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Les fruits de mer bons pour le coeur

En fait, consommer une telle quantité de fruits de mer pourrait réduire vos risques de crise cardiaque de plus de 50 %.

De plus, les fruits de mer auraient des propriétés reliées à la santé du cerveau.

Les crevettes, le crabe, le calmar ainsi que les mollusques contiendraient des vitamines et minéraux semblables à ceux trouvés dans le saumon.

Medicaldaily a dressé une liste des fruits de mer et poissons particulièrement bénéfiques pour le corps.

En première position, on retrouve le crabe, puis le calmar, les huitres, les moules, les crevettes, le homard et le saumon.

Les chercheurs assurent également que contrairement aux viandes rouges, qui contiennent des gras saturés, les fruits de mer n’augmentent pas le taux de mauvais cholestérol.

Rappelons que depuis des années, on conseille d’éviter les gras saturés, qui sont associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires.

Selon les chercheurs, il est plutôt avantageux d’augmenter sa consommation de fruits de mer riches en acides gras oméga-3.

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Le Danemark impose une taxe sur le gras

Soucieux d’inciter sa population à manger plus sainement, le Danemark impose maintenant une taxe sur les aliments qui sont moins bons pour la santé.

Ainsi, une taxe de 16 kroner (3 $) du kilo est ajoutée à la facture des aliments contenant des gras saturés.

À titre d’exemple concret, les Danois doivent maintenant payer en moyenne 0,15 $ de plus à l’achat d’un hamburger.

En septembre dernier, la Hongrie devançait le Danemark en devenant le tout premier pays à imposer une taxe sur certains produits contenant des gras saturés.

La loi danoise avait été ratifiée en mars dernier par les élus, qui y voient une solution pour augmenter la longévité de leurs concitoyens. Le gouvernement danois croit que l’espérance de vie, qui est à 79 ans dans ce pays nordique, augmentera de trois ans d’ici les 10 prochaines années.

Les Danois, comme plusieurs citoyens européens, paient déjà une taxe spéciale sur les aliments sucrés, le chocolat et les boissons gazeuses.

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Les parents aiment le resto!

Une étude du Département de l’Agriculture des États-Unis nous apprend que les parents américains accordent la moitié de leur budget alimentaire à des repas au restaurant.

Parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior, cette recherche fait état des conséquences du style de vie parental sur la santé des enfants. Nous savons bien sûr que la cuisine maison contient moins de gras saturés, de sodium et de calories que celle du restaurant.
 
On a pu remarquer cette forte fréquentation des établissements de restauration rapide et des restaurants libre-service après avoir questionné 312 familles de Houston, au Texas. Les enfants de ces familles étaient âgés soit de 9 à 11 ans, soit de 13 à 15 ans.
 
Les chercheurs ont pu tirer quelques autres conclusions subséquentes, par exemple en ce qui concerne les horaires de travail des deux parents de type 9 à 5, ou encore quant au temps passé en compagnie du père.

Finalement, on a relevé encore une fois l’importance d’inculquer de bonnes habitudes alimentaires aux enfants et aux adolescents. Il semble que ces habitudes soient influencées d’une certaine façon par la manière dont l’enfant passe du temps avec ses parents.

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Le lait sans gras ne fait pas maigrir les enfants

Une étude australienne parue dans l’American Journal of Clinical Nutrition nous apprend que boire du lait contenant moins de gras ne serait pas si bénéfique.

Après que l’on ait suivi 145 enfants âgés de 4 à 13 ans pendant 6 mois, on a remarqué que ni le poids ni l’indice de masse corporelle n’avaient été influencés si des produits laitiers réduits en gras saturés avaient été préférés à d’autres.
 
En fait, les enfants avaient plutôt tendance à compenser par une plus grande consommation de calories provenant d’autres sources alimentaires.
 
Le groupe de participants ayant eu à préférer des produits laitiers allégés aura tout de même moins ingéré de gras au cours de l’étude. Ainsi, ce groupe n’aura trouvé que 13,3 % de ses calories totales en provenance des gras saturés, contre 16,6 % pour le groupe témoin.

Toutefois, même si les taux de cholestérol du groupe à l’étude avaient aussi baissé, le tour de taille, l’indice de masse corporelle et le poids des enfants n’ont pas accusé de différence.

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Nous consommons trop d’huile de palme

Une étude française sonne l’alarme sur la consommation de l’huile de palme. Selon Findus, cette huile est souvent consommée en trop grande quantité et les gens l’ignorent.
 
La majorité du temps, l’huile de palme est identifiée comme étant de l’huile végétale, donc personne ne s’en méfie. Pourtant, elle est dangereuse si elle est consommée en trop grande quantité, car elle est riche en gras saturé, celui qui épaissit le plus les artères.
 
Après avoir étudié 10 foyers en France, les chercheurs constatent que chaque personne consomme en moyenne 57 grammes d’huile de palme par mois, soit l’équivalent de 10 % de l’apport maximal en acides gras saturés.
 
Cette consommation varie d’un foyer à l’autre. Par exemple, dans une famille où l’on grignote beaucoup et où l’on mange souvent des plats préparés, la consommation d’huile de palme peut se situer de 173 à 553 grammes par mois.
 
L’huile de palme est présente en grande quantité dans les biscuits, les gâteaux et les plats préparés.
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Les gras saturés ne seraient pas si nocifs pour le coeur

Une nouvelle étude d’épidémiologistes américains remet en question toutes les informations connues sur les gras saturés et en arrive à des résultats surprenants.
 
Après l’analyse de 21 études totalisant un suivi de 347 747 personnes âgées de 30 à 89 ans pendant 5 à 23 ans, on mentionne que couper les gras saturés de notre alimentation ne réduit pas les risques d’infarctus, d’accident vasculaire cérébral ou de maladies cardiovasculaires.
 
Depuis toujours, on mentionne que les gras saturés, retrouvés notamment dans les viandes, les fromages et les crèmes, augmentaient le mauvais cholestérol (LDL). Or, les chercheurs savent que le cholestérol LDL se compose de différentes particules. Les particules plus petites et plus denses sont plus susceptibles de former des plaques et causer des problèmes au niveau de la santé du cœur. Les particules plus grosses et moelleuses sont beaucoup moins nocives. La nouvelle étude démontre que les gras saturés correspondent au deuxième type de particules.
 
Selon les chercheurs américains, le seul bénéfice noté en coupant les gras saturés était lorsqu’il était remplacé par les gras polyinsaturés (poisson, huiles de lin et de tournesol). Remplacer les gras saturés par des aliments riches en glucides ne présente aucun bienfait, même que cela pourrait augmenter les risques d’infarctus et d’AVC.
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Les gras saturés sont les ennemis des yeux

Une étude récente démontre que la dégénérescence maculaire serait causée par une alimentation riche en gras saturés et en oméga-6.

Des chercheurs américains ont étudié 1 787 femmes âgées de 50 à 79 ans pendant trois ans. Les femmes de moins de 75 ans qui consomment beaucoup de gras augmentent leur risque de souffrir d’une dégénérescence maculaire de 70 %.

Les gras mono-insaturés auraient toutefois l’effet contraire et protègeraient les yeux. Ces types de gras se retrouvent dans l’huile d’olive notamment.

Par contre, on ne note aucun effet sur les plus de 75 ans, car à ce stade, ce sont les effets du vieillissement qui causent plus de problèmes.

Bien que de récentes études mentionnent que les oméga-3 protègent contre la dégénérescence, on a constaté que ces acides gras sont accompagnés d’une grande quantité d’oméga-6 et les effets de ces derniers pourraient l’emporter.

On constate également qu’une alimentation riche en gras saturés est souvent accompagnée d’un régime appauvri en nutriments antioxydants, qui ont des effets protecteurs pour les yeux.

Mis à part les effets du vieillissement, plusieurs facteurs peuvent jouer un rôle dans la dégénérescence maculaire : les antécédents familiaux, le tabagisme et les troubles cardiovasculaires, qui incluent l’hypertension, l’hypercholestérolémie et l’obésité.