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Scarlett Johansson gagne son procès

Le livre de Grégoire Delacourt s’intitule The First Thing We Look At. La blonde mystérieuse présentée dans le bouquin serait « le double identique » de l’actrice Scarlett Johansson.

Le journal The Sun mentionnait que la cause était basée sur l’invention de multiples aventures sexuelles avec d’autres célébrités, rendant l’utilisation de son personnage frauduleuse.

Néanmoins, l’auteur a défendu son point en déclarant que le personnage dont la similitude est près de Johansson n’était qu’un « hommage » à sa beauté. « Elle représente l’archétype de la beauté de notre temps, très humaine avec une fragilité touchante. »

Delacourt a même ajouté : « Elle est fabuleuse, une icône. J’espérais qu’elle m’envoie des fleurs parce que ce livre, en quelque sorte, est une déclaration d’amour ».

Celui-ci a mentionné que s’il avait su qu’elle réagirait ainsi, il aurait choisi une autre actrice.

Les avocats de Scarlett Johansson ont cependant expliqué qu’elle était présentée comme un « objet sexuel ». Même si la cause a été remportée, la future maman n’a reçu que 2000 $ sur les 40 000 $ qu’elle réclamait.

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Scarlett Johansson poursuit un éditeur français

Scarlett Johansson poursuit l’éditeur JC Lattès pour dommages et intérêts, demandant même à ce que soit interdite la cession des droits d’auteur pour une adaptation du livre La première chose que l’on regarde.

En fait, l’auteur Grégoire Delacourt fait référence à l’actrice dans son livre, car son héroïne est son sosie. Il se réfère donc à la star hollywoodienne à plusieurs reprises, mais Johansson n’apprécie pas du tout. L’auteur est pourtant reconnu pour faire référence à des célébrités dans ses oeuvres.

« Cela correspond aux fantasmes de notre époque. Tous ces gens célèbres vivent avec nous. Cette peopolisation s’est imposée à nous à travers les médias, la presse et internet pour devenir une composante de notre vie. Regardez les jeunes filles qui s’identifient à des chanteuses. »

« Scarlett Johansson est un personnage public. Elle se confie à la presse. Tout le monde sait qu’elle a eu une aventure avec Sean Penn, qu’elle a divorcé, etc. Et, encore une fois, j’ai écrit une œuvre de fiction. Mon personnage n’est pas Scarlett Johansson, c’est Jeanine Foucamprez! », mentionne Delacourt au Figaro.

Une histoire à suivre.

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Scarlett Johansson poursuit un éditeur français

Scarlett Johansson poursuit l’éditeur JC Lattès pour dommages et intérêts, demandant même à ce que soit interdite la cession des droits d’auteur pour une adaptation du livre La première chose que l’on regarde.

En fait, l’auteur Grégoire Delacourt fait référence à l’actrice dans son livre, car son héroïne est son sosie. Il se réfère donc à la star hollywoodienne à plusieurs reprises, mais Johansson n’apprécie pas du tout. L’auteur est pourtant reconnu pour faire référence à des célébrités dans ses oeuvres.

« Cela correspond aux fantasmes de notre époque. Tous ces gens célèbres vivent avec nous. Cette peopolisation s’est imposée à nous à travers les médias, la presse et internet pour devenir une composante de notre vie. Regardez les jeunes filles qui s’identifient à des chanteuses. »

« Scarlett Johansson est un personnage public. Elle se confie à la presse. Tout le monde sait qu’elle a eu une aventure avec Sean Penn, qu’elle a divorcé, etc. Et, encore une fois, j’ai écrit une œuvre de fiction. Mon personnage n’est pas Scarlett Johansson, c’est Jeanine Foucamprez! », mentionne Delacourt au Figaro.

Une histoire à suivre.