Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre la grippe protègerait des infarctus

Le journal Canadian Medical Association nous apprend que le vaccin contre la grippe saisonnière diminuerait également les risques de subir un premier infarctus du myocarde.
 
L’équipe du Dr Niroshan Siriwardena de l’Université Lincoln a découvert que le vaccin contre la grippe saisonnière diminuait en moyenne de 19 % les risques d’un premier infarctus.
 
De plus, si vous recevez votre vaccin entre le mois de septembre et la mi-novembre, les risques chutent de 21 % alors qu’avec vaccination tardive, les risques ne seront diminués que de 12 %.
 
Les scientifiques croient qu’une vaccination tardive augmente les chances de contracter la grippe et une infection pourrait causer une inflammation qui entraînerait une rupture des plaques dans les artères coronaires. C’est ce qui provoquerait une crise cardiaque.
Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre la grippe renforce les foetus

MedicMagic affirme que les femmes enceintes devraient toutes se faire vacciner contre la grippe. Non seulement cela les empêche de contracter l’infection, mais le vaccin rend aussi le fœtus plus fort, plus sain et plus grand, en plus de prévenir les naissances prématurées.
 
Pour avoir un bébé en bonne santé, les femmes enceintes doivent être immunisées contre certaines maladies et la vaccination est une bonne solution, notamment pour la grippe qui peut avoir de lourdes conséquences sur le bébé à naître.
 
D’ailleurs, dès qu’une future mère a les symptômes d’une grippe, elle devrait consulter un médecin sans tarder afin d’avoir le meilleur traitement adapté à sa condition.
 
En plus du vaccin, on recommande fortement aux femmes enceintes de se laver les mains souvent et de réduire leurs contacts avec des personnes malades afin d’éviter la contagion. Même chose pour l’entourage immédiat de cette future maman. Ces personnes devraient également se faire vacciner contre la grippe.
Catégories
Uncategorized

Fin de la pandémie de H1N1

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a officiellement annoncé la fin de la pandémie de la grippe A (H1N1) qui avait été déclarée le 11 juin 2009.

« Le nouveau virus H1N1 est en fin de course », a dit la directrice de l’OMS, Margaret Chan. Maintenant, on a réduit la H1N1 au rang de simple grippe.

Le nombre de décès reliés à la maladie a énormément chuté, et dans l’hémisphère nord, son activité est quasiment nulle, depuis un moment.

Au Québec, la dernière personne à avoir été hospitalisée était en février dernier, et depuis le mois de juillet, on ne retrouve aucun cas de grippe A (H1N1).

Depuis le début de la pandémie, l’année dernière, la maladie a fait 18 500 morts dans le monde et aura nécessité plusieurs milliards de dollars pour des campagnes de prévention.

Catégories
Uncategorized

Bientôt un vaccin contre plusieurs souches de la grippe

Jusqu’à présent, les vaccins contre la grippe doivent être recréés chaque année afin de pouvoir contrer la souche la plus fréquente du virus lors des campagnes de vaccination.
 
Des chercheurs des Instituts américains de la santé (NIAID), dirigés par le Dr Gary Nabel, élaborent en ce moment un vaccin universel qui pourrait combattre efficacement différentes souches de la grippe, rapporte le magazine Science.
 
Ils ont créé une approche en deux étapes qui a permis de neutraliser une vaste gamme de souches de H1N1 chez des souris, des furets et des singes. Des tests seront donc effectués pour savoir si l’on obtient les mêmes résultats sur les humains.
 
Le problème est que chez l’humain, il existe une immunité préexistante contre la grippe, ce qui pourrait donc affecter l’efficacité du nouveau vaccin. Par contre, comme les enfants et les bébés ne possèdent pas encore cette immunité, ils pourraient profiter de cette découverte.
 
Les vaccins actuels n’offrent pas les mêmes anticorps que l’on tente d’utiliser pour le nouveau vaccin universel.
 
Chaque année, la grippe fait de 250 000 à 500 000 victimes à travers le monde.
Catégories
Uncategorized

Le vaccin contre la grippe saisonnière augmentait les risques de H1N1

Des épidémiologistes de la Colombie-Britannique soutiennent que les personnes qui ont été vaccinées contre la grippe saisonnière étaient plus exposées au virus H1N1 que les autres.
 
Toutefois, les auteurs des études demeurent prudents et ajoutent qu’il est encore trop tôt pour établir un lien clair. D’autres études sont nécessaires pour valider ou invalider les présentes données.
 
Selon la revue PLoS Medicine, au printemps 2009, la Dre Danuta Skowronski et ses collègues du Centre de contrôle des maladies ont remarqué que plusieurs élèves d’une école présentaient des symptômes de la grippe H1N1. Or, il s’avère que la majorité d’entre eux avaient été vaccinés contre la grippe saisonnière.
 
Afin de vérifier le tout, 2 700 personnes ont été recrutées en Colombie-Britannique, en Alberta, en Ontario et au Québec pour participer à quatre études. Les quatre donnent des résultats similaires et confirment que ceux vaccinés contre la grippe saisonnière étaient protégés contre cette dernière, mais avaient 68 % plus de risques d’être contaminés par la H1N1. Toutefois, les risques d’hospitalisation ne changeaient pas.
Catégories
Uncategorized

La vitamine D plus efficace contre la grippe que le vaccin

Des médecins de l’école de médecine de l’Université Jikei à Tokyo ont démontré que la vitamine D était plus efficace que les médicaments antiviraux et vaccins pour protéger les jeunes de six à quinze ans contre la grippe.
 
354 enfants ont participé à l’étude qui s’est déroulée à l’hiver 2008-2009.
 
La vitamine D est produite naturellement par le corps avec une exposition au soleil et cette méthode est même plus efficace que la consommation de comprimés de vitamine D.
 
Les chercheurs affirment que les antiviraux comme le zanamivir et l’oseltamivir réduisent les risques de 8 % d’avoir la grippe, alors que la vitamine D réduit les risques de 50 %.
 
Par contre, selon l’étude, la protection serait seulement contre l’influenza A qui était présente lors de la dernière saison de la grippe, mais il n’y avait pas de protection contre l’influenza B.
Catégories
Uncategorized

Une grippe durant la grossesse augmente les risques de schizophrénie

La revue Biological Psychiatry nous apprend qu’une grippe durant une grossesse augmente les risques que l’enfant présente des signes de schizophrénie une fois adulte.
 
Les recherches démontrent qu’il y a une prédisposition à la schizophrénie s’il y a eu une infection virale alors que le bébé était encore dans l’utérus de la mère.
 
La nouvelle étude suggère également que la prise de médicaments peut freiner le développement de cette maladie.
 
Des scientifiques de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, ont exposé des rates à une substance ayant les mêmes propriétés que la grippe et ont suivi le développement de leur progéniture.
 
Les bébés rats sont nés normaux et ont eu une enfance et une adolescence normale. Par contre, ils présentaient des signes de schizophrénie à l’âge adulte.
 
On a remarqué la même tendance chez les humains qui, eux, présentent les premiers symptômes de la maladie vers l’âge de 20 ans.
 
Alors que les antipsychotiques sont seulement prescrits aux premiers signes de la maladie, les chercheurs israéliens proposent de prescrire le traitement avant l’âge adulte, ce qui permettrait de bloquer les symptômes de schizophrénie et empêcher que la maladie se développe.
Catégories
Uncategorized

Reconnaître les symptômes de la sinusite, du rhume et de la grippe

Selon un sondage de la firme Léger Marketing, la grande majorité des Canadiens ne savent pas faire la différence entre les symptômes de la sinusite, du rhume et de la grippe.

Avec la pandémie de H1N1 et la saison hivernale en cours, il est important de bien reconnaître les symptômes afin de savoir quand consulter un médecin.

Pour un rhume, vous aurez des éternuements et de l’écoulement nasal notamment. Ces symptômes peuvent être facilement traités à la maison avec du repos, de la détente et de la soupe au poulet par exemple.

Pour la sinusite, il y a des douleurs faciales, de la congestion, des maux de tête et de dents, de la fièvre et de la congestion nasale.  Les symptômes peuvent durer jusqu’à quatre semaines, mais s’ils persistent au-delà de 7 jours, il est fortement recommandé de consulter un médecin qui devra prescrire un corticostéroïde comme Nasonex, un vaporisateur nasal spécialement conçu pour les sinusites.

Finalement, pour la grippe, les symptômes que vous retrouverez sont de la fièvre, des courbatures et des frissons. Cela demande une surveillance, car si les symptômes persistent plus de cinq jours, il faut consulter un médecin.

On estime que seulement cette année au Canada, 4 millions de personnes auront une sinusite, 6 millions auront la grippe et que les adultes auront de 2 à 4 rhumes en moyenne.

Catégories
Uncategorized

Le Tamiflu remis en question

Une enquête du British Medical Journal (BMJ) et de Channel 4 News remet en question l’efficacité du Tamiflu.

Selon eux, il n’y a aucune preuve réelle que le médicament prévient les complications qui peuvent survenir à la suite d’une grippe, comme une pneumonie par exemple.

Le BMJ s’interroge donc sur la validité de l’étude de Roche, le fabricant du Tamiflu distribué en énorme quantité depuis le début de la pandémie de grippe A (H1N1) et qui coûte des milliards de dollars aux gouvernements à travers le monde.

Ils ont analysé 20 études, dont une qui disait clairement que le Tamiflu ne réduisait pas les risques de complications de la grippe au niveau des voies respiratoires. Le Tamiflu est censé réduire les risques de complications et réduire la durée des symptômes de la grippe, mais on ajoute même que le médicament provoque des nausées et quelques effets indésirables qui pourraient être sous-estimés.

Selon BMJ et Channel 4 News, le manque de données de l’étude de Roche vient miner les résultats de leur recherche et ils se demandent donc si tout ceci n’aurait pas été pratiquement inutile.

Catégories
Uncategorized

Le cheval à la rescousse des humains

Une nouvelle étude publiée dans le magazine Science pourrait aider les médecins à comprendre comment le virus de la grippe contourne les effets des vaccins et arrive à se propager sans problème.

Étant donné que la manière de vacciner les humains est trop variable, on a étudié des poneys vaccinés ou non.

Il est à noter que depuis 1950, les chevaux, surtout ceux de course, sont aussi vaccinés contre la grippe et les résultats obtenus sont assez intéressants pour aider les spécialistes à développer une vaccination optimale dans le futur.

On a suivi les changements des acides aminés produits dans une protéine de la grippe. C’est d’ailleurs ce qui permet au virus de déjouer le système immunitaire.

Chez les chevaux, on a noté que plus il y avait une différence entre les souches vaccinales et virales, plus il y avait de chance que l’animal soit infecté et contagieux. Cela influençait même la durée de la période de contagion.

Ces nouveaux résultats seront donc analysés en profondeur afin de voir s’il est possible de mieux organiser les stratégies de vaccination et mieux protéger la population contre le virus.