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Les effets bénéfiques du jus de bleuet biotransformé

Selon le Guide de référence santé en ligne, le jus de bleuet nain nord-américain, biotransformé à l’aide d’une bactérie fermentée extraite de la pelure du fruit, aide à diminuer les risques d’obésité et de diabète.

Cette étude, publiée dans l’International Journal of Obesity, a été réalisée par des chercheurs de l’Université de Montréal, de l’Institut Armand-Frappier et de l’Université de Moncton. Ils ont observé les effets du jus biotransformé et du jus de bleuet courant en effectuant des tests sur des souris.

Le directeur de cette recherche, Pierre S. Haddad, a déclaré : « Les résultats de cette étude démontrent clairement que le jus de bleuet biotransformé présente un grand potentiel dans la lutte contre l’obésité et le diabète. Le jus de bleuet biotransformé pourrait se révéler être un nouvel agent thérapeutique parce qu’il réduit l’hypoglycémie chez les souris diabétiques et qu’il peut protéger les jeunes souris prédiabétiques de l’obésité et du diabète. »

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L’obésité, un facteur de récurrence

Selon le Dr Stephen Freedland, du Centre de recherche sur le cancer de la prostate de l’Université Duke en Caroline du Nord, l’obésité fait augmenter l’incidence de récidive du cancer de la prostate.

Pour en arriver à ces conclusions, le scientifique a examiné les dossiers médicaux de 1 415 patients ayant souffert de la maladie et qui avaient subi une prostatectomie comme traitement.

« Nous avons découvert qu’un indice de masse corporelle élevé était associé à un risque accru de récurrence du cancer, tant chez les Blancs que chez les Noirs », ont précisé les auteurs de cette recherche.

Ces derniers croient qu’un surplus de poids altère le taux d’hormones, comme l’œstrogène et la testostérone, ce qui pourrait rendre plus agressive la tumeur, comme le suggèrent des études antérieures sur le sujet.

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Surplus de poids et asthme

Une recherche menée par la Dre Salome Scholtens de l’Institut de santé publique et de l’environnement à Bilthoven, aux Pays-Bas, l’amène à conclure que le surplus de poids chez les enfants de 6 à 7 ans peut augmenter le risque de développer les premiers symptômes de la maladie respiratoire.

La scientifique a aussi remarqué lors de ses travaux que les symptômes d’asthme s’atténuaient considérablement dès que les enfants atteignaient un poids santé.

Pendant 8 ans, la Dre Scholtens a demandé aux parents de 3 756 enfants de mesure leur poids et d’évaluer les symptômes d’asthme.

Les sujets qui ont continué à enregistrer un surplus de poids entre 6 et 7 ans avaient 68 % plus de risque d’éprouver des difficultés respiratoires à l’âge de 8 ans.

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Surcharge pondérale et asthme

Une récente étude publiée dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology prétend que les patients obèses répondent moins bien aux corticostéroïdes utilisés pour traiter l’asthme.

« Ces résultats inquiétants démontrent que les patients obèses et asthmatiques ne répondent pas aussi bien que les recommandations de base. Si les médecins ne revoient pas leurs patients après avoir entrepris des traitements de corticoïdes et ne revoient pas les dosages éventuellement, cela signifie que l’asthme de ces patients risque d’être moins bien traité », a déploré l’auteur de cette recherche, le Dr E. Rand Sutherland de l’Université du Colorado à Denver.

M. Sutherland a travaillé avec 1 256 asthmatiques en comparant leur indice de masse corporelle et leur médication prise pour traiter la maladie respiratoire.

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Association entre le diabète et l’apnée du sommeil

Une étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Diabetes Care, démontre qu’il existe une corrélation entre le diabète de type 2, le surplus de poids et l’apnée du sommeil.

Chez les 306 sujets ayant participé à la recherche, environ 87 % d’entre eux souffraient du trouble du sommeil et l’ignoraient complètement.

Plus de 30 % des candidats avaient de 16 à 20 épisodes par heure où ils manquaient d’oxygène pendant leur sommeil et 22 % en avaient plus de 30 à l’heure, selon le Dr Gary D. Foster, de l’Université Temple aux États-Unis.

« La très forte prévalence de non-diagnostic d’apnée du sommeil chez les patients diabétiques est un très sérieux problème de santé publique. Les médecins ayant des patients obèses et diabétiques devraient porter une attention particulière à ce trouble du sommeil », ont fait savoir les auteurs de l’étude.

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Les Américains ne manquent pas d’exercice

Selon une étude qui a été présentée vendredi dernier (8 mai) lors d’une conférence internationale sur l’obésité à Amsterdam, l’obésité chez les Américains ne provient pas du fait qu’ils manquent d’exercice, mais plutôt de leur trop grande consommation de nourriture, rapporte Cyperpresse.ca.

Le directeur de l’étude, Boyd Swinburn, a affirmé que rien n’indiquait qu’une baisse de l’activité physique soit à l’origine de cette épidémie aux États-Unis. Il a ajouté que c’était en fait l’augmentation de l’ingestion d’énergie qui avait entraîné cette prise de poids.

En moyenne, les enfants ont grossi de quatre kilogrammes et les adultes de huit kilogrammes durant les trois dernières décennies aux États-Unis.

Les chercheurs ont découvert qu’en fait, les Américains devraient peser plus compte tenu de leur alimentation, ce qui signifie qu’ils ont probablement intensifié leur activité physique.

Afin de retrouver leur poids des années 70, les enfants américains devraient réduire leur consommation de 350 calories par jour. Les adultes, quant à eux, devraient la réduire de 500 calories.

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Les effets de l’obésité sur les gencives

Une recherche menée auprès de 37 000 adultes a permis à Monik Jimenez, une étudiante pour un doctorat en santé publique à l’Université Harvard, de conclure que les personnes obèses sont plus à risque de souffrir de parodontite, une maladie inflammatoire des gencives.

« L’obésité est associée à une hausse de 29 % de l’incidence de parodontite », a expliqué Mme Jimenez à propos des sujets qui ont un indice de masse corporelle supérieur à 30.

Selon la chercheuse, c’est surtout l’obésité abdominale qui est en cause, à raison d’un risque de parodontite six fois supérieur quand le tour de taille est de plus de 40 pouces chez les hommes et 36 chez les femmes.

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Une meilleure compréhension de l’obésité

Une équipe de chercheurs de l’Université de Berkeley, en Californie, affirme avoir découvert le gène DNA-PK, qui est responsable du métabolisme des glucides dans l’organisme et qui permettrait de mieux comprendre l’obésité.

« Nous espérons que cette recherche pourra contribuer à aider les gens qui souhaitent manger du pain, du riz et des pâtes sans crainte de prendre du poids », a mentionné Richard Wong, un des chercheurs qui a participé à cette étude.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont travaillé avec des souris. Lorsqu’elles présentaient une mutation génétique du DNA-PK, les souris ne prenaient pas de poids, même si elles étaient gavées de féculents.

Selon les chercheurs, ces souris avaient un indice de masse corporelle de 40 % inférieur aux autres rongeurs du groupe.

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L’obésité au pays, toujours en hausse

Un rapport publié par Statistique Canada, dont La Presse a obtenu copie, nous apprend que depuis 10 ans, le taux d’obésité ne cesse de croître chez les travailleurs au pays.

À titre d’exemple, 12,5 % des employés canadiens étaient obèses au milieu des années 90. En 2005, le pourcentage augmente à 15,7 % et touche particulièrement les hommes.

Cette surcharge pondérale finit même par nuire à leur rendement puisque les hommes obèses âgés de 18 à 34 ans sont quatre fois plus à risque de s’absenter du boulot que leurs collègues ayant un poids santé.

Chez les femmes, on remarque que la surcharge de poids les rend plus vulnérables aux blessures.

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La relation entre l’obésité et la douleur chronique

Les travaux menés par le Dr Richard B. Lipton, du Collège de médecine Albert Einstein de New York, lui permettent de conclure que les personnes âgées ayant une surcharge pondérale sont plus à risque d’être touchées par la douleur chronique.

840 sujets de plus de 70 ans ont participé à cette étude publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. 52 % d’entre eux avouaient souffrir de douleur chronique, particulièrement les femmes.

Ceux qui étaient obèses étaient deux fois plus touchés par la douleur chronique que les participants ayant un poids santé.

De plus, le Dr Lipton affirme que ce phénomène peut être attribué au fait que l’obésité fait travailler davantage les articulations du corps, ce qui peut exacerber la douleur chronique.