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Jessica Alba passe sous le bistouri

En fait, Jessica Alba a été vue en entrant au Beauty Park Medical Spa à Santa Monica, en Californie, hier après-midi (27 novembre). Une source a expliqué à RadarOnline.com ce que l’actrice était venue y faire.

« Jessica a reçu un traitement de liposuccion au laser, ce qui est bien moins radical pour faire fondre les amas de graisse indésirables. » Apparemment, la star en voulait aux masses graisseuses de ses cuisses et de son ventre, comme la majorité des femmes.

Le traitement au laser est accompagné de deux injections de cortisone, qui limitent la douleur. Ainsi, Jessica Alba ne fait pas exception et souhaite maintenir un corps sculptural, même après ses 2 grossesses.

La source a poursuivi : « Elle est déjà magnifique et n’a absolument pas besoin de la liposuccion pour être aussi belle, mais elle est bornée. Le gras dont l’exercice ne vient pas à bout lui pèse, et elle se sent obligée de s’en débarrasser ».

Parmi les autres stars qui ont déjà eu recours à cette chirurgie mineure, mais quand même notable, on retrouve Britney Spears, Beyoncé et Demi Moore.

Rappelons que Jessica Alba a fait partie du top 100 du magazine Maxim, a été nommée femme la plus sexy du monde par FHM en 2007, en plus d’autres titres du genre.

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L’horloge biologique aussi présente chez les cellules de graisse

Le phénomène d’horloge biologique serait aussi vérifiable dans les cellules de graisse, adipeuses, ce qui pourrait expliquer et corroborer l’importance des moments où vous prenez vos repas, selon santelog.com.

C’est ce qu’avance une nouvelle étude, qui vient rejoindre plusieurs autres précédentes sur le sujet, alors que des chercheurs ont réussi à enlever le « gène de l’horloge » des cellules adipeuses de souris.

Ce faisant, les messages envoyés par les cellules graisseuses au cerveau par l’entremise de l’hormone leptine pour annoncer les taux d’énergie en surplus ne se rendent plus.

Les souris commencent alors à grossir, voire devenir obèses, sans pour autant absorber plus de calories.

Il s’agit d’une découverte remarquable, qui pourrait prouver l’importance de manger à des heures régulières, ainsi que d’éviter de manger lorsque le corps s’attend à une période de repos. Cette dernière constatation viendrait d’ailleurs contredire certains articles publiés récemment sur le sujet.

On peut donc conclure que certaines personnes pourraient souffrir d’un syndrome que nous pourrions appeler celui de « l’horloge cassée », alors que les renseignements des cellules adipeuses ne se rendent plus, ou mal, au cerveau, et que la connexion avec le système nerveux central est déficiente.

Manger des repas à des heures aléatoires et pendant la nuit deviendrait alors catastrophique.

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L’importance de choisir des viandes maigres

La polémique entourant la viande rouge est de plus en plus agressive, et nombreux sont ceux et celles qui décident carrément de passer au végétarisme.

www.nlm.nih.gov mentionne qu’il est possible d’intégrer sainement les viandes à son alimentation, et qu’elles ont certaines propriétés bénéfiques. Toutefois, on rappelle à la population l’importance de choisir une viande maigre, au détriment des viandes plus grasses.

Pourquoi? Bien, pour les chercheurs de l’University of Michigan Health System, il appert que les caractéristiques de la viande plus grasse viennent justement contrecarrer les effets bénéfiques de la consommation de viande, comme celle du bœuf.

La viande maigre procure par ailleurs des protéines dites « complètes », et est une excellente source de vitamine B, particulièrement la B-12. De plus, elle contient des apports en fer qui sont indispensables pour l’organisme.

C’est au niveau des gras que la partie se joue, et se gagne. La viande maigre comprend moins de gras saturés, franchement néfaste pour la santé. Les spécialistes rappellent d’ailleurs les effets néfastes des gras saturés et trans à la population de façon agressive, depuis quelques années.

On suggère aussi de limiter sa consommation de viandes rouges à quelques portions par semaine.

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Des gras de poisson qui aident à perdre du poids!

Il y a de quoi être stupéfait lorsqu’on lit que des aliments gras sont non seulement suggérés et conseillés, mais qu’ils peuvent aussi aider à perdre du poids!

C’est pourtant vrai dans le cas de plusieurs poissons, même en croquettes, rapporte topsante.com.

Plusieurs d’entre vous auront sans doute deviné que si l’on parle de poisson, on parle presque inévitablement d’oméga-3. C’est cette composante qui, alliée aux autres éléments, permettrait la « lipolyse », mot qui désigne l’action de fonte de graisses par l’organisme. On parle donc carrément d’aliment qui aide à maigrir, ici.

Plusieurs « bons » poissons sont cités, notamment le saumon, le hareng, les sardines et le flétan.

Vu la teneur élevée de ces aliments en iode, en protéines et en oméga-3, certains spécialistes n’hésitent pas à les conseiller, peu importe leur mode de cuisson ou leur format.

Par contre, on indique aux gens qui font congeler leurs poissons qu’ils ne doivent pas attendre trop longtemps avant de les consommer. Les bénéfices des oméga-3 seraient grandement diminués, alors que ceux-ci seraient coupés de 50 % après six mois de congélation.

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Quoi manger pour une santé cardiaque optimale

On parle beaucoup de la santé cardiaque dans les dernières années, et pour cause. En effet, les maladies cardiovasculaires sont les causes de mortalités principales au Canada.

Il est cependant possible de contrer le phénomène en faisant des choix alimentaires et nutritifs intelligents. Alors, quoi choisir et quels sont nos alliés? Voici quelques suggestions.

D’abord, on doit bien sûr parler des matières grasses. Conseilsnutrition.tv conseille d’ailleurs de limiter les mauvais gras et de carrément éliminer les gras trans, par exemple.

Un bon truc est de commencer par troquer le beurre (ou la margarine) pour l’huile végétale en cuisson. L’huile d’olive semble être le choix le plus optimal lorsqu’on veut améliorer sa santé cardiaque.

Lorsque l’on choisit de la margarine (meilleure que le beurre), il faut s’assurer que celle-ci soit non hydrogénée.

Ensuite, il faut éviter de consommer trop de viandes rouges de façon hebdomadaire, et de mettre plutôt l’emphase sur les poissons. Ceux-ci sont une excellente source d’oméga-3, en plus de contenir de bons gras mono-insaturés.

Pour conclure, on suggère de continuer d’ajouter des fruits et légumes abondamment à notre alimentation, entre autres pour leurs apports en antioxydants.

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Les graisses : lesquelles sont néfastes, et pourquoi?

Nous livrons une guerre constante aux graisses à notre époque et, pourtant, certaines sont bonnes pour la santé, selon les spécialistes. Il s’agit de démystifier les différents types, et comme pour tout, y aller avec modération.

Voilà que des chercheurs américains ont poussé cette réflexion plus loin et croient avoir réussi à expliquer les liens entre les gras et leurs effets sur la santé.

Ainsi, selon lanutrition.fr, les acides gras polyinsaturés (huiles végétales, poissons) auraient des propriétés antimicrobiennes et fragiliseraient les membranes cellulaires des bactéries.

Les acides gras saturés (que l’on retrouve dans les viandes grasses et les produits laitiers, entre autres) aident à la croissance des bactéries nocives dans notre système digestif.

Notre corps déclencherait alors une réaction du système immunitaire afin de placer l’organisme dans un état d’inflammation léger, mais constant. Un état qui favoriserait le risque de plusieurs maladies, à long terme.

Le Dr Joe Alcock, de l’Université du Nouveau-Mexique, déclare : « Les bactéries qui entrent en contact avec des acides gras insaturés ont tendance à se dissoudre. Par contre, les acides gras polyinsaturés comme les oméga-3, combinés à notre système de défense naturel, permettent de bien protéger l’organisme contre les bactéries ».

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Le gras modifie le cerveau

Des chercheurs britanniques auraient peut-être trouvé pourquoi certaines personnes ont du mal à se contrôler devant des aliments.
 
Selon l’équipe du Rowett Institute à l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni, une alimentation trop grasse modifie les zones du cerveau qui régulent l’appétit.
 
Les tests menés sur des souris soumises à un régime de 60 % de gras montrent des dommages cérébraux semblables à l’inflammation ou l’embolie cérébrale.
 
Il y a une modification génétique ainsi qu’une altération des protéines dans l’hypothalamus, la zone qui régule l’appétit et les dépenses énergétiques, ce qui expliquerait pourquoi certaines personnes ont du mal à se mettre au régime.
 
« Les produits trop gras et trop sucrés sont des aliments à forte densité énergétique et au goût savoureux dont on a vite fait de manger en grande quantité », déclare Lynda Williams, directrice de recherche. « Cela expliquerait pourquoi il est également difficile pour les personnes obèses qui ont suivi un régime de maintenir leur perte de poids. »
Ces résultats ont maintenant besoin d’être confirmés chez l’homme.
 
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Les messages publicitaires incitent à manger gras

Alors que de nombreux messages publicitaires mentionnent que l’on devrait éviter de consommer des repas trop gras, trop sucrés et trop salés, l’objectif de départ est loin d’être atteint, selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé en Europe.

Selon Maxisciences, certains experts se penchent donc sur une nouvelle approche pour démontrer les méfaits d’une alimentation malsaine.

Dans l’étude faite avec 130 personnes auxquelles on a montré différentes publicités de prévention, les gens ont ensuite privilégié les aliments malsains. Lorsque les sujets ne voyaient pas les messages, ils recherchaient plus une alimentation saine et équilibrée.

Selon certains chercheurs, on devrait plutôt s’inspirer des campagnes antitabac, avec des images-chocs qui ont plus d’impact. C’est l’approche étudiée en ce moment pour tenter de réduire la consommation de malbouffe et ainsi réduire le fléau de l’obésité.

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Les barres de céréales ne sont pas aussi saines qu’on le croit

Une analyse de 30 barres de céréales différentes démontre que l’image saine que l’on en a n’est qu’un simple mythe.
 
Selon l’association des consommateurs britanniques Which, ces barres de céréales contiennent beaucoup de sucre, et des sucres différents. Seulement, on ignore la quantité totale que contiennent ces collations.
 
On utilise notamment le sirop de glucose, le miel, le sirop de maïs, le sirop brut de canne, le sirop de sucre inverti (mélange de glucose, fructose et saccharose), la mélasse, le sirop de glucose-fructose, le sirop de malt d’orge, le sirop de glucose déshydraté, le fructose, le lactose, le sirop d’oligofructose, le concentré de jus de raisin, le dextrose. Une barre peut contenir plusieurs de ces ingrédients, qui sont en réalité des sucres.
 
En ce qui concerne les calories, 11 des barres étudiées en contenaient autant que plusieurs biscuits, et une en contenait 277.
 
10 des barres étaient aussi riches en gras saturés, alors que l’une d’elles avait jusqu’à 30 % de matières grasses.
 
Le sel est aussi très présent dans les barres de céréales, surtout dans trois des trente analysées.
 
On demande donc des règles plus strictes, surtout pour les barres qui s’adressent principalement aux enfants.
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Des aliments trop gras réduisent les chances de fécondation in vitro

Si vous avez recours à la fécondation in vitro (FIV), réduisez non seulement votre consommation de café et de tabac, mais aussi votre consommation de graisses.
 
Selon les résultats présentés lors du congrès de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, la consommation de graisses est inversement proportionnelle au nombre d’ovocytes matures qui sont prélevés lors d’une FIV.
 
Avoir moins d’ovocytes veut également dire moins d’embryons à choisir pour le transfert.
De plus, la consommation de graisse polyinsaturée est, elle, inversement proportionnelle à la qualité des jeunes embryons. Donc, il faut éviter le plus possible ces deux types de gras.
 
Déjà, les gras trans étaient liés à une infertilité ovulaire et à des risques de fausses couches, alors que les graisses saturées réduisaient la concentration du sperme chez les hommes.