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Burger King entre dans la danse de la santé avec ses « satis-frites »

La célèbre chaîne de restauration rapide Burger King ajoute un nouvel élément à son menu, et tente par le fait même de regagner certains amateurs avec ce nouveau produit plus « santé », rapporte le Daily Mail (UK).

Il s’agit de frites que l’on prétend « 20 % plus santé », baptisées les « satis-frites » et comprenant jusqu’à 70 calories de moins qu’une portion de frites dites normales.

Cela n’empêche pas la petite portion de satis-frites de Burger King de faire osciller le compteur de calories autour de 270, ce qui n’est pas négligeable. C’est tout de même une baisse vérifiable de 70 calories, comme le mentionne la chaîne, alors qu’une petite portion de frites régulières atteint 340 calories.

Le goût de cette nouvelle pomme de terre frite serait identique à sa consoeur, mais Burger King croit que celle-ci permet de ressentir moins de culpabilité à l’engloutir.

La satis-frite comprendrait également moins de gras et moins de sel, deux autres facteurs qui contribuent à faire baisser le nombre de calories, et qui s’avèrent des avantages en soi. Le sel est reconnu pour être un ennemi notoire de l’organisme, comme le suggèrent plusieurs études publiées récemment.

Saurez-vous faire la différence?

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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Une mauvaise alimentation pendant la grossesse apporte de lourdes conséquences chez l’enfant à naître

Déjà, dans une recherche précédente, on expliquait qu’une alimentation excessive de sucre et de gras modifiait la réponse du cerveau relativement à la « récompense ». En d’autres termes, elle prédisposait à la suralimentation et à diverses dépendances.

Or, cette nouvelle étude, menée par la neuroscientifique Nicole Avena, de l’Université de Floride, vient appuyer ces conclusions. Dès la gestation, le fœtus est sensible à l’apport en graisses et en glucides, et une surexposition le prédispose aux dépendances d’alcool et de drogues.

Ces conséquences se développeraient plus tard, à l’âge adulte, selon Santé Log, et s’ajoutent au risque très élevé de surpoids dès la naissance.

Dans le cas présent, ce sont deux groupes de rats qui ont été testés, le premier constitués de rats nés de mères nourries avec un régime alimentaire équilibré, et le second avec des rats dont les mères avaient été gavées de sucre et d’aliments gras.

La sensibilité à l’alcool et aux amphétamines des rats du second groupe était nettement plus élevée que ceux du premier groupe. Des résultats qui, malheureusement, sont très probants.

Cela encourage cependant les futures mères à prendre en compte leur alimentation dès les premiers trimestres de la grossesse.

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Le beurre d’arachides ne serait pas nécessairement un allié santé

Le bon vieux beurre d’arachides, qui survit aux décennies qui se suivent, demeure un choix de prédilection des consommateurs au petit déjeuner.

On le vante souvent pour ses qualités nutritives, l’aliment faisant même partie du groupe des viandes et substituts. Sauf que toutes ces louanges pourraient masquer les effets sournois du beurre d’arachides sur la santé, selon Authority Nutrition.

En effet, un journaliste s’est penché sur la question, lui qui admet adorer le produit.

Lorsqu’il regarde de plus près les effets et les apports du beurre d’arachides, il fait plusieurs constatations. À commencer par le fait que le produit ne semble pas lui procurer un réel sentiment de satiété, comparativement à d’autres aliments.

Il met ensuite en garde contre plusieurs compagnies qui produisent certains beurres d’arachides auxquels on aurait ajouté d’autres produits, comme du sucre.

Il admet cependant que plusieurs bons produits ne comprenant que des arachides sont proposés sur le marché, sauf que tous ces produits possèdent la même caractéristique : ils sont gras et caloriques.

Chaque 100 grammes de beurre d’arachides contiendrait environ 50 grammes de gras et un taux élevé de calories, ce qui suggère que la tartinade devrait être utilisée de façon modérée, spécialement pour ceux qui désirent perdre du poids.

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Ces produits santé qui vous font grossir

Des experts de Tesco publient une liste de produits qui sont, selon eux, susceptibles de vous faire grossir et de ruiner votre régime minceur, et ce, malgré leur réputation « santé ».

Ce serait le cas notamment du fameux jus de fruits, souvent vendu en concentré ou en mélange sucré, qui fait exploser le compteur des calories! De plus, les jus de fruits communément retrouvés en magasins ne contiennent aucune fibre, ce qui laisse le champ libre au sucre pour vous attaquer de plein fouet et vous rendre léthargique à certains moments de la journée, selon le Daily Mail (UK).

Même chose en ce qui concerne l’huile d’olive, qui se retrouve également sur cette infâme liste. Bien qu’elle soit vantée et qu’elle possède véritablement plusieurs propriétés bienfaitrices pour la santé, l’huile d’olive arrive également avec son bagage calorique… un montant approximatif impressionnant de 50 calories par cuillère à thé!

Pour compléter cet ultime triumvirat des aliments maudits sur cette liste, les experts jettent un dernier blâme à l’endroit des yogourts et des biscuits « faibles en gras », qui contiendraient souvent plus de calories que les formules originales.

Manifestement, l’ère moderne et l’obsession alimentaire qui la caractérise ouvrent la porte à toute une série de mythes et de stratégies marketing qui laissent souvent le consommateur dans la confusion et le noir le plus total.

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Les gras saturés peuvent-ils rendre le cerveau vulnérable à l’Alzheimer?

The National Library of Medicine rapporte une étude de l’École de médecine de Wake Forest, qui trace une corrélation entre une grande consommation de gras saturés et le développement de maladies dégénératives cérébrales comme l’Alzheimer.

En fait, le lien n’en est pas un direct entre une surconsommation de ces gras et les risques de développement de la maladie en tant que telle, mais c’est plutôt le cerveau qui serait rendu vulnérable à ce type de problème de santé.

Selon ce que l’on comprend des informations proposées dans l’étude, par ailleurs publiée dans le JAMA Neurology, une diète forte en gras saturés viendrait anéantir une propriété chimique clé en prévention de l’Alzheimer et de certaines autres maladies dégénératives, une propriété appelée ApoE.

En bref, ces résultats ne sont ni plus ni moins qu’une autre bonne raison de faire attention à ce que vous mangez!

Les gras saturés, massivement retrouvés dans les aliments gras et frits comme le fast-food et les frites, doivent absolument être consommés avec modération.

La preuve de ce fait n’est manifestement plus à faire.

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Le lien entre la tristesse et la crème glacée démystifié

Vous êtes du genre à bondir vers le pot de crème glacée, par ailleurs délicieux, lorsque vous ressentez de la tristesse ou vivez des émotions négatives? Vous n’êtes pas le seul. Selon le Daily Mail (UK), il ne s’agit cependant pas d’un phénomène aléatoire, loin de là.

Selon les explications proposées par des chercheurs allemands de l’Université de Wuzburg, les gens en détresse émotionnelle (tristesse, peine amoureuse, deuil, lendemain de veille difficile, etc.) verraient leur capacité gustative se modifier.

Ainsi, en ces moments difficiles, les individus seraient moins à même de reconnaître les gras, mais seraient en revanche beaucoup plus sensibles aux produits contenant du sucre.

Pour étayer et prouver cette théorie, les chercheurs ont fait visualiser différentes scènes et mises en contexte à un groupe cible, avant de lui proposer de la nourriture.

Les sujets ayant été mis en contexte d’émotions tristes ou relatives à la négativité ont tous été moins habiles à détecter la présence de gras dans les aliments proposés, mais réagissaient subitement plus efficacement aux aliments sucrés.

Ne soyez donc pas trop inquiet lors de votre prochaine rupture, il semble tout à fait normal de tomber tête première dans la crème glacée! Il s’agit de savoir quand s’arrêter, tout de même…

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L’OMS s’attaque à l’obésité

Réduire de 30 % l’apport moyen en sel dans l’alimentation, augmenter l’activité physique de 10 %, taxer les produits mauvais pour la santé… autant d’engagements pris cette semaine par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour stopper la progression de l’obésité dans le monde d’ici 2020.

Cette résolution met sur pied un plan d’action contre les maladies non transmissibles (maladies cardiovasculaires, cancer, maladies respiratoires chroniques et diabète) en s’attaquant à une série de facteurs de risque, dont l’obésité.

« Le coût de l’inaction dépasse de loin le coût des mesures », souligne le plan d’action de l’OMS, qui explique que le surpoids et l’obésité sont le cinquième facteur de risque de décès au niveau mondial, et qu’au moins 2,8 millions d’adultes en meurent chaque année.

« L’adoption du plan d’action est extrêmement importante pour lutter contre une des crises sanitaires les plus dévastatrices à l’heure actuelle », a affirmé à l’AFP John Stewart, un des responsables de l’ONG Corporate Accountability International.

À ses yeux, les grandes entreprises du secteur alimentaire réalisent des « profits en produisant des aliments trop sucrés, trop gras ou trop salés ».

Le plan d’action de l’OMS appelle d’ailleurs les entreprises à coopérer et propose aux États une série d’objectifs volontaires. Elle suggère donc un large éventail de mesures, invitant les pays à éliminer les acides gras industriels dans les aliments, à promouvoir l’étiquetage nutritionnel des aliments préemballés, à diminuer la teneur en sel et en sucres dans les aliments et boissons non alcoolisées ou encore à réduire la taille des portions.

Le plan d’action recommande aussi aux États d’augmenter « l’accessibilité financière et la consommation de fruits et légumes ». Surtout, l’organisation conseille l’utilisation « de taxes » afin de détourner les consommateurs d’aliments moins bons pour la santé, et d’oeuvrer pour que les publicités vantant ces produits soient absentes des lieux où il y a des enfants, comme les écoles.

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Kellogg’s veut rendre les Special K encore meilleures pour la santé

Les fameuses céréales Special K de Kellogg’s sont déjà un excellent choix pour les personnes soucieuses de leur santé.

La compagnie le sait très bien et veut maintenant améliorer sa recette afin d’abaisser d’environ 40 % les apports en gras contenus dans un bol.

On veut aussi abaisser les teneurs en sel, rapporte le Daily Mail (UK), dans une proportion d’à peu près 11 %.

On compenserait par une hausse de 80 % de fibres, ce qui devrait rendre le produit à l’abri de toutes critiques.

Le changement est annoncé en Angleterre, et bien que les détails concernant la stratégie internationale ne soient pas encore dévoilés, on peut s’attendre à ce que ces transformations soient appliquées un peu partout.

De plus, Kellogg’s veut créer une nouvelle recette à partir de ces objectifs, en ajoutant un ingrédient spécial afin d’assurer l’unicité du produit à travers le monde. Plusieurs autres compagnies tentent de copier la recette Special K, ce qui agace la multinationale.

Si la compagnie dit vrai, ces changements risquent de profiter aux consommateurs, qui verront leurs céréales préférées devenir encore plus bénéfiques pour leur santé.