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Mon bébé n’est pas potelé, et c’est très bien comme ça!

À trop focuser sur le gain de poids, on oublie que les bébés sont des humains dont le poids peut fluctuer au même titre que celui des adultes.

J’ai besoin de ventiler sur un aspect du suivi des bébés qui m’irrite profondément: le poids. 

À sa naissance, mon bébé était déjà tout petit: un gros 6,7 livres, aucun pli en vue, pas de bonnes joues rondes à l’horizon. Par contre, les premières semaines ont été efficaces côté gain de poids, mon allaitement allait super bien et bébé prenait gramme après gramme. J’étais DONC fière de ça et d’ailleurs, on m’en félicitait de part et d’autre, comme si je détenais le Saint-Graal de la production de lait. 

J’allais souvent à la halte-allaitement de mon quartier pour suivre le poids de mon enfant, et chaque gramme pris me remplissait de bonheur. Il faut dire que l’emphase est très rapidement et intensément mise sur le gain de poids, au détriment de la santé mentale des parents et surtout des mères allaitantes. Lors des premières semaines de vie de mon bébé, j’ai malheureusement vu plusieurs mamans en larmes après la pesée de leur enfant… J’avais de l’empathie pour elles, tout en me réjouissant intérieurement de ne pas être dans cette situation-là…

Jusqu’à ce que je vive très précisément la même expérience. 

Après une mastite et deux engorgements back to back, force est de constater que ma production du tonnerre s’est nettement ralentie. Depuis 2 semaines, le gain de poids de mon enfant n’est pas dans les moyennes recommandées et dans les derniers jours, il n’a même pas pris de poids. 

J’ai tellement pleuré. Le sentiment d’incompétence m’a habité instantanément. Et s’il y a quelques semaines, j’étais empathique à la situation des mamans émotives après la pesée, je dois dire qu’aujourd’hui, je compatis. 

En même temps, je ne peux pas m’empêcher de pester contre cette fichue obsession du gain de poids! Les courbes de croissance, les percentiles sont évidemment là pour donner une indication de l’état de santé général du bébé… mais j’attire votre attention sur le mot indication. Le gain de poids n’est pas une mesure absolue du bien-être de l’enfant. Il y a aussi son développement dans toutes ses sphères, le nombre de couches souillées par jour, l’état général (est-il éveillé et actif ou léthargique, toujours grognon?), etc. À trop focuser sur le gain de poids, on oublie que les bébés sont des humains dont le poids peut fluctuer au même titre que celui des adultes. Et cette obsession du poids tant chez le corps médical que chez les parents peut définitivement être un facteur contribuant à l’apparition de la dépression post-partum et/ou à tout le moins, de pensées négatives. Je le sais, car j’en étais là: stress, anxiété, déprime. Il a fallu que je me parle et que je parle à d’autres mamans pour relativiser ma situation et aller mieux. Je ne souhaite ça à personne. 

Et comme c’est ironique quand on y pense… Chez les bébés, on valorise le format bien potelé et on pointe du doigt les filiformes, puis à l’âge adulte, il ne faudrait surtout pas avoir un ou deux bourrelets! Au final, dès la naissance, l’obsession du poids nous suit partout. 

J’aurais une demande spéciale pour vous qui me lisez: prochaine fois que vous rencontrerez un duo parents-bébé, ne passez donc pas de commentaires sur le poids de l’enfant. Je ne compte plus le nombre de fois où l’on m’a dit «Ah, mais c’est qu’il est tout mini ce bébé!». Bin oui, mon bébé est un format «grande asperge» (il est très long et mince depuis son jour 1 de vie), et c’est très bien comme ça. 

Et si vous êtes dans la même situation que moi, je vous encourage à lâcher prise au moins un peu sur le gain de poids de votre enfant. Surtout, ne le comparez pas aux autres bébés autour de vous. Comme les adultes, les bébés viennent tous avec une morphologie différente, ne le perdons pas de vue. 

*Évidemment, je comprends parfaitement bien pourquoi le gain de poids est un facteur qui est observé lors de rendez-vous médicaux. Il est vrai que cette donnée peut indiquer d’autres problématiques comme le reflux ou des allergies… Mais somme toute, je suis d’avis qu’il y a une trop grande attention qui est portée sur cet aspect, au détriment parfois d’autres indicateurs du bien-être global de l’enfant. J’aimerais qu’il y ait plus de nuances.  

Si vous avez des inquiétudes concernant le gain de poids de votre bébé, je vous encourage à en discuter avec son médecin ou son pédiatre.

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Nutrition

Certains aliments vous rapprochent de la tombe

Évidemment, le sucre, le sel et les mauvais gras sont à proscrire d’une saine alimentation. Plusieurs aliments comprennent d’ailleurs un mélange de ces trois ingrédients nuisibles.

Ils sont responsables notamment des risques de troubles cardiaques, du diabète et d’hypertension.

Adieu sandwich?

Il faudra vous habituer au poulet frais dans vos sandwiches. Les charcuteries, que l’on nomme aussi « viandes froides », contiennent tout ce qui devrait être retiré d’une saine alimentation.

Améliore ta santé informe que c’est surtout le gras qui est problématique, entre autres dans les saucissons, le jambon et la mortadelle.

Sans oublier que le sel y est présent en quantité industrielle (et le sucre aussi), puis les nitrates qu’ils contiennent sont cancérigènes.

Optez pour le thon ou le saumon pour faire changement. Vous y récolterez en plus de bons gras.

Un trio avec frites…

Le surpoids est fortement associé aux fritures, à commencer par ces délicieuses frites qui sont hypercaloriques et saturées de gras. Le reste du trio, que ce soit un burger ou une pizza, représente le pire accompagnement.

Le seul trio que vous y gagnez, c’est la dangereuse combinaison du gras, du sel et du sucre.

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Nutrition

Mauvaises habitudes alimentaires : les effets demeurent même après un changement d’alimentation

Lors de cette recherche, informe Science World Report, les scientifiques ont comparé deux groupes de souris qui étaient susceptibles de développer de l’athérosclérose.

Ils ont réalisé que malgré le changement vers une meilleure alimentation, les dommages causés par un régime élevé en gras avaient des conséquences directes et à long terme sur les cellules du système immunitaire.

L’un des chercheurs, Erik van Kampen, a déclaré : « J’espère que cette étude démontre l’importance des modifications induites par l’alimentation dans l’épigénome, et qu’elle encouragera de nouvelles recherches sur l’interaction entre les habitudes alimentaires, la méthylation de l’ADN et la maladie ».

Donc, si vous avez à la base des risques de développer entre autres de l’athérosclérose, une maladie reliée au système immunitaire, il est possible que les risques ne diminuent pas à cause des cellules déjà altérées.

« Il y a longtemps que nous avançons que le style de vie et l’alimentation pouvaient avoir des conséquences sur la fonction immunitaire », a mentionné John Wherry, un autre des chercheurs.

L’étude a été publiée dans le Journal of Leukocyte Biology.

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Nutrition

Les femmes et les hommes n’aiment pas les mêmes gras

Les chercheurs du Centre des Sciences du Goût de et l’Alimentation de Dijon, en France, viennent de publier une étude dans le British Journal of Nutrition.

Cette étude souligne les différences alimentaires entre les deux sexes. Réalisée sur plus de 37 000 adultes français, elle démontre que les hommes préfèrent les aliments salés, alors que les femmes sont plus du type gras sucré.

Pour la responsable de la recherche, l’épidémiologiste Caroline Méjean, « l’attirance pour le gras est souvent associée au fait de manger sous le coup de l’émotion, et à la pratique des régimes chez les femmes, sans doute en raison de la frustration ».

Toujours du côté féminin, l’étude révèle chez les femmes enceintes une attirance pour le gras. Cet état pourrait être lié à la physiologie pour protéger le fœtus en prenant des kilos, avance la chercheuse.

Parallèlement, pendant la grossesse, une réduction de l’attirance pour le sel et l’amertume a été attribuée dans la littérature médicale à une forme de défense contre les poisons.

À noter que les jeunes sont plus attirés par le gras que les plus âgés, et que les buveurs réguliers d’alcool sont plus attirés par le gras salé.

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Nutrition

Pour éliminer le sucre, il faut se déconditionner

Top Santé vous propose un déconditionnement aux sucreries et au sel en 2 mois.

Pendant 3 semaines

Dans les premières semaines, il faut changer la base de notre alimentation en retirant tout ce qui est industriel. Les boissons sucrées, même légères, ainsi que tous les gâteaux, pâtisseries, plats préparés et céréales sucrées.

Consommez un maximum de volaille et poisson, œufs et légumes secs. Incorporez aussi des noix et amandes.

Faites les courses le vendre plein dans un marché d’alimentation de style « fruits et légumes » pour éviter les rangées de produits inutiles (biscuits, croustilles et autres).

La seconde partie – éliminer le sucre ou le sel

Que vous soyez plutôt du type salé (et gras) ou sucré revient au même. Il faut l’éliminer.

On suggère donc d’éliminer la salière de la table pendant 2 semaines et de remplacer le goût avec d’autres épices et herbes fraîches. Par la suite, réintégrez le sel pour 1 repas par semaine et de façon très limitée.

Quant au sucre, il faut consommer au maximum un grand carré de chocolat par jour et remplacer les gâteaux et biscuits par des fruits et des compotes sans sucre.

Pour éviter les fringales ou la surconsommation lors des repas, prenez un grand verre d’eau.

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Uncategorized

Vous voulez maigrir? Réduisez simplement le sucre!

Le National Institute of Health a publié dans la revue Annals of Internal Medicine que les sucres sont plus contraignants que les graisses pour mener à bien une diète.

Les chercheurs affirment donc qu’il vaut mieux conserver plus de gras dans notre alimentation, au détriment des glucides de toutes sortes.

Top Santé rapporte que l’étude a été menée auprès de 148 hommes et femmes de tous âges au-delà de 20 ans. Pour s’assurer de la validité des résultats quant à la variation des graisses et des glucides, aucun d’entre eux ne souffrait de diabète ou de maladie cardiaque.

Les participants ont été divisés en deux groupes. Pendant 1 an, le premier devait consommer un maximum de 30 % des calories quotidiennes en sucres, alors que le second procédait ainsi avec l’apport en gras. Tous devaient fournir le même effort en activité physique et consommer le même nombre de calories.

Au terme de l’année, le groupe avec la teneur réduite en glucides avait en moyenne perdu 3,6 kg de plus que l’autre groupe, sans compter qu’ils se sentaient plus rassasiés que leurs pairs, leur régime étant plus riche en protéines.

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Potins

Ryan Seacrest est un fanatique de la mise en forme

Ryan Seacrest ne veut plus revivre les affres de sa jeunesse et entend bien tout faire pour y parvenir.

On apprend en effet de la bouche du célèbre animateur et spécialiste en Top 40 qu’il était jadis un enfant plutôt grassouillet, des souvenirs qui ne sont pas tous heureux.

Seacrest est donc désormais un fanatique de la mise en forme et se soumet à un régime strict, rapporte BANG Media International.

« Je me souviens avoir été un enfant assez gras, et ce que ça me faisait ressentir. Ma mère me préparait mon lunch, et je la suppliais de mettre un sandwich supplémentaire. Je mangeais des nachos après l’école, et j’aimais les petits roulés suisses. Parfois, quand je regarde dans le miroir, je vois encore cet enfant. Alors, je suis maintenant hyper-obsédé par l’exercice », révèle l’animateur.

Ryan Seacrest est bien entouré pour garder le cap, lui qui fréquente maintenant l’entraîneuse et mannequin Shayna Taylor.

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Une exposition aux pesticides peut provoquer l’obésité et le diabète

Le pesticide DDT, qui a été notamment interdit dans les années 80 dans plusieurs pays occidentaux, mais qui continue d’être utilisé dans certains pays comme l’Inde et l’Afrique du Sud pour combattre le paludisme, peut empêcher le corps de brûler des calories.

C’est ce qui ressort d’une étude parue dans la revue PLoS ONE, qui avance que les filles qui sont nées de mères exposées à l’époque au DDT ont plus de risques de souffrir d’obésité, de diabète de type 2 et de cholestérol que les hommes nés du même type de mères.

Le pesticide n’aurait aucun effet sur ceux-ci, si ce n’est qu’une légère augmentation de la glycémie, ont noté les chercheurs, qui affirment que les filles qui ont maintenant plus de 30 ans sont davantage concernées par les problèmes de santé en lien avec le DDT.

Des analyses ont été pratiquées auprès de souris femelles exposées au DDT. Il a été conclu qu’elles étaient moins en mesure de brûler des calories et plus enclines à les préserver dans leur corps que d’autres souris femelles ou les mâles.

La différence entre les sexes devra davantage être étudiée, confirment les scientifiques, qui ont également remarqué que les souris femelles qui avaient une alimentation riche en graisses étaient plus à risque de développer une maladie que les mâles qui avaient le même genre de régime.

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Les régimes élevés en protéines pour la perte de poids

Une étude effectuée sur des singes démontre que de se limiter au calcul des calories, et donc de l’apport énergétique, n’est pas suffisant pour perdre du poids efficacement.

En fait, ceci ne tient pas compte des macronutriments, sucres, gras et protéines qui interagissent pour réguler l’appétit et l’apport énergétique.

C’est l’équipe du professeur David Raubenheimer de l’Université de Sydney qui s’est penchée sur la question. « Les aliments représentent des mélanges complexes de nutriments, et ils ne réagissent que lorsqu’ils sont en contact les uns avec les autres. Les systèmes d’appétit se font compétition pour aller chercher les différents nutriments, ce qui influence l’alimentation. »

Pendant la recherche, Raubenheimer a découvert que les orangs-outans et les singes-araignées priorisaient les protéines au lieu des glucides et du gras. Cependant, comme ils cherchent constamment l’équilibre alimentaire, s’ils manquaient de protéines, ils compensaient en mangeant plus de gras et de glucides.

Voilà pourquoi, rapporte Medical News Today, les humains ont cette tendance au surpoids et à l’obésité. Il faut augmenter les protéines pour éviter les aliments qui favorisent la prise de poids.

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25 % des enfants obèses non diagnostiqués

Puisque le surpoids chez les enfants représente une préoccupation majeure pour les risques de diabète de type 2 et de maladies cardiovasculaires, on suggère de ne plus se baser uniquement sur l’IMC.

Les chercheurs ont constaté que l’IMC identifie avec précision l’obésité juvénile pour ceux dont l’indicatif est élevé. « Qu’arrive-t-il avec les enfants qui ont un IMC normal, mais qui ont tout de même un excès de graisse? », demande le Dr Francisco Lopez-Jimenez de la clinique Mayo de Rochester, au Minnesota.

Selon lui, les parents de ces enfants reçoivent une fausse information et repartent rassurés, alors qu’ils ne devraient pas l’être.

Les experts ont procédé à une méta analyse des données de 37 études. Celles-ci comprenaient 53 521 sujets de 4 à 18 ans. C’est en comparant la mesure de l’IMC à d’autres techniques telles que l’absorption biphotonique à rayons X et la mesure du taux de gras à l’aide de l’épaisseur de la peau qu’ils ont constaté les limitations de l’IMC.

Science World Report mentionne que l’étude a été publiée dans la revue spécialisée Pediatric Obesity.