le croyait

Depuis des années, on conseille d’éviter les gras saturés, qui sont associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires. Selon les nouvelles données publiées dans le journal Lipids, ce n’est pas aussi simple qu’on l’affirmait.
 
Le Dr Bruce German, de l’Université de la Californie, indique que déclarer que toute consommation de gras saturés est nocive est une affirmation trop simplifiée.
 
« La relation entre l’apport alimentaire de graisses et la santé est complexe. Il y a différents facteurs qui peuvent influencer la réponse du corps à l’apport de graisses, comme la génétique, le mode de vie ou l’âge », dit-il.
 
De plus, on a constaté que remplacer les graisses saturées par des gras polyinsaturés ne diminuait que légèrement les risques de maladies cardiovasculaires. Ainsi, la différence n’est pas assez significative pour dire que cela est préférable.
 
Selon les chercheurs, il est plutôt avantageux d’augmenter sa consommation de fruits de mer riches en acides gras oméga-3, de grains entiers, de fruits et légumes et de diminuer les gras trans et le sel dans les pâtisseries et la malbouffe.
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Des acides gras qui portent à prendre du poids

Il semblerait que certaines graisses contenues dans la nourriture nous poussent à manger davantage, selon une étude réalisée par des chercheurs du centre médical UT Southwestern, aux États-Unis.

Les résultats, publiés dans The Journal of Clinical Investigation, démontrent que certaines graissent agissent sur le cerveau et l’empêche de dire au corps qu’il a assez mangé. Les acides palmitiques, des graisses que l’on retrouve notamment dans le beurre et le fromage, provoquent cette réaction.

Les aliments chargés de graisses apportent des acides gras au cerveau, ce qui fait en sorte que notre corps résiste à l’insuline et à la leptine, les deux hormones chargées de la régulation du poids. Ainsi, le cerveau ne peut plus dire d’arrêter de manger et il en résulte une prise de poids.

Pour cette étude, les chercheurs ont injecté des acides gras directement au cerveau d’animaux en passant par la carotide. D’autres animaux ont été nourris par un tube relié à l’estomac. Les deux groupes ont reçu les mêmes quantités de graisses.

Les acides palmitiques étaient ceux qui influençaient le plus le cerveau à ignorer les signes de satiété, comparativement aux acides oléiques que l’on retrouve dans l’huile d’olive par exemple.

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Les effets négatifs d’une alimentation trop riche

Une étude publiée dans la revue Cell Metabolism nous apprend qu’un régime comportant beaucoup de graisses saturées cause une réaction en chaîne sur notre horloge interne.

Celle-ci s’échelonne sur 24 heures et contrôle notre rythme de veille et de sommeil, ainsi que certains processus métaboliques comme l’appétit.

L’équipe de la Northwestern University de Chicago, qui a réalisé cette recherche, a analysé deux groupes de souris : l’un ayant une alimentation normale et variée, l’autre gavé d’aliments riches en calories et en graisses saturées.

Selon Joe Bass, endocrinologue et principal auteur de l’article, après seulement deux semaines, l’horloge biologique chez les souris du deuxième groupe a été complètement modifiée. « Les animaux n’ont pas seulement mangé plus pendant les repas, relève Bass, mais ont changé leurs habitudes alimentaires de telle sorte que tous leurs excès de nourriture se sont produits pendant les périodes habituelles de sommeil. »