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Un ingrédient du lait responsable de la hausse des troubles de l’intestin

La revue Nature dévoile que des chercheurs ont découvert qu’un ingrédient laitier dans la malbouffe serait responsable de la hausse des maladies inflammatoires de l’intestin et d’autres troubles immunitaires.
 
Le concentré de matières grasses du lait est souvent utilisé dans les aliments transformés et les confiseries. Ceci bouleverserait l’écosystème intestinal en augmentant les bactéries nocives.
 
Chez certaines personnes, ces troubles peuvent mener au syndrome du colon irritable, aux colites ulcéreuses et à la maladie de Crohn.
 
Toutefois, des études plus approfondies sur le sujet doivent être faites avant de titrer des conclusions définitives sur le lien entre le concentré de matières grasses du lait et sa présence dans la malbouffe, qui causerait des troubles intestinaux.
 
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L’alimentation liée à la dépression

L’Internal Journal of Obesity publie une nouvelle étude effectuée par la professeure Stéphanie Fulton et son équipe de l’Université de Montréal révélant qu’un régime riche en gras et en sucre favorise la dépression.
 
Une telle alimentation produit instantanément dans le cerveau une sécrétion de dopamine, qui est l’hormone de la récompense, mais l’effet euphorique se dissout rapidement, favorisant donc l’état dépressif.
 
« En plus de causer l’obésité, les aliments riches peuvent vraiment entraîner des réactions chimiques au cerveau, d’une manière qui s’apparente à celle des drogues illicites. Cela conduit ultimement à la dépression, à mesure que les effets s’atténuent », mentionne la professeure Fulton.
 
L’étude effectuée sur des souris démontre clairement que celles ayant eu un régime riche en gras et en sucre étaient non seulement obèses, mais aussi déprimées et stressées.
 
On comprend encore mal toutefois les mécanismes sous-jacents de ce phénomène.
 
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Boire de l’eau pour manger des légumes

Selon une étude l’Université de l’Oregon aux États-Unis, les enfants qui boivent plus d’eau font des choix alimentaires plus sains, ont une meilleure ouverture d’esprit et un appétit plus grand envers les légumes.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont observé les boissons et les légumes consommés par 75 enfants âgés de trois à cinq ans.

Il s’est avéré que les enfants qui buvaient de l’eau au lieu d’une boisson gazeuse durant le repas mangeaient plus de légumes crus comme des carottes ou des poivrons.

La professeure Bettina Cornwell, coauteure de l’étude, explique cette tendance par le fait que très tôt, les enfants apprennent à associer les boissons gazeuses riches en calories à des aliments gras et salés comme les frites.

Pour mener à une vie saine, contrer l’obésité infantile et le diabète chez les jeunes adultes, la spécialiste croit que les parents, tout comme les restaurateurs, devraient proposer davantage l’eau avec les repas pour enfants et même faire payer un supplément aux familles lorsque les petits veulent des boissons sucrées, rapporte le Daily Mail qui s’est basé sur l’étude parue dans la revue scientifique Appetite.

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Les Canadiens pourraient mieux s’alimenter

Une étude indépendante dévoilée par le Conference Board du Canada démontre que les Canadiens continuent de mal s’alimenter. Même si on note une légère amélioration, c’est nettement loin d’être suffisant.
 
Pire, l’alimentation des enfants canadiens se détériore, et rares sont ceux qui consomment cinq portions de fruits et légumes par jour comme il est recommandé.
 
Les Canadiens consomment encore trop de mauvais gras, de sel et de sucre. Une mauvaise alimentation peut conduire à un risque accru de maladies cardiovasculaires, au diabète et à des cancers.
 
Nous consommons en moyenne deux fois la dose de sodium recommandée, qui est de 1500 milligrammes.
 
De plus, on dénote que 62 % des Canadiens souffraient d’obésité ou d’embonpoint en 2008. La situation ne s’est guerre améliorée depuis.
 
Les experts demandent aux gouvernements d’agir, notamment en changeant l’étiquetage des aliments et en améliorant les connaissances et les habitudes afin de réduire les futurs coûts en santé.
 

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Est-ce que les adultes mangent mieux lorsqu’ils sont parents?

Pour arriver à cette conclusion, les régimes de 2500 personnes ont été analysés entre 1985 et 1993, aux fins d’études sur ce qui pouvait provoquer des maladies coronariennes.

C’est en comparant le groupe de non-parents au groupe témoin de parents que les chercheurs ont constaté qu’aucun des groupes ne démontrait de différences ou de changements significatifs dans son alimentation.

Les résultats sont parus en ligne dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetic.

Les parents sont derrière les non-parents en ce qui a trait à la consommation moins élevée de gras saturés. Il y a eu une faible diminution de 2,1 % chez les non-parents, tandis que les parents ont connu une réduction de 1,6 % en apport de gras saturés.

Les chercheurs croient que cette situation est due au fait que les parents sont quelque peu influencés dans leurs achats par les demandes et goûts de leurs enfants, qui désirent souvent des aliments plus riches en sucre et en gras.

En revanche, les deux groupes continuaient leurs mauvaises habitudes en consommation de calories, de fruits et légumes, de boissons sucrées ou de restauration rapide, et ce, qu’ils aient des enfants ou non.

Les chercheurs de l’Université de l’Iowa affirment que la parentalité n’a pas d’effets défavorables sur les régimes des adultes, mais pas d’améliorations non plus. « Parents ou non, le régime des adultes demeure généralement médiocre », lancent-ils.

Les spécialistes rappellent que les données ont été recueillies il y a une vingtaine d’années et que les résultats peuvent avoir changé.

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Bébés en Alaska : le taux de mortalité ne diminue pas

Pour les nourrissons de l’Alaska, le taux de mortalité postnéonatale a chuté de 4,9 pour 1000 naissances en 1989 à 3,9 pour mille en 2009.

En 2007, le taux de mortalité postnéonatale chez les autochtones de l’Alaska et d’autres Amérindiens était de 4,67 pour 1000, contre 2,33 chez le reste des enfants américains.

Cette étude a révélé que le taux de mortalité reste élevé en Alaska, même si bien des décès pourraient être évités.

Les facteurs de risque de décès chez les nourrissons autochtones de l’Alaska les plus fréquents sont la naissance avant 34 semaines, la naissance entre 34 et 36 semaines, le faible poids à la naissance, le tabagisme prénatal maternel, la consommation d’alcool pendant la grossesse et le fait que la mère est célibataire et/ou le père ne figure pas sur le certificat de naissance.

Le rapport souligne également le manque de ressources dans le domaine de la santé pour cet État américain.

Cependant, depuis 1996, l’instauration du programme d’éducation publique Back to Sleep en Alaska aurait permis de faire diminuer la mortalité associée au syndrome de mort subite.

Le rapport affirme que les infections et les anomalies congénitales n’ont pas diminué au cours des dernières années.

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Moins de gras et plus de fibres durant l’enfance

Le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism dévoile une étude indiquant qu’un régime faible en graisses et riche en fibres alimentaires durant l’enfance permet de réduire le taux de glycémie et la pression artérielle systolique, une fois adulte.
 
Par contre, lorsque l’alimentation durant l’enfance est surtout composée d’aliments gras et qu’il y a peu de fibres, on constate qu’une fois adulte, les personnes sont plus exposées au syndrome métabolique et aux anomalies métaboliques, dont l’obésité abdominale, un faible taux du bon cholestérol, une hausse de la pression artérielle et un taux élevé de glucose dans le sang.
 
Il est donc important que les bonnes habitudes alimentaires soient prises dès l’enfance, car cette étude démontre une fois de plus que les impacts peuvent se mesurer à long terme.
 
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Le thé vert limiterait l’absorption de gras

Une nouvelle recherche réalisée par l’Université Penn State aux États-Unis annonce de bonnes nouvelles pour les gens qui souhaitent perdre quelques kilos.

Les scientifiques auraient isolé une composante du thé vert qui a permis de faire maigrir des souris obèses.

Cette composante, appelée EGCG (épigallocatéchine gallate), est un puissant antioxydant. Les chercheurs ont appris que l’EGCG a permis aux souris traitées de prendre du poids 45 % moins rapidement que les autres.

En plus de ce résultat, les scientifiques ont observé que les souris soumises aux suppléments de thé vert avaient 30 % moins de lipides fécaux, ce qui suggère que l’EGCG limite l’absorption de gras dans l’organisme.

Pour le moment, un humain devrait consommer dix tasses de thé vert par jour pour que son niveau de EGCG soit comparable à celui absorbé par les souris.

Néanmoins, ces résultats préliminaires sont encourageants pour de futures recherches.

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Bienfaits rapides de l’exercice chez les enfants

Des chercheurs de la Georfia Health Sciences University présentent leurs conclusions quant à un programme d’exercice suivi par des enfants obèses. Après 12 semaines, on a remarqué une baisse du taux de gras viscéral, une amélioration de la sensibilité à l’insuline et des os plus forts chez les participants.

Ces derniers étaient du nombre de 222 et ils étaient âgés de 7 à 11 ans. Parmi eux, un groupe ne faisait pas d’aérobie, un deuxième en faisait d’un degré modéré (20 minutes par jour) et un troisième en faisait à un degré vigoureux (40 minutes par jour).

Les effets ont été remarqués parmi le groupe qui faisait un exercice quotidien rigoureux. Les chercheurs soulignent donc l’importance de l’activité physique quant à la santé à long terme.

Cette recherche a été présentée récemment lors de la rencontre annuelle (2011) de l’American Society for Bone and Mineral Research; un aperçu en a été publié sur Endocrine Today.

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Maman en surpoids : impacts sur le foie

On lit dans Pediatric Research que les effets de l’embonpoint sont nombreux chez l’enfant. Des chercheurs ont découvert une autre influence de l’indice de masse corporelle (IMC) de la future maman.

C’est qu’un IMC élevé durant la grossesse aurait des répercussions encore plus importantes que l’on croyait jusqu’ici. Ainsi, un bébé né d’une mère en surpoids sera non seulement plus gros et aura plus de gras dans la région de l’abdomen, il aura aussi une plus grande quantité de gras dans son foie.

De plus, même si l’indice de masse corporelle de la mère demeure dans les normales, il peut tout de même influencer la quantité de gras que le bébé accusera à sa naissance. On soutient aussi que ce lien pourrait exposer l’enfant à de plus grands risques de problèmes métaboliques.

Cette étude a porté sur 105 nouveaux nés dont on a déterminé l’indice de masse corporelle. L’IMC de leur mère avait été évalué avant leur naissance.