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Un repas hors des chaînes de fast-food peut avoir bien plus de calories

Un repas dans un restaurant n’appartenant pas aux grandes chaînes de restauration rapide aux États-Unis peut contenir deux à trois fois la quantité de calories normalement requise, révèle une étude lundi (13 mai).

Alors que l’industrie du fast-food se prépare à appliquer les nouvelles réglementations fédérales l’obligeant à afficher les calories contenues dans ses plats, environ la moitié des restaurants ne seront pas soumis à cette règle.

Car cette nouvelle obligation concerne les chaînes de restaurant comptant au moins vingt établissements. Or, on estime que 50 % des restaurants aux États-Unis n’entrent pas dans cette catégorie, ce qui pourrait réduire l’efficacité de cette mesure destinée à lutter contre l’obésité, estiment les auteurs de cette étude publiée dans le Journal of Internal Medicine.

C’est cette moitié de « petits » restaurants qui a intéressé les chercheurs de l’Université Tufts, dans le Massachusetts. Ils ont analysé 157 repas complets provenant de 33 restaurants individuels ou appartenant à de petites chaînes situés dans un rayon de vingt kilomètres autour de Boston.

Ils ont choisi les plats les plus populaires dans les neuf types de restaurants les plus fréquents aux États-Unis, à savoir mexicain, américain, chinois, italien, japonais, thaïlandais, indien, grec et vietnamien.

« En moyenne, les repas étudiés contenaient 1327 calories, ce qui est très supérieur à ce qu’un adulte a besoin de consommer avec un seul repas », souligne Susan Roberts, directrice du laboratoire du métabolisme à l’Human Nutrition Research Center on Aging à l’Université Tufts.

Quelque 73 % des repas analysés avaient plus de la moitié des 2000 calories quotidiennes recommandées par l’Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments (FDA), tandis que 7,6 % contenaient plus que la totalité des calories requises pour un jour.

Les repas provenant de restaurants italiens étaient les plus riches avec en moyenne 1755 calories, suivis par les restaurants américains (1494 calories) et chinois (1474 calories). Les repas vietnamiens et japonais étaient les moins riches avec en moyenne 922 calories et 1027 calories respectivement.

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6 façons pour vous aider à faire prendre du poids à votre enfant

C’est Parenting Squad qui rapporte le cas, entre autres, d’une maman dont la petite fille est atteinte de fibrose kystique. Pour demeurer en vie, cette enfant doit consommer des aliments riches en calories, en gras, en sucre et en sel.

Si votre enfant est dans la même situation, voici 6 conseils pour vous aider.

Boire des suppléments – De nombreux suppléments sont vendus sur le marché. Certains vont à plus de 600 calories. D’autre part, renseignez-vous auprès de votre médecin, car certains sont couverts par les assurances.

Le beurre – Eh oui, en plus d’avoir bon goût, ce que votre enfant appréciera, le beurre peut être ajouté à presque tout : légumes, pain, pâtes, pommes de terre. Profitez-en!

L’huile d’olive – Une solution plus santé que le beurre consiste à utiliser l’huile d’olive, qui contient de bons gras.

Les granolas – Plus santé que les céréales sucrées, et surtout contenant beaucoup de gras et de calories, vous pouvez les utiliser sur la crème glacée, le yogourt ou seules.

Le fromage – Une option tellement facile qu’il fallait simplement y penser. Essayez de l’intégrer à toutes les sauces. Cela apportera en plus une bonne dose de calcium.

McDonald’s – Dans le témoignage de la maman dans cet article, elle indique que McDonald’s lui a sans doute sauvé la vie, au sens figuré, et au sens propre pour sa fillette. Il s’agit du seul endroit où sa petite finit son repas et profite d’un maximum de calories, sucre, sel et gras dont elle a tant besoin.

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Manger des croustilles est pire qu’on aurait pu le croire

Nous savons tous que les croustilles contiennent du gras, du sel, du sucre et des amidons. Ce qu’on ne sait pas nécessairement par contre, c’est que depuis des décennies, les producteurs alimentaires ont transformé les croustilles des années soixante-dix, qui représentaient alors un petit goûté sans danger, en produits conçus pour nous rendre accros par un procédé appelé « la chimie de précision ».

Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medicine par le cardiologue et chercheur alimentaire Dariush Mozaffarian, les croustilles seraient maintenant les plus grandes contributrices à l’épidémie d’obésité aux États-Unis.

Il dit : « Tous les aliments ne sont pas égaux. Manger avec modération ne suffit pas toujours ».

Il a aussi été suggéré que le contenu de ces produits ne contribuerait pas seulement à l’obésité et aux épidémies de maladies cardiaques. Un apport important de croustilles peut non seulement déséquilibrer le corps des enfants et des adultes, mais pourrait aussi être dangereux pour les enfants à naître.

Une étude britannique aurait aussi démontré que la consommation de grandes quantités de frites et de croustilles lors de la grossesse pouvait autant nuire au bébé qu’une future mère fumeuse.

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L’huile de canola et ses multiples vertus

Des chercheurs canadiens et américains se sont concertés afin d’analyser les bienfaits de l’huile de canola, au détriment d’autres corps gras. Comme on le pensait, on rapporte d’abord que l’utilisation de cette huile permettrait une perte de poids plus rapide et plus efficace.

Mais il y a plus, rapporte Science Daily, puisque les chercheurs nord-américains croient également que l’huile de canola permettrait de réduire les risques de développer un syndrome métabolique.

Ce dernier peut prendre la forme de plusieurs troubles et symptômes et se définit comme « une série de problèmes de santé ayant en commun un mauvais métabolisme corporel ».

Plusieurs spécialistes sont encore réticents à accepter le syndrome métabolique comme une maladie unique reconnue, mais tous semblent s’entendre pour dire que les huiles végétales, comme celle de canola, permettent bel et bien de réduire les risques de développer plusieurs problèmes de santé liés à ce fameux syndrome métabolique.

« Les gras retrouvés dans ces huiles végétales permettent de réduire le gras abdominal, ce qui permet aussi de réduire les risques associés aux facteurs et symptômes du syndrome métabolique », résume Penny Kris-Etherton, professeure à la Penn State University.

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La Nouvelle-Orléans sous les projecteurs

Après avoir vécu les pires moments de son histoire au courant des derniers mois et des dernières années, La Nouvelle-Orléans s’apprête à célébrer son grand retour, rapporte le Daily Mail.

Celui-ci s’effectuera sous les projecteurs, et doublement, alors que la planète entière aura bientôt les yeux tournés vers cette ville de la Louisiane.

Doublement, parce que La Nouvelle-Orléans ne présentera pas un, mais bien deux événements de calibre international dans les prochaines semaines.

D’abord, on attend bien sûr le grand bal du football américain, le Super Bowl, qui sera présenté au Superdome (l’un des plus beaux et gros stades en Amérique du Nord, tous sports confondus), le 3 février prochain.

Il s’agit déjà de l’événement le plus gros qu’il est possible de présenter dans notre culture actuelle, mais La Nouvelle-Orléans tiendra également son autre événement culturel culte en février : le Mardi gras.

Ce dernier est une fête éclatée et réputée à travers le monde, qui célèbre la musique et l’excentricité. Des millions de personnes suivent l’événement via les médias ou affluent vers La Nouvelle-Orléans pour y prendre part.

Aux yeux des autorités de la Louisiane et des citoyens américains, il s’agira de moments émotifs et d’un bonheur pleinement mérité pour la ville qui a su se relever de l’horrible passage de l’ouragan Katrina.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

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Manger moins de gras pourrait suffire à faire perdre du poids

www.nlm.nih.gov rapporte les conclusions d’une équipe de chercheurs britanniques qui croient que le simple fait de « couper dans le gras » permettrait une perte de poids.

C’est du moins ce qu’ils affirment dans une étude publiée dans le journal BMJ. Selon eux, il n’y a pas que les régimes qui sont bénéfiques pour perdre quelques kilos. Remplacer des aliments gras par d’autres qui le sont moins, et par conséquent réduire sa consommation de corps gras, peut permettre aux gens qui aimeraient perdre quelques kilos d’y parvenir.

Les chercheurs de l’Université d’East Anglia parlent d’une perte de poids d’environ 3,5 livres, en moyenne, chez les sujets observés.

Pour parvenir à ces conclusions, on a observé les changements chez des sujets qui ont coupé les matières grasses de façon significative, puis on les a comparés à ceux observés chez d’autres qui n’ont rien changé à leur alimentation.

On constate que le simple fait d’abaisser la consommation de gras permet au corps de maigrir, naturellement.

L’étude compilait des résultats obtenus dans 33 essais et contrôles un peu partout dans le monde, notamment en France, aux États-Unis, au Canada et en Nouvelle-Zélande.

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Des statistiques alarmantes concernant l’huile de palme

On apprenait récemment que le fameux Nutella pourrait bien se retrouver dans l’eau chaude à la suite de nombreuses études qui pointent du doigt les produits utilisateurs de l’huile de palme.

Cette huile est considérée par plusieurs comme néfaste pour la santé, ou à tout le moins grasse et propice au gain de poids.

Selon ce que rapporte topsante.com, il n’y aurait pas que le Nutella à placer au banc des accusés. De fait, on apprend qu’un produit sur trois vendu fréquemment en épicerie contiendrait de l’huile de palme ou une autre huile végétale grasse similaire, et que les étiquettes ne sont pas toujours claires à cet effet.

Une étude effectuée par l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (Oqali) a permis de constater que la moitié des produits communs vendus dans les marchés contiennent de l’huile végétale grasse. Du nombre, 34 % contiennent de l’huile de palme.

Il semble que les grandes multinationales alimentaires aiment bien utiliser cette huile, en fonction de ses coûts de production moins élevés. On la retrouverait notamment dans les biscuits, les gâteaux industriels et les barres tendres.

On suggère aux gens de favoriser l’utilisation d’huiles végétales saines et l’achat de produits qui en contiennent, par exemple l’huile d’olive, l’huile de colza ou encore l’huile de noix.

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Encore trop de gras, de sel et de sucre dans l’alimentation industrielle

(AFP) – Encore trop de sucre, de gras et de sel : les efforts de l’industrie agroalimentaire pour réduire ces apports excessifs s’avèrent encore insuffisants pour respecter les préconisations sanitaires, selon l’étude de l’Observatoire de la qualité de l’alimentation (Oqali) publiée mardi (4 décembre).

Au cours des cinq dernières années, les apports journaliers en sucre ont baissé de 0,4 % pour les hommes et les femmes, et la part des lipides (graisses) a été réduite de 0,4 % pour les hommes et de 0,3 % pour les femmes, selon une évaluation basée sur les produits proposés par l’industrie agroalimentaire aux consommateurs français.

L’étude a mesuré l’impact de la reformulation des recettes de certains produits de l’agroalimentaire et montre que les progrès restent très insuffisants par rapport aux objectifs du Plan national nutrition santé (PNNS 2).

Les gains sont plus importants sur les produits frais laitiers et les boissons fraîches sans alcool pour le sucre et sur les charcuteries pour le gras, selon les résultats de ces évaluations transmis par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses) qui pilote les travaux de l’Oqali avec l’Inra, l’Institut national de recherches agronomiques.

Les apports en sel ont baissé de 1,1 % pour les hommes et de 0,9 % pour les femmes, soit une réalisation de 3 à 5 % des objectifs du PNNS 2 pour les hommes et de 14 % pour les femmes.

Le PNNS 2 adopté en juin 2012 préconise de contenir la dose quotidienne de sel sous les 8 grammes/jour.

Pour les sucres, la reformulation des produits permet de réaliser 1,6 % des objectifs du Plan (hommes et femmes). Pour les graisses, cette contribution au PNNS 2 atteint 28 % chez les hommes et 5 % pour les femmes.

Entre 2008 et 2012, trente entreprises de l’industrie agroalimentaire ont adopté des chartes d’engagements promettant de revoir ses recettes pour améliorer la situation nutritionnelle des populations les plus exposées aux excès et déficits alimentaires.

Huit nutriments étaient ciblés : sodium, sucres, lipides, vitamine D, acides gras saturés, acides gras trans, fibres et calcium.

L’Oqali précise cependant que beaucoup d’autres produits de grande consommation ont également été reformulés sans faire l’objet d’une charte d’engagement. Ils ne figurent donc pas dans l’étude qui, souligne l’Oqali, ne présente qu’une « fourchette basse de l’impact réel » des efforts engagés par l’industrie.