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Le jus d’orange pour contrer les effets de la malbouffe

Il semblerait qu’un grand verre de jus d’orange pris en mangeant un repas riche en hydrates de carbone neutraliserait, ou du moins diminuerait, l’impact de la teneur élevée en matières grasses.
 
Selon ce que rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition, le jus d’orange contient des flavonoïdes, un composé végétal reconnu pour ses propriétés de guérison qui diminue le stress et l’inflammation.
 
30 personnes divisées en trois groupes de 10 ont participé à l’étude de l’Université de Buffalo. Toutes ces personnes ont eu le même repas de restaurant-minute de 900 calories, 51 grammes de matières grasses, 32 grammes de protéines et 81 grammes de glucides. 10 ont eu de l’eau à boire, 10 une boisson de 300 calories de glucose et 10 un jus d’orange de 300 calories.
 
Chez les personnes ayant bu le jus d’orange, les marqueurs de stress et d’inflammation sont restés les mêmes, alors que chez les autres, ils ont grimpé.
 
De plus, on a remarqué, après des tests sanguins pris à différentes périodes suivant les repas, que le jus d’orange permettait un meilleur contrôle de la glycémie, diminuant ainsi les risques de diabète de type 2.
 
L’adage qui préconise de consommer une pomme par jour devra maintenant dire d’ajouter un grand verre de jus d’orange également.
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PepsiCo prend un virage plus santé

L’entreprise américaine PepsiCo souhaite offrir des choix plus santé aux consommateurs.
 
La société, qui fabrique notamment les boissons gazeuses Pepsi et les croustilles Frito-Lay, vient d’annoncer cette semaine qu’elle diminuerait le sel de 25 % dans ses produits d’ici cinq ans. Sur dix ans, PepsiCo souhaite également réduire de 25 % les sucres ajoutés et de 15 % les gras saturés.
 
La société a aussi choisi d’ajouter des fruits, légumes et produits laitiers faibles en gras à sa gamme.
 
Plusieurs fabricants prennent ce genre de décisions, puisque depuis quelques années, l’industrie subit de fortes pressions de la part des consommateurs et des gouvernements afin de retrouver sur le marché des produits moins nocifs pour la santé.
 
La compagnie Kraft Foods a promis de réduire de 10 % sur deux ans son sel de ses produits vedettes. ConAgra Foods et Campbell Soup ont également entamé le processus.
 
De plus, la première dame des États-Unis, Michelle Obama, se consacre à une campagne nationale contre l’obésité chez les jeunes et demande aux géants de l’alimentation de réduire le gras, le sel et le sucre de leurs aliments.
 
En 2006, PepsiCo et Coca-Cola ont promis de cesser de vendre des boissons sucrées dans les écoles américaines.
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Du gras de bébé pour maigrir?

Une nouvelle étude, publiée cette semaine dans le New England Journal of Medicine, révèlerait la présence du gras de bébé, dites graisse brune, chez les adultes, en proportion différente.

Cette graisse, qui permet au bébé de brûler de l’énergie pour produire de la chaleur, pourrait rendre disponible à l’adulte la perspective de perdre du poids plus facilement, en plus de régulariser le diabète et de combattre l’obésité, selon cette même étude.

Cette recherche, réalisée par le Dr Ronald Kahn de la faculté de médecine de l’Université de Harvard et basée sur 1972 répondants, a également permis au chercheur de constater que cette « bonne graisse » se retrouve en plus grande quantité chez les jeunes adultes que les plus âgés.

Ce serait la stimulation de la formation de cette graisse brune qui permettrait de régulariser le métabolisme du glucose et, de ce fait, aider l’être humain dans son combat contre le diabète et l’obésité, de conclure le chercheur.

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L’alimentation joue un rôle sur l’Alzheimer

Les travaux de Frédéric Calon, chercheur à l’Université Laval, ont prouvé que les aliments riches en gras animal augmentaient l’incidence de la maladie de l’Alzheimer.

Pendant neuf mois, l’équipe du professeur Calon a soumis deux groupes de souris transgéniques à plusieurs régimes alimentaires afin d’analyser les effets sur leur cerveau.

Celles dont l’alimentation était pauvre en oméga-3 et riche en gras présentaient un taux plus élevé de protéines bêta-amyloïdes et de protéines tau, qui sont à l’origine des plaques séniles dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie neurodégénérative.

De plus, une alimentation riche en gras signifie aussi une baisse de la protéine drébrine dans le cerveau, un autre phénomène associé à la maladie d’Alzheimer.

Tous les détails de cette recherche sont en ligne sur le site de Neurobiology of Aging.

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Gare à l’augmentation mammaire par transfert de gras

L’Association des spécialistes en chirurgie plastique et esthétique du Québec (ASCPEQ), l’Association des radiologistes du Québec, l’Association des radio-oncologues du Québec et des chirurgiens oncologues prennent la parole afin de dénoncer la nouvelle chirurgie plastique dont la technique consiste à utiliser les cellules graisseuses d’une liposuccion pour ensuite les injecter dans les seins.

Cette technique, qui n’a pas reçu l’aval du Collège des médecins du Québec et de la Société américaine de chirurgie plastique et reconstructrice, a fait l’objet d’un seul essai clinique. Il est donc difficile de connaître les effets à long terme de cette chirurgie esthétique.

« Trop de questions sont encore sans réponse. Il est encore beaucoup trop tôt pour permettre cette technique en dehors d’un strict protocole de recherche. On ne veut surtout pas répéter les erreurs vécues avec les implants mammaires au silicone qui ont été utilisés avant d’obtenir les véritables réponses sur leurs impacts à long terme », a dénoncé le président de l’ASCPEQ, le Dr André Chollet.

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Toujours autant de sucre et de sel dans les mets préparés

Dans son deuxième bilan annuel de l’alimentation, le quotidien Le Devoir nous apprend que l’industrie alimentaire éprouve quelques difficultés à diminuer la teneur en gras, en sucre et en sel de ses plats préparés et congelés.

L’équipe du Devoir a analysé 80 produits tels que des pizzas et repas-minute offerts dans les épiceries.
 
Ainsi, le taux de sodium est demeuré relativement stable entre janvier 2007 et janvier 2008, soit 456 mg par tranche de 100 g.
 
Du côté des lipides, les gras trans sont progressivement éliminés tandis que les gras saturés sont toujours au menu et se trouvent même en plus grande quantité, particulièrement dans les pâtés en tout genre.

Quant au sucre, les repas congelés en contiennent 2,8 g par tranche de 100 g, soit autant qu’en 2006.

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Quand les gras trans causent le cancer du sein

Une recherche française publiée dans l’American Journal of Epidemiology démontre que le risque de cancer du sein double chez les femmes dont l’alimentation est riche en aliments à base de gras trans comme les huiles hydrogénées et les grignotines de tous genres.

25 000 femmes ont participé à cette étude entre 1995 et 1998; un échantillon sanguin a servi à mesurer le taux de gras saturés dans leur organisme. Parmi ce groupe, 363 participantes atteintes d’un cancer du sein ont été comparées à 702 volontaires indemnes.

« Les femmes ayant des taux élevés d’acides gras trans dans le sang ont un risque d’avoir un cancer du sein presque doublé par rapport aux femmes ayant le taux le plus bas », rapportent les chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale et de l’Institut de cancérologie Gustave Roussy.

Il existe maintenant une raison supplémentaire de bannir de son alimentation ces gras d’origine industrielle, déjà associés au risque de maladies cardiovasculaires.

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Le cerveau, responsable de l’obésité?

Une recherche effectuée sur des rats par des scientifiques de l’université Southern California pourrait aider à mieux comprendre le surplus de poids chez les humains.

Selon les chercheurs, les neurones du noyau arqué, un groupe de cellules de l’hypothalamus, présentaient des défauts, ce qui avait pour conséquence de dérégler la sensation d’appétit et d’augmenter les réserves de graisse chez les rongeurs.

Ce phénomène a été observé dès les premières semaines de vie des rats. Les prochaines études sur le sujet devront se concentrer sur les façons de contourner cette prédisposition cérébrale qui entraînerait l’obésité.

On pourra consulter les résultats complets de cette étude dans l’édition de février du Cell Metabolism.

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Pas fameux ce régime Atkins…

Selon une nouvelle étude américaine, le régime Atkins, une diète hautement protéinée, pourrait à la longue s’avérer nocif pour les vaisseaux sanguins.

Par contre, d’autres diètes dont les aliments contiennent un très bas taux de gras comme les régimes South Beach ou Ornish, auraient comme effet de réduire le cholestérol et ainsi être bénéfiques pour les artères.

Selon le docteur Michael Miller, du Centre médical de l’Université du Maryland à Baltimore, suivre le régime Atkins entraînerait une augmentation du taux de lipoprotéines de basse densité (LDL) d’environ 7 %, comparé à une baisse de 7 à 10 % pour les deux autres régimes mentionnés plus haut.

Le niveau de LDL, qui est en fait le taux de mauvais cholestérol, est celui qui bloque les artère et vaisseaux sanguins.