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La grippe aviaire est de retour

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) vient d’émettre des recommandations quant à la renaissance de la grippe aviaire sur le continent asiatique.

Déjà, l’inquiétude grandit, car il s’agit d’une souche mutante. On parle de « risques imprévisibles pour la santé humaine ».

Le virus mortel s’étend peu à peu en Asie, le dernier décès étant survenu au Cambodge il y a quelques semaines. On l’a aussi remarqué en Chine et au Vietnam. La nouvelle expansion de la H1N5 pourrait être due à la migration des oiseaux.

Rappelons-nous qu’une vague importante de ce virus a tué 331 personnes depuis 2003. On avait aussi dû abattre 400 millions de volailles, et on croyait l’avoir éliminé en 2006 dans la plupart des pays infectés, au nombre de 63.

On affirme qu’en ce moment, aucune personne se trouvant en Asie ne peut se croire à l’abri de l’épidémie.

 
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Des poulets transgéniques qui ne transmettent pas la grippe aviaire

Le magazine Science mentionne que des chercheurs européens sont parvenus à créer des poulets génétiquement modifiés qui ne peuvent pas transmettre le virus de la grippe aviaire qui est transmissible non seulement entre volailles, mais aussi à l’humain, chez qui le virus H5N1 cause de graves infections respiratoires qui peuvent s’avérer mortelles.
 
Le Dr Jon Lyall et ses collègues des universités de Cambridge et d’Édimbourg ont créé des poules transgéniques avec des cellules qui produisent un leurre. Celui-ci, en se collant au virus, freine son fonctionnement et sa propagation.
 
Ainsi, les poules qui étaient contaminées sont toutes décédées du virus, mais celles qui avaient été en contact avec elles n’ont jamais été malades.
 
Bien que les travaux n’en sont qu’aux premiers stades et que de n’est pas demain la veille que l’on retrouvera ces volailles sur le marché, cela représente un grand espoir de freiner la propagation de la maladie.
 
« Empêcher la transmission du virus entre les poulets devrait permettre de réduire les effets économiques de cette grippe tout en réduisant le risque pour les humains d’être infectés par ces volailles », mentionne Laurence Tiley de l’Université de Cambridge.
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Un traitement contre la grippe aviaire

L’équipe du Dr Tetsuya Uchida, de l’Institut national sur les maladies contagieuses au Japon, effectue des recherches afin de développer un vaccin pour les personnes touchées par la grippe aviaire.

En constante mutation, ce virus est souvent très récalcitrant aux vaccins, particulièrement la souche H5N1 qui pourrait entraîner une transmission entre humains s’il y a mutation.

Le vaccin vise à détruire le virus de l’intérieur en y introduisant un antigène véhiculé par des petites vésicules fabriquées artificiellement. « Notre but est d’empêcher le virus de se dupliquer », a expliqué le Dr Uchida.

Des essais cliniques seront effectués sur des souris puis sur des humains afin de tester l’efficacité du nouveau vaccin.

Depuis 2004, quelques cas de grippe aviaire humaine ont été répertoriés par l’Organisation mondiale de la santé, notamment au Cambodge, en Chine, en Indonésie, en Iraq, en Thaïlande, en Turquie et au Vietnam.

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Cas mystérieux de grippe aviaire en Chine

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) arrive difficilement à expliquer comment le virus de la grippe aviaire a pu être transmis entre deux êtres humains dans la province du Jiangsu, en Chine.

L’organisme doit analyser plus en détail le dossier médical d’un homme âgé de 24 ans, mort le 2 décembre dernier des complications de la grippe aviaire. Or, on a retrouvé le virus H5N1 chez le père du décédé, qui présente certains symptômes telle la fièvre, comme le rapporte le ministère de la Santé chinois.

L’OMS étudie toutes les possibilités pour expliquer ce cas de contagion : un contact avec un même animal infecté, avec deux animaux infectés ou la transmission du virus entre les deux hommes.

Notons que le virus de la grippe aviaire se transmet difficilement entre deux personnes et que seulement trois cas similaires ont été répertoriés au Vietnam, au Cambodge et en Indonésie.

Une enquête approfondie menée par l’OMS suit son cours, car celle-ci veut éviter une pandémie planétaire due à la mutation du virus H5N1.