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Recrudescence de l’entérovirus D68 chez les jeunes

L’EV-D68 pourrait se propager rapidement, si l’on conçoit qu’il s’est étendu d’un État à l’autre en août. Depuis 1960, rapporte Parenting Squad, une centaine de cas avaient été signalés. Or, dans le dernier mois, on parle de plusieurs centaines d’un seul coup, dont de nombreuses hospitalisations.

Les symptômes similaires à la grippe et au rhume

Il est question d’éternuements, de nez qui coule et de toux, des symptômes que l’on associe à un rhume ou une grippe. Cependant, les complications se situent inévitablement au niveau respiratoire.

L’enfant ou l’adolescent peut alors avoir de la difficulté à respirer, une toux sévère, présenter une respiration sifflante et faire des éruptions cutanées et de la fièvre.

On recommande de garder l’enfant à la maison s’il présente les symptômes et de se rendre immédiatement à l’hôpital s’ils sont sévères, puisque l’entérovirus D68 se propage comme le ferait n’importe quel rhume commun.

Heureusement, rapporte le Dr Delpeyroux dans l’Express, un seul cas de décès aurait été signalé en 2008 aux États-Unis.

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Un rhume peut déclencher un AVC chez l’enfant

Même si la toux et le nez qui coule peuvent sembler bénins, ces symptômes, signe d’infection respiratoire, peuvent provoquer un AVC chez un enfant prédisposé à développer ce genre de crise, explique une nouvelle étude de l’Université de Californie à San Francisco.

Il s’agit toutefois d’une « complication rare à une mauvaise infection », rassurent les chercheurs dans la revue Neurology.

En effet, seulement 100 enfants sur 2,5 millions ont été victimes de vaisseaux sanguins obstrués, rapporte Science World Report.

Les chercheurs ont fait une comparaison avec 300 enfants qui n’avaient pas souffert d’AVC. Ils n’avaient cependant pas examiné ceux ayant souffert d’infections sévères, incluant la méningite et la septicémie. 

L’étude démontre que les enfants ayant été victime d’un AVC étaient 12 fois plus susceptibles d’avoir consulté un médecin pour une infection mineure à peine quelques jours avant la crise.

Il est encore difficile d’identifier ce qui cause ce type de problème chez l’enfant, toutefois, le taux de décès associé peut atteindre de 5 à 10 %. On croit qu’il peut être dû à la réponse inflammatoire de l’organisme pendant une infection.

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Transmission bactéries : se frapper les poings au lieu de se serrer la main

Les poings qui se cognent pour se saluer étaient surtout vus chez les vedettes de hip-hop. De plus en plus, de grandes personnalités telles que Barack Obama et même le Dalaï-Lama utilisent cette méthode, pour être sympathiques bien sûr, mais peut-être aussi pour attraper moins de bactéries.

SARM, grippe, E. coli… les risques sont plus faibles d’attraper ces maladies infectieuses en se frappant les poings, car c’est plus rapide que de serrer la main et il y a moins de surface exposée aux microbes, ce qui signifie qu’il y a moins de chance pour les bactéries de se propager, expliquent des scientifiques de l’Université d’Aberystwyth.

L’étude publiée dans l’American Journal of Infection Control avance également que la vitesse et la force de préhension d’une traditionnelle poignée de main auraient un impact sur la transmission de bactéries, rapporte The Telegraph. « Nous avons constaté que si vous aviez une secousse particulièrement forte de la main, la quantité de bactéries transférée était deux fois plus élevée par rapport à une poignée de main de force moyenne ou douce », a dit le Dr Dave Whitworth.

En résumé, il a été démontré que la majorité des bactéries étaient transmises via une poignée de main. Les risques de contamination étaient diminués de près de la moitié en se claquant les mains (high five) et de 90 % quand les gens se contentaient de se frapper les poings.

Avec les normes sociales et les diverses perceptions de la politesse, est-ce que la frappe des poings pourrait remplacer la traditionnelle poignée de main, si cela peut éviter une épidémie? Selon le Dr Whitworth, ce sera difficile, et l’ancienne génération sera résistante à l’idée. « C’est une décision que chacun aura à prendre. »

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Vaccin nasal plutôt que traditionnel pour les enfants

Le vaccin de la grippe est de plus en plus recommandé par les médecins. Or, si les adultes détestent cette injection, c’est pire encore pour les enfants. Désormais, il existe une alternative sous forme de vaporisateur nasal.

Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) aux États-Unis ont émis un rapport de l’ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices). Dr Mare Siegel, professeur en médecine, approuve via HealthDay cette nouvelle forme de protection.

« Les enfants n’aiment pas les injections, alors le vaporisateur représente une parfaite alternative. » Les chercheurs ont obtenu une excellente réponse immunitaire chez les enfants. Cependant, ce vaccin ne serait pas approprié pour ceux qui souffrent d’asthme ou d’une autre difficulté respiratoire.

On rapporte que malgré la « nouveauté » du vaporisateur auprès des utilisateurs, celui-ci a été approuvé en 2003 et est déjà utilisé en Europe. Il est produit par AstraZeneca et est plus dispendieux que les doses par injection.

À Miami, Dre Gloria Riefkohl, pédiatre, affirme qu’elle recommande le vaporisateur nasal chez les 0 à 21 ans qui sont en santé.

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Les deux meilleurs moyens de prévenir la grippe

À l’ère de la technologie et des percées médicales constantes, on pourrait s’attendre à ce que de nouvelles façons, hormis le vaccin, soient proposées ou découvertes pour prévenir la bonne vieille grippe lors de la saison hivernale.

Or, selon les informations rapportées par Top Santé, des chercheurs se sont penchés sur les meilleures méthodes présumées pour prévenir et contrer la grippe, pour finalement couronner deux des plus vieux trucs du monde comme meilleures façons d’y parvenir.

En effet, selon les chercheurs de l’équipe du Dr Michael Allan, basée à l’Université d’Alberta, le simple fait de se laver les mains et quelques apports supplémentaires en zinc seraient toujours les deux meilleures manières de repousser le virus de l’influenza le plus longtemps possible.

Le Dr Allan a analysé plusieurs études précédentes pour en arriver à ce constat, et malgré l’impact présumé du zinc en prévention de la grippe, le spécialiste ne conseille cependant pas une prise systématique de suppléments.

« Ce n’est pas quelque chose que je recommanderais sur une base régulière. Le zinc peut mener à des nausées et n’a pas un goût particulièrement plaisant », explique-t-il.

Le lavage de main s’avère cependant une solution plus simple et plus efficace.

Les probiotiques ont aussi été mentionnés comme possible solution préventive.

Le Dr Michael Allan publiait ces conclusions, ainsi qu’une analyse des traitements possibles une fois la grippe contractée, dans le Canadian Medical Association Journal.

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Spectaculaire éclosion d’H1N1 en Estrie

L’Estrie est touchée violemment par ce que l’on peut considérer comme une étonnante et violente éclosion du virus H1N1, rapporte Radio-Canada, plongeant des milliers de personnes dans l’inquiétude.

Le pire, c’est que selon les rapports et prévisions, les pointes de transmission du virus n’auraient pas encore atteint leur apogée, et que le pire serait à prévoir au tournant du mois de février.

Le ministre de la Santé, M. Réjean Hébert, a même tenu a faire une sortie médiatique afin de faire le point et de sommer les populations touchées par cette vague de H1N1 de se faire vacciner sans attendre.

« La souche H1N1 est incluse dans le vaccin qui est disponible cette année. Il faut renouveler l’appel à la population de se faire vacciner parce que c’est le meilleur moyen de prévenir de prévenir la grippe H1N1 et les autres souches. Je rappelle que la grippe est une maladie mortelle. La plupart des gens qui meurent de la grippe ne l’avaient jamais eu auparavant », lance le ministre Hébert, qui ne se fait pas rassurant.

On recenserait jusqu’à maintenant au moins 15 décès dus au virus cette saison, et on rappelle que les enfants et les jeunes adultes sont les plus à risque de contracter la virulente souche de la grippe.

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Mythes et légendes en matière de nutrition et de traitement contre la grippe

Une nutritionniste se prête au jeu du vrai ou faux et dévoile sa liste des remèdes efficaces, naturels et « ancestraux » proposés par nos grands-mères contre la grippe, un exercice proposé par Radio-Canada.

La spécialiste en question se nomme Amélie Charest, et son intervention est également disponible en version audio, via le site d’ici.radio-canada.ca

Quels sont donc ces remèdes naturels approuvés par la nutritionniste, donc?

Charest vante d’abord les mérites du bouillon de poulet, qui contribue à dégager les voies respiratoires et à augmenter les capacités du système immunitaire. Ce dernier serait d’ailleurs grandement aidé par des apports en protéines, en probiotiques et en antioxydants.

Ces derniers sont retrouvés dans l’ail, qui constitue un autre mythe ancestral contre la grippe, ce que la spécialiste ne déconseille pas, mais en rappelant qu’il en faudrait des quantités importantes pour bénéficier d’un réel effet bienfaiteur.

On devrait plutôt se tourner du côté du zinc, que l’on retrouve dans des aliments à forte teneur en protéine, comme la viande. On suggère aussi de prendre des compléments de zinc, au besoin.

En terminant, Charest recommande un peu de vin contre le mal de gorge, ce qui s’avère une excellente nouvelle! Un peu d’alcool n’est d’ailleurs pas vivement déconseillé par les spécialistes contre le mal de gorge ou les symptômes de la grippe, mais il ne faut toutefois pas oublier de se reposer et de boire d’autres liquides, comme de l’eau et des boissons chaudes.

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Soigner le mal de gorge grâce à l’aspirine

Selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), qui reprend les conclusions d’une étude de l’Université Cardiff, le secret du traitement du mal de gorge hivernal pourrait lui aussi se trouver dans l’aspirine.

Il ne s’agit cependant pas de gober quelques comprimés d’aspirine comme à l’habitude, mais plutôt de les dissoudre dans un grand verre d’eau, puis de se gargariser avec la mixture maison, un peu comme plusieurs le font déjà avec de l’eau saline.

Les chercheurs britanniques derrière l’étude ont pu observer des résultats bénéfiques étonnants dans les deux heures suivant le traitement, et ce, chez une majorité des sujets s’étant prêtés à l’essai.

« Cela procure du soulagement contre la congestion nasale en causant une sensation fraîche dans le nez, et libère également des symptômes de la gorge irritée et de la toux, grâce à un effet d’anesthésie locale », explique le professeur Ron Eccles, qui dirige l’étude.

Attention, on rappelle que la manœuvre ne vise pas à avaler les aspirines compressées dans l’eau, la prudence est donc de mise.

Certaines études vantent également les mérites du miel dans de telles circonstances, spécialement en ce qui concerne les enfants.

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Pour en finir avec la grippe

Mieux vaut prévenir que guérir, selon l’adage, mais lorsque l’opération échoue, il faut alors composer avec le problème et tenter d’en finir le plus vite possible.

C’est surtout vrai dans le cas de l’influenza, ou virus de la grippe, qui finit par frapper à peu près tout le monde au cours d’une année. L’arrivée de l’hiver fait bien sûr grimper les statistiques en matière de grippe, et s’ouvre alors le bal des vaccins et des remèdes préventifs.

Top Santé s’intéresse cependant cette fois aux victimes de la grippe, pour qui les nombreux moyens de prévention n’ont pas donné l’effet escompté.

Le Dr Cohen, du GROG, affirme qu’il est préférable de ne pas « attendre que ça passe » et de prendre tous les moyens pour en finir avec la grippe le plus rapidement possible.

Il conseille d’abord l’utilisation d’un antiviral dans les 36 heures suivant l’apparition des premiers symptômes de la grippe, un traitement qu’il est possible de retrouver en pharmacie, sous ordonnance.

On doit ensuite s’accorder beaucoup de repos et s’attaquer ainsi à la fièvre et la fatigue musculaire. La toux est également l’un des ennemis à abattre afin de se relever d’une vilaine grippe, et le choix du traitement peut être laissé à la discrétion du patient (miel, sirop, eau salée, etc.).

L’important, semble-t-il, est de s’accorder du temps pour se soigner, et de ne pas laisser les choses empirer par l’inaction, car une grippe non soignée peut alors s’étirer sur plusieurs semaines d’enfer…

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Un cornichon japonais qui protège contre la grippe

Des spécialistes annoncent une découverte qui pourrait bien calmer le débat sur le fameux vaccin contre la grippe, rapporte notamment le ScienceWorldReport.

À moins que des anti-cornichons ne se découvrent une envie de militer, une nouvelle option pourrait s’offrir aux gens qui souhaitent se protéger contre la grippe de façon plus naturelle.

La solution se trouverait dans le cornichon japonais, un aliment traditionnel, selon plusieurs spécialistes, dont une équipe de chercheurs de la Kagome Company.

C’est après avoir testé la théorie sur des rongeurs, en l’occurrence des souris, que cette dernière a pu valider la propriété anti-influenza du cornichon japonais, avant de publier ses conclusions dans le journal de biologie appliquée SfAM.

Plus encore, les propriétés de l’aliment permettraient également de protéger l’organisme contre les souches les plus virulentes comme le H1N1 et le H7N9!

Les spécialistes appelés à commenter croient qu’il serait d’usage de créer une gamme de produits et d’aliments à base de ce précieux cornichon, afin de proposer de véritables nouvelles alternatives en prévention de la grippe.