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Des greffes ovariennes pour retarder la maternité

L’avenir pour les femmes de carrière semble prometteur. Celles qui veulent des enfants plus tard pourraient voir leur voeu être exaucé, si l’on en croit un chirurgien renommé, le docteur Sherman Silber.

Les femmes pourraient en effet retarder leur envie de bébé, et donc repousser la ménopause, avec une greffe de l’ovaire.

Des techniques similaires sont utilisées en ce moment pour sauver les ovaires des femmes traitées pour un cancer. Le Dr Sherman Silber prédit que ces transplantations ou greffes, pour des raisons sociales, sont une option réaliste pour la préservation de la fertilité.

Le docteur Silber a expliqué que ces greffes d’ovaires pourraient être une solution à l’augmentation des problèmes de fertilité causés par les femmes de carrière qui remettent à plus tard leur souhait d’avoir des enfants.

Sherman Silber a déjà réalisé une belle prouesse dans le domaine en 2007. Une femme de 38 ans avait donné naissance à une petite fille née après une greffe ovarienne provenant de sa soeur jumelle. La transplantation avait été réalisée aux États-Unis.

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Premières greffes de jambes en Espagne

Des médecins espagnols viennent de greffer deux jambes. Il s’agit d’une première dans le monde médical.
 
Jusqu’ici, jamais l’expérience n’avait été faite. On avait greffé les premières mains en 2000, le premier visage complet en 2010 et maintenant les premières jambes.
 
Cette délicate intervention, qui a débuté dimanche (10 juillet) pour se terminer lundi matin (11 juillet), a été réalisée sur un Espagnol qui avait perdu ses deux jambes lors d’un accident et qui ne pouvait pas utiliser les prothèses. L’identité du patient n’a pas été dévoilée.
 
35 médecins, infirmières et assistants ont participé à l’opération dirigée par le Dr Pedro Cavadas à l’hôpital La Fe de Valence.
 
Maintenant, les médecins doivent patienter quelques semaines pour savoir si le tout s’avèrera une réussite ou un échec.
 
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Évolution majeure dans le domaine des greffes de peau

Des scientifiques australiens ont réussi à créer en laboratoire une peau artificielle très proche de la peau naturelle.
 
Selon TopSanté, il s’agit d’une évolution majeure dans le domaine des greffes de peau.
 
Jusqu’ici, les greffes, notamment pour les grands brûlés, se faisaient à partir de petits morceaux de peaux créés grâce à une culture à même la peau de la personne concernée. Cette fausse peau n’était pas vivante comme la peau naturelle, elle ne permettait pas la transpiration, n’avait pas de fonction pileuse et manquait d’élasticité.
 
La nouvelle peau créée par les Australiens possède toutes ces fonctions et a la même épaisseur que la véritable peau humaine.
 
Voilà un pas majeur qui pourrait grandement améliorer la vie des personnes qui ont besoin de telles greffes. Son apparence serait d’abord plus naturelle et fonctionnelle que les peaux utilisées jusqu’à maintenant. On ignore toutefois quand les médecins auront accès à cette nouvelle technologie.
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Un meilleur traitement pour les greffés

Des chercheurs français viennent de faire une nouvelle percée dans le traitement des personnes ayant subi une greffe d’organe.
 
Le Science Translational Medicine mentionne que les docteurs Bernard Vanhove et Gilles Blancho, de l’Institut français de santé et recherche médicale, ont réussi avec succès, sur des singes, les tests d’une substance qui permet de réduire les doses de médicaments antirejet.
 
Si on parvient à fabriquer ce traitement pour les humains, cela pourrait réduire les coûts des médicaments que les greffés doivent prendre durant toute leur vie, ce qui représente une somme importante à long terme.
 
De plus, on mentionne que les effets secondaires indésirables du traitement actuel pourraient être atténués.
 
Ceux ayant reçu une greffe d’organe reçoivent des médicaments immunosuppresseurs pour diminuer le système immunitaire afin que le corps accepte l’organe étranger. C’est donc un traitement puissant qui bloque la réponse immunitaire.
 
L’acceptation du nouvel organe dépend de la réponse des cellules lymphocytes qui sont sous contrôle d’une voie activatrice et d’une voie inhibitrice. Le nouveau traitement découvert parvient à bloquer la voie activatrice, mais conserve la deuxième voie, ce qui permet au système immunitaire d’accepter l’organe et de ne plus le combattre.