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Le système immunitaire au service de la lutte anti-obésité?

Le système immunitaire pourrait-il s’avérer une nouvelle arme dans la lutte à l’obésité? C’est ce que proposent deux nouvelles études sur le sujet, dont les conclusions sont rapportées par le Science Daily.

Les chercheurs croient que l’activation provoquée du système immunitaire pourrait activer de « bon gras » dans l’organisme, qui permettent de bruler des calories stockées dans l’organisme.

La manœuvre pourrait s’avérer la base d’un nouveau traitement contre l’obésité. « L’idée que la santé métabolique puisse être améliorée par l’activation des cellules immunitaires dans les gras est plutôt fantastique. Cette étude révèle une nouvelle classe potentielle de traitements qui pourraient un jour être utilisés pour traiter les désordres liés à l’obésité », commente l’auteur de l’une de ces études, Bruce Spiegelman, du Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School.

Une autre étude publiée presque simultanément par des chercheurs de l’Université de Californie abonde dans le même sens.

Les résultats de ces deux études ont été publiés par Cell Press dans le journal scientifique Cell.

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Évitez la malbouffe même avant la grossesse

Il ne s’agit pas de modifier nos habitudes alimentaires lorsqu’on apprend que l’on est enceinte. Au contraire, il faut le prévoir, puisque l’impact sur la grossesse est direct et dangereux.

Ce sont des chercheurs en Australie qui sont arrivés à cette conclusion. L’équipe de l’Université Adélaïde a lié l’alimentation en malbouffe, sucre et gras à un risque de naissance avant 37 semaines de 50 % plus élevé que la normale.

Les spécialistes de l’Institut de recherche Robinson ont suivi les schémas diététiques de plus de 300 femmes en Australie du Sud, et ce, pour une durée de 12 mois avant la conception d’un enfant.

« Dans notre étude, les femmes qui consommaient des aliments riches en protéines, incluant des viandes, du poisson et du poulet, en plus de fruits, grains entiers et légumes, démontraient des risques beaucoup plus bas de naissances prématurées », rapporte la Dre Jessica Grieger.

Ce sont des changements que les femmes peuvent facilement effectuer, et qui pourraient changer radicalement les statistiques d’accouchement avant terme.

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Une diète à forte teneur en gras augmente les risques de cancer du sein

Les femmes qui observent des régimes à forte teneur en gras saturé sont plus à risque de développer un cancer du sein que les autres, nous dévoile une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des régimes comme la diète Atkins, par exemple, seraient possiblement des facteurs de risques supplémentaires à l’apparition éventuelle d’un cancer du sein chez la femme, conclut l’étude.

On évalue la hausse de ces risques à 28 %, selon les résultats proposés par les chercheurs du National Tumour Institute de Milan, en Italie.

« Les résultats de cette étude prospective sur une large population de femmes européennes indiquent que les diètes fortes en gras et gras saturés augmentent les risques du cancer du sein », mentionne la Dre Sabina Sieri, coauteure principale de l’étude.

L’étude tire ses conclusions de plus de 300 000 dossiers de femmes analysés au cours d’une période donnée, répartis dans 10 pays de l’Europe.

Les résultats de la Dre Sieri et de son équipe ont été publiés dans le Journal Of The National Cancer Institute.

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Les yogourts faibles en gras pourraient prévenir le diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des yogourts faibles en gras en prévention du diabète.

L’étude en question, publiée par des chercheurs britanniques, suggère de fortes propriétés préventives en matière de diabète à ces produits, qui pourraient contribuer à réduire le nombre de cas de diabète de type II.

Les chercheurs parlent d’une réduction des risques pouvant même aller jusqu’à 30 % chez les personnes qui consomment ces yogourts quotidiennement, comparativement à celles qui n’en consomment pas du tout.

D’autres produits laitiers fermentés pourraient avoir des impacts similaires sur la santé, selon l’équipe de chercheurs basée à l’Université de Cambridge, par exemple certains fromages à faible teneur en gras.

« Ce que notre étude démontre surtout est que le yogourt devrait faire partie d’un régime équilibré », lance le Dr Nita Forouhi, qui dirige ces recherches.

Foruhi fait cependant remarquer que cette étude ne démontre pas de cause à effet, mais que certaines statistiques ne mentent pas.

Les apports en calcium, magnésium et vitamine D seraient tous des facteurs qui contribueraient à un risque réduit de développement du diabète de type II.

Ces conclusions et observations ont été publiées dans le journal Diabetologia.

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Les supermarchés sollicitent les enfants avec des produits caloriques aux caisses

Selon la Food Standards Agency, plus de 90 % des produits que l’on retrouve aux caisses sont extrêmement mauvais pour la santé et contiennent des niveaux élevés de gras, de sucre et de sel.

Les chercheurs de l’University School of Health and Relatade Research (ScHARR) ont récolté les données des chaînes de magasins Tesco, Sainsbury’s et Asda en 2012. L’étude a été menée 1 an après la signature d’une « entente de responsabilité » qui promettait d’encourager les gens à suivre une alimentation plus équilibrée.

Comme le rappelle Science World Report, l’obésité aux États-Unis est passée d’un problème de santé à une maladie en soi. Mais nous continuons à utiliser la publicité dirigée vers les enfants pour vendre des produits mauvais pour la santé.

« La caisse est une aire où tous doivent passer, alors étaler des aliments très caloriques qui suscitent un fort intérêt chez les enfants les expose inévitablement », explique le Dr Jason Horsley de la ScHARR. « Les enfants représentent un marché cible de choix pour les détaillants de friandises, et le budget dédié à la publicité dirigée vers les enfants a augmenté de façon exponentielle depuis les 3 dernières décennies. »

Les résultats de la recherche ont démontré que ce sont les enfants de 2 à 5 ans qui réussissent le plus à influencer leurs parents pour l’achat de friandises aux caisses.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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Régime riche en gras à l’adolescence relié au risque élevé du cancer du sein

Une récente étude pointe du doigt les aliments gras consommés par les adolescentes. Ceux-ci s’avèrent dangereux à long terme, puisqu’ils augmentent considérablement les risques de cancer du sein, et ce, même si elles s’alimentent sainement dans leur vie adulte.

Selon ce que rapporte Science World Report, les chercheurs de l’organisme Breast Cancer and Environment Research Program à l’Université de l’État du Michigan en sont venus à une conclusion de grande importance.

Un régime alimentaire élevé en graisses chez les jeunes femmes pourrait augmenter la croissance cellulaire et altérer les cellules immunitaires des tissus du sein. Ces modifications, ont-ils constaté, persistent souvent durant la vie adulte, ce qui engendrerait le développement rapide de lésions précancéreuses. Ultimement, celles-ci mèneraient vers un cancer du sein.

« Il est important de noter que notre expérience se base sur l’alimentation riche en gras et n’inclut pas de facteur d’obésité, ce qui signifie que les résultats s’appliquent à un segment beaucoup plus important de la population », a révélé le microbiologiste Richard Schwartz, coauteur de l’étude.

Vous pouvez trouver plus de détails sur l’étude sur le site de l’Université de l’État du Michigan.

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Un sommeil régulier pour un poids santé

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus la corrélation entre les habitudes de sommeil et le maintien du poids, rapporte cette fois le ScienceWorldReport.

Menée par Bruce Bailey, un professeur de la Brigham Young University, l’étude parle d’une véritable cause à effet, et des bienfaits d’un sommeil régulier. Ne mentionnant ni ne suggérant d’heures particulièrement favorables pour le sommeil, le spécialiste parle plutôt de l’importance de la régularité des heures de sommeil.

En clair, se coucher et se lever aux mêmes heures, particulièrement pour les femmes, serait bénéfique et utile dans le maintien d’un poids santé.

Pour Bailey et son équipe, le constat est clair : les femmes qui s’astreignent à de telles habitudes de sommeil affichent un taux de gras moins important que les autres, et sont par définition plus minces. Il semble que la limite imposée pour que le sommeil soit considéré comme régulier soit une variation de 60 minutes maximum, d’une journée à l’autre.

Plusieurs autres études ont abondé dans le même sens récemment, affirmant qu’il existe un lien réel entre les habitudes de sommeil et la prise de poids.

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La FDA pourrait bannir les acides gras trans du territoire américain

C’est toute une nouvelle qui circule depuis les dernières 24 heures dans le monde de la nutrition, alors que la FDA américaine confirme réfléchir sérieusement à l’idée de bannir les acides gras trans de son territoire, une bonne fois pour toutes.

Une telle mesure, notamment rapportée par Top Santé, signifierait la fin de la guerre de tranchées que se livrent les spécialistes de la santé et la malbouffe, sur ce sujet du moins, alors que cette dernière se verrait carrément dénudée de ses gras trans.

La FDA croit qu’en retirant les acides gras trans des pizzas, frites et burgers américains, elle contribuera à prévenir quelque 7000 décès et plus de 20 000 crises cardiaques, en moyenne, annuellement.

« Bien que la consommation de graisses hydrogénées artificielles potentiellement dangereuses pour la santé ait diminué ces deux dernières décennies aux États-Unis, elle demeure une préoccupation majeure de santé publique », lance catégoriquement la directrice de la FDA, Dre Margaret Hamburg.

Il s’agit d’une mesure aussi drastique qu’étonnante, mais qui sera sans doute saluée et bien accueillie par un nombre important de spécialistes et de citoyens américains.

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé.