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Bien se nourrir avant et après l’exercice

Certaines personnes craignent de manger avant ou après s’être entraîné, pourtant il suffit de choisir les bons aliments, riches en nutriments et faibles en gras. 

Selon Healthmeup par exemple, avant d’aller courir ou marcher sur une courte distance,  vous pouvez manger une banane, les hydrates de carbone naturels garderont le corps bien éveillé.
 
Les œufs, avant ou après un entraînement, sont la source idéale de protéines et de graisses.
 
L’eau de coco sans sucre ajouté, après un exercice, permet d’éliminer les toxines. De plus, ne négligez pas les boissons protéinées. Certaines sont offertes en préparations en poudre que l’on mélange avec une boisson. Elles vous redonneront de l’énergie.
 
Il est préférable d’éviter de s’entraîner l’estomac vide, car vous manquerez d’endurance et d’énergie plus rapidement.
 
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Les croustilles sans gras font grossir

Alors que croustilles sans gras seraient créées pour aider les consommateurs à perdre du poids, elles produiraient l’effet contraire, selon une étude dévoilée dans le Behaviral Neuroscience.
 
Les travaux effectués sur des rats montrent que les croustilles sans gras font prendre plus de poids, surtout si le régime alimentaire est déjà riche en matières grasses.
 
Une trentaine de rats ont été étudiés. Un groupe avait une alimentation riche en gras et les rongeurs recevaient des croustilles ordinaires ou faibles en gras. Un autre groupe avait les deux sortes de croustilles également, mais avec une alimentation faible en graisses.
 
Après 28 jours, on observe que les rats avec un régime riche en gras qui avaient mangé les croustilles légères avaient pris plus de poids et développé plus de tissus adipeux que ceux ayant eu les croustilles ordinaires.
 
Par contre, chez le groupe avec une alimentation faible en gras, on ne note aucun effet marqué, même si une plus grande prise de poids, légère cependant, a été noté chez les rats qui avaient consommé les croustilles faibles en gras.

Tout comme les édulcorants pour remplacer le sucre, on croit que les substituts de gras empêchent l’organisme de bien gérer la prise alimentaire et d’utiliser les calories efficacement, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids.

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Répercussions des antipsychotiques sur les enfants

Des chercheurs de l’Université de Washington se sont intéressés à la prise de certains médicaments liés à la santé mentale par les enfants. Il semble, selon leurs conclusions, que ceux qui prennent des antipsychotiques auraient plus souvent des problèmes de poids.

Précisément, la prise de tels médicaments durant trois mois aurait élevé de manière notable leur poids, de même que leur résistance à l’insuline. Les antipsychotiques, chez les enfants et les adolescents, augmenteraient donc le gras corporel et engendreraient certaines anomalies métaboliques.

Ces effets ne seraient pas sans conséquence, car ces changements physiques sont reliés à de plus grands risques de maladies cardiovasculaires et de diabète.

Ces risques ayant été remarqués chez les adultes, on a voulu vérifier ce qu’il en était pour les plus jeunes, notamment chez les enfants ainsi traités sans toutefois présenter de troubles psychotiques (par exemple lorsqu’il s’agit d’autisme ou de TDAH).

Les résultats de cette recherche ayant porté sur 220 enfants âgés de 6 à 18 ans ont été présentés par l’American Diabetes Association sur Medpage Today.

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Un régime riche en gras serait lié à la maladie d’Alzheimer

Des chercheurs américains affirment qu’un régime alimentaire faible en gras pourrait aider à prévenir la maladie d’Alzheimer.
 
Il a été démontré que les personnes qui mangent le plus de beurre, de fromage, de biscuits ou de pain blanc sont plus susceptibles de développer la maladie plus tard.
 
Depuis longtemps, les scientifiques savent que les personnes obèses sont plus à risque. On ignore exactement pourquoi, mais l’obésité peut causer des dommages aux vaisseaux sanguins du cerveau qui, à leur tour, tuent des cellules.
 
Les chercheurs ont suivi 50 personnes âgées dont certaines présentaient des problèmes de mémoire. Un groupe a eu un régime alimentaire riche en matières grasses et l’autre groupe a reçu une alimentation faible en gras.
 
Après quatre semaines, on a mesuré les niveaux de deux protéines connues pour être des signes annonciateurs de la maladie d’Alzheimer.

Chez le groupe ayant consommé le plus de gras, elles avaient augmenté. Par contre, elles avaient diminué chez le groupe ayant consommé moins de gras. De plus, ces personnes ont vu leur mémoire être améliorée, car elles ont obtenu de meilleurs résultats au test suivant l’étude que celui la précédant, rapportent les Archives of Neurology.

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La santé de maman durant la grossesse a des effets direct sur le bébé

Cette semaine seront présentés les résultats d’une autre étude qui atteste un risque du surpoids durant la grossesse pour le nouveau-né. On peut déjà en lire les grandes lignes sur Medical News Today.

Il semble, comme il a déjà été démontré lors de recherches précédentes, qu’une femme aura tendance à mettre au monde un bébé ayant un fort taux de gras si elle accuse un surpoids.
 
Selon cette nouvelle étude américaine, cela est indépendant du poids qu’avait la mère avant sa grossesse. On savait déjà que les enfants dont la maman avait pris trop de poids durant la grossesse avaient plus tendance à présenter un surpoids pour leur âge.
 
De plus, nous savons qu’un taux élevé en gras à la naissance est un facteur possible d’obésité infantile. Il y aurait donc raison de s’inquiéter quant aux répercussions d’un surpoids durant la grossesse.

Mentionnons finalement que les chercheurs de la présente recherche ont suivi 56 mamans. Aucune d’entre elles ne souffrait de diabète de grossesse. On a donc pu cibler le poids des femmes comme facteur sans tenir compte du diabète, ce que les études précédentes n’avaient pu faire.

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Le gras du lait ne serait pas nocif

Depuis longtemps, on se demande si les gras saturés contenus dans le lait et les produits laitiers peuvent être nocifs pour la santé. Selon une équipe de l’Université Laval, ces gras ne sont pas mauvais.
 
Après avoir analysé de nombreuses études internationales qui ont suivi au total 350 000 personnes, les grands consommateurs de lait n’ont pas eu plus d’infarctus que les personnes qui en consommaient peu, rapporte Le Soleil.
 
Pourtant, les gras saturés sont reconnus pour être malsains pour la santé. Bien entendu, si vous augmentez considérablement votre consommation de produits comme le beurre, votre taux de mauvais cholestérol grimpera en effet, faisant ainsi augmenter les chances de maladies cardiovasculaires.
 
Avec une consommation normale, on croit que les autres composants du lait compensent les effets négatifs des gras saturés. Même chose pour les gras trans. Il n’y aurait pas lieu de s’inquiéter en consommant du lait et des produits laitiers. Le lait contient notamment du calcium, qui est excellent pour maintenir les os en bonne santé.
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Dangers de l’alimentation pour le bébé

Des chercheurs de l’Oregon Health & Science University viennent d’expliquer en quoi une alimentation riche en gras durant la grossesse peut comporter un danger pour le bébé.

Comme il est présenté dans Endocrinology, cette étude permet de mieux expliquer pourquoi un tel régime alimentaire augmente le risque de mort intra-utérine.
 
On constate donc que le régime alimentaire américain moyen, riche en gras, fait baisser le flux sanguin de la mère vers le placenta, ce qui peut entraîner des risques pour le fœtus. Avec une alimentation très calorique, l’enfant à naître est donc plus exposé à la mort intra-utérine.
 
De plus, les chercheurs ont remarqué que ce danger n’était pas propre aux femmes obèses; il touche autant celles qui sont minces.

Mentionnons finalement que cette expérimentation a été faite sur des macaques japonais, et ce, en raison de leurs similitudes avec l’être humain.

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Nouvelle avancée dans la régénération de tissus

Une équipe interdisciplinaire de l’Université Queen à Kingston, en Ontario, a mis au point une technique qui permet de régénérer les tissus humains à partir du gras humain.

Cette nouvelle technique, réalisée après de longues années de recherches, ouvre donc la voie à de nouvelles thérapies régénératrices pour la reconstruction de tissus mous, comme lors d’une ablation d’une tumeur au sein ou une mastectomie, le développement des cartilages ou le traitement des maladies cardiovasculaires.
 
À partir de gras humain, on implante des cellules souches et le tout peut ensuite se transformer en gras, muscle, os ou cartilage.

Toutefois, ces recherches n’en sont encore qu’au stade préliminaire. De nombreuses études sont encore à prévoir avant d’offrir véritablement cette technique aux patients.

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Attention au gras de bébé

On peut lire sur Medical News Today les résultats d’une récente recherche de l’Université de médecine de l’Indiana ayant porté sur l’obésité infantile. Selon ces chercheurs, l’analyse de l’indice de masse corporelle entre l’âge de 2 à 5 ans aurait un impact majeur sur l’obésité.

Ainsi, il faudrait s’inquiéter de tout surplus de poids de notre enfant. On recommande maintenant qu’une thérapie soit proposée dès cet âge, de 2 à 5 ans, en vue que les enfants perdent du poids.
 
Les chercheurs en question ont mis en place un programme de 12 mois comprenant différentes interventions comportementales en vue d’enrailler l’obésité infantile. Dans le cadre de la présente expérimentation, 462 enfants ont été suivis. Parmi eux, 44 étaient âgés de 2 à 5 ans.
 
On souhaite, par le biais de cette étude, offrir un nouveau programme de prévention et de traitement de l’obésité infantile, lequel serait, semble-t-il, plus efficace que celui offert en ce moment.

À l’heure actuelle aux États-Unis, on recommande que les enfants de 6 à 18 ans soient testés quant à l’obésité et qu’ils suivent une thérapie comportementale en cas de nécessité.

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Manger gras ne ferait pas grossir

Voici des résultats bien surprenants qui remettent en question une vieille croyance. L’apport alimentaire en lipides, à lui seul, ne ferait pas prendre du poids. C’est la conclusion à laquelle parviennent une série d’études scientifiques, selon NutriNews.
 
Après avoir analysé l’évolution annuelle du poids et de la consommation de lipides de près de 90 000 personnes âgées en moyenne de 53 ans, on n’établit aucun lien clair entre la consommation de gras et la prise de poids.
 
En fait, durant l’étude, l’apport énergétique quotidien de ces personnes en lipides (acides gras saturés, mono-insaturés et polyinsaturés) représentait 34 %. Sur un an, on a noté une prise de poids de 100 à 800 grammes.
 
Toutefois, après avoir tenu compte des autres composantes de l’alimentation et du mode de vie de chaque personne, les chercheurs ne peuvent établir une relation qui mettrait en évidence un lien entre une alimentation grasse et une prise de poids.
 
Ce ne sont donc pas seulement les gras les grands responsables du surpoids. Ainsi, imposer des régimes stricts et faibles en gras pourrait ne pas avoir les effets escomptés.