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M pour Montréal dévoile sa programmation

Le festival M pour Montréal, qui fait également office de showcase pour faire rayonner les artistes d’ici sur la scène internationale, propose sa nouvelle programmation.

Le festival, qui se déroulera du 20 au 23 novembre prochain, accueillera certains des plus gros noms de la relève en ce moment, et l’édition 2013 s’annonce prometteuse.

On retrouve notamment les noms de Misteur Valaire, Jimmy Hunt, Jason Bajada et Groenland, mais aussi ceux de Random Recipe, We Are Wolves, Gros Mené, Kandle, Damien Robitaille et Young Galaxy.

Plusieurs bonzes de l’industrie musicale seront présents lors de ces trois jours intenses, dont certains membres de Radio 1 (BBC), YouTube Music et Glastonbury/WOMAD.

Lesquels parmi la centaine d’artistes présents lors de l’événement parviendront à émerveiller le public et l’industrie? Réponse dès le 20 novembre prochain.

D’ici là, visitez le www.mpourmontreal.com pour plus d’informations!

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New York contre les boissons gazeuses : offensive stoppée

New York devra encore patienter, voire abandonner, dans le dossier des boissons gazeuses qui l’oppose aux commerçants et restaurateurs.

On se rappellera que la Ville de New York avait décidé d’agir contre l’obésité en présentant une offensive majeure contre les boissons gazeuses grand format, toujours très populaires chez nos voisins du sud.

Or, rapporte Radio-Canada, un tribunal (cour d’appel) vient de statuer que la Ville avait outrepassé son autorité en s’insurgeant ainsi dans le pouvoir de consommation et de ventes des citoyens et des commerçants, respectivement.

La loi visant les restaurateurs et interdisant la vente de contenants de boissons gazeuses excédant 16 onces doit donc demeurer sur la tablette, pour l’instant.

Parions que la Ville de New York tentera de contre-attaquer, car on sent une volonté profonde des élus à lutter contre l’obésité.

La nouvelle règlementation est donc stoppée, un jour seulement avant son entrée en vigueur. Il était moins une pour les amateurs invétérés de grands formats!

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Comment répondre à votre enfant qui demande s’il est gros?

Un enfant obèse dépasse l’IMC (indice de masse corporelle) normal qui devrait être associé à son âge, son sexe et sa grandeur, entre autres. Mais parfois, la marge est mince. Pour un enfant, 20 kg peut représenter le poids normal, 22 kg de l’embonpoint, puis 25 kg de l’obésité. Ainsi, si vous vous posez la question, demandez à votre médecin.

Il se peut même que la question fatidique vienne justement à la suite d’une rencontre avec le pédiatre. « Maman? Est-ce que je suis gros (ou grosse)? »

D’abord, soyez honnête, mais préparez-vous des réponses positives et réalistes.

Il faut avouer à son enfant que selon son médecin, ou selon votre constat, il faudrait qu’il soit plus en santé. Dites-lui qu’il est beau de toute façon, qu’un surplus de poids n’empêche en rien le charme d’une personne. Cependant, apportez-lui des faits, causés par l’obésité à long terme. Difficulté à faire des activités, douleurs physiques, souffle court, etc.

Axez également la conversation sur l’importance de bouger, de choisir des aliments qui éviteront que notre ventre crie après 1 heure. Dites-lui que vous êtes là pour l’accompagner dans le processus.

S’il le faut, emmenez votre enfant à l’épicerie et faites le tour des allées avec lui pour qu’il se familiarise avec les changements que vous devez, vous aussi, apporter à votre alimentation.

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Cancer du sein : Accoucher de gros bébés n’aiderait pas

Des chercheurs de l’Université du Texas affirment que les femmes qui ont de gros bébés ont un niveau plus élevé d’hormones, comme l’oestrogène, qui est d’ailleurs connu pour être associé à un risque accru de la maladie, révèle un article du Daily Mail.

Le fait d’avoir de gros bébés propulserait la croissance analogue à l’insuline libre associée au développement du cancer du sein et pourrait modifier les niveaux de trois hormones qui, en conséquence, créent un « environnement procancérigène », spécifie l’article.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les premiers accouchements de 410 femmes et ont pris en considération le poids des bébés en excluant les autres facteurs qui pourraient influencer le développement d’un cancer du sein, tels que le poids des femmes elles-mêmes, les antécédents médicaux ou l’utilisation de l’hormonothérapie substitutive.

Plusieurs peuvent se demander pourquoi un cancer apparaîtrait 30 ans après l’accouchement. À en croire les experts, le corps peut conserver une « mémoire » du niveau d’oestrogène élevé en raison de l’enfant qui avait un poids élevé.

« Bien que cette étude ait révélé un lien statistique entre les femmes dont le premier bébé avait un poids élevé à la naissance et un risque plus élevé de cancer du sein, il n’est pas prouvé que le poids élevé du bébé à la naissance ou les hauts niveaux d’hormones sont source d’un risque accru de cancer du sein », précisent les chercheurs.

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Des gros mots avant trois ans

Avant d’entrer à la garderie, plus de 90 % des enfants auront prononcé leur premier juron, selon un sondage en ligne de News Ltd.

Les gros mots commençant par F et S, aux États-Unis, seraient les plus communément utilisés par les tout-petits. En fait, 28 % de ces enfants utilisent ces mots.

« Ils apprennent rapidement qu’ils reçoivent beaucoup d’attention en jurant », explique la professeure de la Monash University, Kate Burridge.

Plus de 53 % des parents questionnés ont admis que leurs enfants avaient entendu leur premier juron à la maison. Pourtant, plus de 79 % de ces mêmes parents n’encouragent pas un tel vocabulaire.

Aussi, 48 % des parents soutiennent que les enfants entendent ce type de mots au terrain de jeux de l’école ou encore à la maternelle. Trente et un pour cent des parents prétendent que c’est la télévision qui inculque ce mauvais vocabulaire à leur tout-petit.

Rappelons que bien qu’ils ne savent pas vraiment ce que signifient ces blasphèmes, les enfants répètent les mots qu’ils entendent. Malheureusement, les chercheurs ont constaté lors d’une précédente recherche que les deux tiers des adultes utilisent des mots grossiers à la maison.

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Être mince serait de famille

On lit dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine que la famille a beaucoup à voir dans le poids d’un enfant. Si ses parents sont minces, un enfant aura trois fois plus de chances de l’être qu’un autre dont les parents ont un surpoids.

Précisément, si les parents ont un poids santé, leurs enfants auront 16,2 % d’être minces, en comparaison à 7,8 % si les deux parents ont un léger excès de poids, 5,3 % s’ils ont un surpoids, et 2,5 % s’ils sont obèses.

Il semble donc que la minceur, tout comme la prédisposition au surpoids et à l’obésité, serait transmissible selon plusieurs facteurs génétiques. Toutefois, dans le cas de l’étude ici présentée, aucune différence n’a pu être établie entre la mère et le père.

La minceur a été remarquée plus communément chez les plus jeunes enfants. Aucune différence n’a été relevée quant au sexe et au statut socio-économique.

Ces observations ont été prises à la suite de l’analyse de données recueillies entre 2001 et 2006 auprès de 7000 familles. Les indices de masse corporelle de leurs membres ont été calculés.

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Les parents ne veulent pas du mot « obèse »

Un sondage effectué auprès de 445 parents américains suggère que nous ne voulons pas toujours entendre la vérité lorsqu’il est question de notre progéniture. Dans le cas décrit ici, les enfants des participants étaient âgés de 2 à 18 ans.

Paru dans Pediatrics, il indique une forte tendance à choisir le bon mot s’il est question du poids de l’enfant. On a tenté de comprendre la perception des parents quant à 10 mots courants qui décrivent le poids corporel des enfants.

Ainsi, les parents préféreront en général l’emploi de « poids non santé » à « obèse » ou « gros », quand le médecin leur parle de leur enfant. Selon l’avis des principaux intéressés, l’usage de « obèse », « obèse morbide » et « gros » constituent les termes qui stigmatisent et blâment le plus leur enfant. Plus de 60 % des parents sondés considèrent ces mots comme la pire des stigmatisations.

Toujours selon les parents, l’emploi d’autres mots serait plus encourageant pour l’enfant, dans le cadre d’une tentative de perte de poids. La majorité souhait que l’on dise plutôt « problème de poids », « surpoids » et « excès de poids », car ces mots seraient plus empreints de motivation.

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Enfant gros, enfant malade

On lit sur Health l’avis d’une spécialiste de la Miller School of Medicine (University of Miami), Dr Sarah Messiah, quant au surpoids en bas âge.

Selon elle, un enfant âgé d’à peine deux ans est déjà exposé à des problèmes de santé importants dans sa vie adulte s’il a un surpoids. Dès cet âge, il présente des symptômes du syndrome métabolique.

Ce problème de santé peut mener entre autres à une maladie cardiaque et au diabète. Ainsi, un enfant qui souffre de problèmes de poids est déjà un enfant malade. Néanmoins, l’un des premiers dangers consiste en la résistance à l’insuline, laquelle est déjà observable chez des enfants de cinq ans.

Dr Messiah rappelle que le premier enjeu auquel est confronté l’enfant en surpoids est la prévalence du diabète.

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Si maman travaille, bébé est gros?

Une récente étude menée par trois universités américaines a fait un lien entre l’occupation de la mère et le poids de son enfant. Il semble que plus une maman travaille, plus l’indice de masse corporelle (IMC) de son enfant est élevé.

Pour arriver à cette conclusion, on a suivi 979 enfants jusqu’à la 6e année. Pour chaque 5,3 mois où la mère travaillait, l’IMC de son enfant était 10 % plus élevé que la moyenne habituelle.

Cela revient à dire qu’à chacune de ces périodes de 5,3 mois, les enfants engraissaient de près de 500 grammes de plus que ce qui était attendu en fonction de leur croissance.

Rappelons au passage que l’IMC des enfants a été analysé en fonction du statut de la mère, mais que celui du père ainsi que son rôle n’ont pas été abordés.

On ne saurait expliquer ce phénomène pour l’instant, encore moins en tirer des conclusions hâtives.

Toutefois, une piste d’explication serait que les femmes sur le marché du travail ont moins de temps et seraient portées à acheter plus souvent des plats préparés au lieu de cuisiner des repas santé.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Child Development.

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Les petites filles déjà préoccupées par la minceur à trois ans

Une récente étude de l’Université de Pepperdine à Malibu, aux États-Unis, nous apprend que les petites filles sont déjà préoccupées par la minceur à un âge aussi jeune que trois ans.

Pour en arriver à ces conclusions, l’auteure de cette étude, Jennifer Harriger, a présenté à 55 fillettes 3 personnages auxquels elles devaient associer un adjectif. Physiquement, il y avait un personnage gros, un de taille moyenne et un mince.

Des qualificatifs négatifs étaient attribués à une échelle de 3,1 mots au personnage dit « gros ». Les mots en question étaient stupide, bruyant, moche, etc. Le personnage dit « mince » n’a reçu que 1,2 mot négatif en moyenne.

À l’opposé, des qualificatifs positifs aussi éloquents que gentil, intelligent, beau et amical étaient accordés selon un taux de 2,7 au personnage mince, contre 1,2 au personnage corpulent.

Finalement, les petites filles disaient en majorité vouloir jouer avec le personnage mince. Il est donc évident que la publicité actuelle leur apprend qu’avoir un surplus de poids est mauvais.

Tristement, l’obsession de la minceur et de la perte de poids de la société actuelle semble affecter jusqu’aux plus jeunes filles.