Catégories
Uncategorized

Plusieurs facteurs influencent notre préférence envers les aliments sucrés et gras

Plusieurs facteurs influenceraient notre préférence pour les aliments sucrés et gras, et ce, depuis la préhistoire.
 
Selon une étude parue dans le Daily Mail, il s’agissait à cette époque d’un mécanisme de survie. Le corps avait besoin de beaucoup de calories. Bien que les besoins aient changé depuis, le cerveau a encore ce même mécanisme, soit de rechercher le sucre et le gras.
 
Le niveau de stress peut faire en sorte que nous recherchons davantage le sucre et le gras également. Le stress hausse la production de cortisol, l’hormone qui augmente la glycémie utilisée comme source d’énergie. De plus, cela inhibe le système immunitaire et réprime le métabolisme des acides dans les graisses, protéines et glucides.
 
Finalement, notre humeur joue aussi un rôle. Rappelez-vous votre enfance, lorsqu’on vous donnait des friandises comme récompense ou comme subterfuge pour soulager la douleur. Ces aliments provoquent un sentiment d’euphorie dans le cerveau, ce qui explique pourquoi plusieurs personnes préfèrent cette nourriture sucrée et grasse.
Catégories
Uncategorized

Le lait sans gras ne fait pas maigrir les enfants

Une étude australienne parue dans l’American Journal of Clinical Nutrition nous apprend que boire du lait contenant moins de gras ne serait pas si bénéfique.

Après que l’on ait suivi 145 enfants âgés de 4 à 13 ans pendant 6 mois, on a remarqué que ni le poids ni l’indice de masse corporelle n’avaient été influencés si des produits laitiers réduits en gras saturés avaient été préférés à d’autres.
 
En fait, les enfants avaient plutôt tendance à compenser par une plus grande consommation de calories provenant d’autres sources alimentaires.
 
Le groupe de participants ayant eu à préférer des produits laitiers allégés aura tout de même moins ingéré de gras au cours de l’étude. Ainsi, ce groupe n’aura trouvé que 13,3 % de ses calories totales en provenance des gras saturés, contre 16,6 % pour le groupe témoin.

Toutefois, même si les taux de cholestérol du groupe à l’étude avaient aussi baissé, le tour de taille, l’indice de masse corporelle et le poids des enfants n’ont pas accusé de différence.

Catégories
Uncategorized

Le café serait nocif après un repas riche en gras

Une nouvelle étude démontre que boire du café après avoir consommé un repas riche en gras saturés fait grimper le taux de glucose dans le sang des personnes en bonne santé, comme ce que l’on peut remarquer chez les personnes à risque de souffrir du diabète.
 
Selon le Journal of Nutrition, après avoir étudié les effets sur 11 hommes de 20 à 30 ans, on remarque que le taux de sucre grimpe en flèche.
 
« Nos résultats montrent que la caféine consommée après un repas riche en gras saturés crée une résistance à l’insuline chez les personnes en santé de façon similaire à ce que l’on voit chez les prédiabétiques. De plus, cette résistance peut durer de longues heures. La présence prolongée du glucose dans le sang n’est pas saine et cela peut influencer le fonctionnement des organes », explique l’auteure principale de la recherche, Marie-Soleil Beaudoin.
 
Toutefois, on n’observe aucun effet avec les cafés décaféinés, ce qui prouve que c’est la caféine qui pose problème, car elle entraîne une résistance à l’insuline.
Catégories
Uncategorized

Le goût de la malbouffe dès le stade foetal?

Selon une récente étude australienne, un bébé aurait une préférence, voire une dépendance, à la malbouffe si sa mère en a beaucoup consommé lorsqu’elle était enceinte.

En effet, il semble qu’une alimentation riche en gras et en sucre durant la grossesse viendrait à influencer certains modèles présents dans le cerveau du fœtus, ce qui altèrerait ses goûts alimentaires.

Ainsi, une fois né, l’enfant serait plus porté à préférer la malbouffe à d’autres types de nourriture.

Bien que cette étude parue dans FASEB Journal ait porté sur des rats, on peut déjà voir une explication possible quant à la capacité pour certaines personnes de résister à des tentations sucrées ou riches en gras, alors que d’autres n’y arrivent tout simplement pas.

De plus, on peut y voir un nouveau facteur de l’augmentation du taux d’obésité dans nos sociétés. Ces résultats nous indiquent surtout une nouvelle façon d’aider les futures mamans et celles qui allaitent à faire les bons choix alimentaires, afin d’offrir les meilleures bases à leur enfant.

Catégories
Uncategorized

Lien entre les otites et l’obésité

Une nouvelle étude ayant porté sur les effets de l’otite chronique a mené à des résultats surprenants. Il semble que la conséquence finale en serait l’obésité.

Pour en venir à cette constatation, on a suivi 42 enfants âgés de 3 à 7 ans qui souffraient tous d’otite chronique et à qui l’on avait posé des tubes. On les a comparés à 42 autres enfants du même âge qui n’avaient pas eu cette infection.
 
On a donc remarqué, après leur avoir fait passer des tests chimiques de goût, que chez les enfants atteints de l’otite, ce sens était altéré par l’infection.
 
Celle-ci réduisait leur capacité à goûter le sucré et le salé, ce qui pouvait entraîner une consommation immodérée de calories et de liquides, faisant ainsi augmenter l’emmagasinement des gras et la rétention des fluides. Ultimement, cela mène à l’obésité.

Les résultats complets de cette expérimentation sont parus dernièrement dans Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery.

Catégories
Uncategorized

Le sucre, le sel et l’alcool causent des dommages au corps en quelques minutes

Des scientifiques australiens ont mesuré le temps que plusieurs aliments nocifs pour la santé mettent avant de causer des dommages à notre organisme. Par exemple, il faudrait moins de 30 minutes pour que la capacité des artères à pomper le sang soit considérablement diminuée après un repas salé.
 
Selon ce que rapporte le Daily Mail, il ne suffit que de 3 secondes à une cigarette pour causer les premiers dommages obligeant le cœur à travailler plus fort. La tension artérielle augmente également et la fumée cause de l’irritation et de l’inflammation aux voies respiratoires. En 15 minutes, il commence à y avoir des dommages génétiques.
 
En ce qui concerne le sucre, les dommages se font en moins de 2 minutes, car dès qu’il est en contact avec les dents, les bactéries le transforment en acide qui attaque l’émail. Le taux de glycémie augmente ensuite presque instantanément, ce qui est un facteur de risque pour le diabète de type 2. Le taux d’insuline grimpe également.
 
Pour l’alcool, cela ne prend que 6 minutes. Plus le taux d’alcool augmente dans le sang et plus les composés qui protègent le cerveau diminuent. Bien qu’une consommation modérée provoque des effets réversibles, les alcooliques peuvent se retrouver avec des dommages permanents.
 
Le sel cause des dommages en 30 minutes, tout comme la caféine qui ralentit le flux sanguin. Quant à lui, le gras perturbe le système de coagulation du sang en 45 minutes.
Catégories
Uncategorized

Le gras, le sel et le sucre, les préférés des petits

Une récente étude menée par deux universités américaines vient de prouver que les jeunes enfants ont une préférence pour les aliments contenant du gras, du sel et du sucre.

De plus, ils associent très rapidement des produits au nom d’une chaîne de restauration rapide ou d’une marque de boisson gazeuse.

Parue dans le Journal of Public Policy & Marketing, cette recherche a tout d’abord porté sur 67 enfants âgés de 3 à 5 ans. Parmi eux, il y avait 31 garçons et 36 filles.

Les mères devaient remplir un questionnaire, tandis que les enfants goûtaient à 11 saveurs naturelles et 11 saveurs artificielles sans voir le nom des produits.

Les résultats concordaient : si la mère avait remarqué l’envie de produits contenant du gras, du sel et du sucre, l’enfant préférait en effet les aliments aux saveurs artificielles.

Une seconde expérimentation a ensuite été faite. On a présenté à 108 enfants (autant de filles que de garçons) des cartes représentant des produits et des marques de commerce. Tous les enfants ont facilement associé le bon produit à la bonne marque.

Il semble donc que les enfants sont sensibles à la persuasion dès l’âge de trois ans. Il faudrait d’une part revoir la publicité qui leur est adressée et, d’autre part, leur apprendre ce que sont les bons aliments bien avant leur entrée à l’école.

Catégories
Uncategorized

Des nitrites et des nitrates dans le lait maternel

Une quantité importante de nitrites et de nitrates est contenue dans le lait maternel, nous apprend une étude parue dans le journal Breastfeeding Medicine.

Elles sont primordiales quant au développement gastro-intestinal du bébé. Des chercheurs de l’Université du Texas, à Houston, ont établi la quantité de ces éléments transmis au nouveau-né durant ses premiers jours de vie.

Le Dr Nathan Bryan, qui dirigeait l’équipe, a donc pu démontrer le taux changeant de nitrites et de nitrates dans le lait. Celles-ci jouent un rôle tout aussi important que les protéines et le gras, lesquels aident à combattre les infections et à développer le système nerveux central.

La recherche en question portait sur 77 mères ayant donné des échantillons de leur lait. Ils étaient pris durant les trois premiers jours de vie (le colostrum), entre le troisième et le septième jour (le lait de transition), puis à huit jours et plus (lait mature).

Dans le colostrum, le taux de nitrites était plus élevé et celui de nitrates. Selon le Dr Bryan, cela serait donc une façon pour la nature d’offrir au nouveau-né de l’oxyde nitrique.

Cela permettrait ainsi au bébé de transformer les nitrates en nitrites dans leur système gastro-intestinal pendant qu’il est trop jeune pour le faire de lui-même, n’étant pas encore colonisé par les bactéries.

Catégories
Uncategorized

Les gras trans durant l’allaitement causent un excès de poids

Une étude présentée dans l’European Journal of Clinical Nutrition nous en dit un peu plus sur les dangers des gras trans.

Des chercheurs américains ont suivi 96 femmes et leur enfant. Ils ont découvert que les bébés qui ingéraient 4,5 grammes de gras trans par jour avaient 2 fois plus de chances d’avoir un haut pourcentage de graisse.

Dans le même ordre d’idée, les mères qui consommaient 4,5 grammes de gras trans par jour avaient 6 fois plus de chances d’avoir un surpoids.

Cela veut dire que la période durant laquelle une femme allaite est plus propice que toute autre à l’accumulation de poids.

De futures études pourront nous en dire plus sur le lien entre la santé des enfants et les habitudes alimentaires de leur mère.

Les enfants pourraient donc être suivis de la naissance à l’adolescence afin de voir l’incidence de la consommation de gras trans sur leur poids.

Catégories
Uncategorized

Le sucre plus nocif que le gras

Selon le livre Good Calories, Bad Calories de Gary Taubes, le sucre serait bien plus nocif que la graisse dans l’alimentation.

Le HuffingtonPost rapporte que les graisses alimentaires ne seraient pas à l’origine de l’obésité, comme nous le croyons depuis longtemps, ni des maladies cardiovasculaires et des maladies chroniques. Le grand responsable serait le sucre.

Selon Taubes, les glucides affectent l’insuline et le processus qui permet le bon maintien interne de l’harmonie du corps. Nous savons par contre que le sucre augmente le taux d’insuline, ce qui cause souvent le diabète. Mais le sucre surchargerait le foie également et pourrait augmenter les risques de la maladie d’Alzheimer, certains cancers et autres maladies chroniques.

Le chocolat à 70 % est une saine sucrerie s’il est consommé avec modération. Pour les sucres, il est préférable de consommer des fruits et des légumes, qui contiennent de bons glucides.