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Jessica Simspon attend un garçon

Jessica Simpson était de passage sur le plateau de Jimmy Kimmel Live, une populaire émission de fin de soirée, hier (6 mars).

Tout comme lors de son passage à l’émission de Ryan Seacrest, on a notamment parlé bébé, alors que la vedette est à nouveau enceinte, après avoir donné naissance à sa fille Maxwell en mai 2012.

Sauf que cette fois-ci, elle a révélé, sans le vouloir, le sexe du bébé qu’elle porte, du moins c’est ce qu’elle laisse croire.

« C’est une grossesse complètement différente. Je me sens affreusement mal. J’ai beaucoup vomi. Je n’avais aucune idée qu’une petite saucisse pouvait me rendre nauséeuse. Oh zut! Bon, j’imagine que je viens de dire au monde que j’attends un garçon », a lancé Simpson à Jimmy Kimmel.

De plus, elle a expliqué qu’elle aimerait beaucoup se marier à son fiancé, Eric Johnson, mais qu’elle tombe toujours enceinte avant de pouvoir réaliser ce rêve.

Elle a conclu avec une blague, affirmant : « Je n’arrête pas de planifier mon mariage, mais je tombe toujours enceinte. Peut-être que je devrais revenir à quand j’étais jeune, j’étais vierge avant de me marier. Alors, je devrais peut-être tout simplement arrêter le sexe en attendant qu’Eric et moi disions “Oui, je le veux” ».

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Cancer du sein, risque accru sur 3 générations pendant la grossesse

C’est ce que déclarent les chercheurs du Georgetown Lombardi Comprehensive Cancer Centre. L’étude a été publiée dans la revue Nature Communication (11 septembre).

Selon santelog.com, le régime alimentaire affecte ainsi non seulement le fœtus, mais aussi les cellules germinales fœtales. Celles-ci se transfèrent génétiquement à au moins deux autres générations de filles. Dans ce cas, on parle de multihérédité.

Les recherches ont été effectuées sur des rats. Les groupes de femelles ayant été nourries d’aliments riches en graisses élevaient les risques de cancer du sein jusqu’à 60 % pour les deux générations suivantes. Quant aux femelles ayant reçu une dose supplémentaire d’oestrogènes, le risque de tumeurs mammaires était accru de 50 %.

L’auteure principale de l’étude, Leena Hilakivi-Clarke, professeure d’oncologie, explique les résultats : « Nous savons que le régime alimentaire de la mère peut avoir des effets à long terme sur la santé de sa progéniture, mais cette étude montre, sur le rat, pour la première fois, que ce facteur peut affecter trois3 générations de descendants ».

Ces résultats mènent les spécialistes vers un concept d’hérédité épigénétique. On souhaite que le processus soit réversible, mais rien n’a été étudié à ce propos à ce jour.