Une récente étude s’étant étalée sur deux ans confirme que le vaccin contre la grippe saisonnière peut être administré sans risque aux enfants souffrant d’une allergie aux œufs, apprend-on sur Fox News.
Cela remet en cause les suppositions passées quant aux dangers pouvant être encourus par des enfants allergiques s’ils recevaient un vaccin contre la grippe.
La vaccination pourra donc être faite normalement à ces enfants, d’autant plus que certains sont exposés à de plus graves problèmes de santé. On fait ici référence aux enfants qui souffrent d’asthme, par exemple. Un vaccin peut protéger efficacement un enfant vulnérable à des complications subséquentes.
Ces nouveaux résultats concordent avec ceux de précédentes études – qui ont été dirigées au cours des 12 dernières années. On confirme donc que tous les enfants, y compris ceux allergiques aux œufs, peuvent recevoir un vaccin les protégeant de la grippe.
Une analyse présentée dans Pediatrics nous révèle des risques graves encourus par les enfants atteints de la grippe. On a remarqué de nombreux cas de pneumonie chez des enfants qui avaient contracté la grippe H1N1 en 2009.
De plus, un grand nombre de cas d’insuffisance respiratoire ont été confirmés. Cela revient à un taux de mortalité 8 fois supérieur à la normale, chez des enfants qui avaient contracté en même temps un staphylocoque doré.
La double attaque de ces virus compromet l’immunité virale chez l’enfant, alors que l’infection bactérienne peut détruire les tissus pulmonaires. On recommande donc fortement une autre campagne de vaccination massive, car le staphylocoque est de plus en plus répandu chez les enfants, et le virus de la grippe H1N1 se propage toujours.
Pour tirer ces nouvelles conclusions, des chercheurs du Pediatric Acute Lung Injury and Sepsis Investigator’s Network ont analysé les cas de 838 enfants soignés (probablement) pour la grippe H1N1 en 2009.
L’âge moyen des sujets était de six ans. La majorité de ces enfants (67,3 %) était en insuffisance respiratoire, et près de la moitié (48 %) semblaient souffrir d’un staphylocoque doré.
En effet, selon Healthnews.com, plusieurs aliments que l’on consomme régulièrement devraient faire partie de notre liste d’épicerie particulièrement ces temps-ci de l’année.
Le kiwi est bénéfique surtout chez les enfants, pour traiter les infections des voies respiratoires supérieures. Évidemment, on ajoute des oranges plutôt que d’acheter de la vitamine C, qui peut soulager et même prévenir les symptômes de la grippe et du rhume.
Un fruit à découvrir, le sureau, est produit tant en France qu’au Québec, en Montérégie, et contient autant, sinon plus, d’antioxydants que le bleuet. Présenté en gelées, confitures ou fruits surgelés, il est aussi offert en teintures, sirops et onguent en Europe.
On s’assure d’utiliser l’ail à toutes les sauces pour ses propriétés antibactériennes et antivirales, puis on ajoute de la moutarde pour éliminer les toxines et réduire la fièvre.
On se fait aussi des tisanes ou du thé au gingembre, à la menthe ou à la camomille, que l’on peut toujours accompagner de miel, qui contribue à soulager les premiers symptômes tels que l’irritation de la gorge. Le sel et la sauge, quant à eux, poursuivront le traitement si on les utilise pour se gargariser.
Finalement, ne négligez pas la bonne soupe poulet et nouilles, dont l’utilisation remonte au 12e siècle, alors qu’elle était recommandée par Maimonides, un physicien et philosophe juif. Encore aujourd’hui, on ne peut s’en passer lorsqu’on a un gros rhume.