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Laura Prepon ravie pour Mila Kunis et Ashton Kutcher

La star d’Orange Is The New Black, Laura Prepon, se dit absolument ravie de la grossesse de Mila Kunis, qui est maintenant en couple avec Ashton Kutcher.

Les trois acteurs, Prepon, Kunis et Kutcher, se connaissent fort bien après avoir connu la gloire côte à côte grâce à la série culte That 70’s Show, qui leur a tous permis de connaître des carrières fulgurantes.

De passage aux Critic’s Choice Television Awards, Laura Prepon ne s’est pas gênée pour partager sa joie, qualifiant la grossesse de Kunis de « fantastique », rapporte le Us Magazine.

« C’est fantastique. Ce sera formidable. On a tous grandi ensemble, vous savez? Ça a du sens », lance Prepon, visiblement heureuse et solidaire.

Laura Prepon en a également profité pour commenter ses absences répétées dans la deuxième saison de Orange Is The New Black, la série exclusive de Netflix, et explique ces écarts de présence par son horaire trop chargé. Elle promet cependant d’être de tous les épisodes de la troisième saison.

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Découverte d’un interrupteur capable de déclencher l’accouchement

La découverte d’importance a été possible grâce à la collaboration entre les universités de Melbourne et de Monash, ainsi que le Royal Women’s Hospital et le Hunter Medical Research Institute.

Après l’analyse de 70 biopsies utérines provenant de femmes enceintes, les chercheurs ont découvert la présence d’un canal ionique dans le muscle de l’utérus. Celui-ci envoie des signaux électriques qui commandent les contractions de l’utérus.

Or, cette « chaîne électrique » ne fonctionne pas adéquatement chez les femmes en surpoids, ce qui entraîne des taux de césarienne plus élevés.

Helena Parkington explique qu’il s’agit d’une percée significative. « C’est qu’en comprenant quel est le responsable du problème de dysfonctionnement de l’accouchement chez la femme en surpoids, nous sommes désormais en mesure de développer un traitement sécuritaire, efficace et spécifique pour corriger le problème. »

Le fameux « interrupteur » se désactive lorsque le corps nécessite des contractions, mentionne medicalxpress. Chez la femme en surpoids, les éléments chimiques ne sont pas présents en quantité suffisante.

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L’infertilité encore en hausse

Aujourd’hui, rapporte La Presse, 12 à 16 % des couples n’arrivent pas à avoir d’enfants. Ce qui est malheureux, c’est qu’il existe de fausses perceptions sur les méthodes « assistées » pour avoir un bébé.

Audrey L’Espérance est chercheuse postdoctorale à l’Université de Toronto et affirme que le succès n’est pas aussi élevé qu’on peut le croire.

Les cliniques de fertilité comme Procréa entretiennent le conte de fées. Le taux de réussite des grossesses de 73 à 83 % est erroné. Il ne s’agit pas de bébés, mais bien de résultats d’échographie à 6 semaines de grossesse.

Les données réelles, cumulées auprès de 31 cliniques au pays (sur un total de 32), démontrent qu’un tiers des couples ou femmes qui essaient se retrouvent face à l’échec.

Quant à l’adoption, sa proportion est minime chez les couples infertiles. Au Québec, par exemple, on parle d’à peine 500 enfants adoptés en 1 an pour 17 500 femmes qui ont eu recours à la procréation assistée pour la même période.

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Les bébés sumos, un problème alarmant

Ces nourrissons, appelés « bébés sumos », selon le Daily Mail, ne représentent plus des exceptions. Les statistiques démontrent même une croissance en flèche du phénomène.

– Des bébés sumos sont nés dans 39 des 139 unités de maternité du Royaume-Uni l’an dernier.

– Des bébés de plus de 5,9 kg (13 lb) sont nés dans 5 cliniques.

– Désormais, le poids moyen d’un nouveau-né est de 7 lb 4 oz pour les filles et 7 lb 8 oz pour les garçons.

– Les gros bébés sont plus à risque de complications à la naissance ou de mortinatalité.

Les bébés sumos sont plus communs auprès de mères obèses ou atteintes du diabète de type 2. Depuis les années 1960, celles-ci sont de plus en plus nombreuses.

La fillette la plus lourde du Royaume-Uni, qui vient de naître, pesait 6,5 kg (14,3 lb). Quant au garçon le plus gros, né l’an dernier, il pesait 7,1 kg (15,7 lb)

Les chiffres du Health and Social Care Information Centre indiquent que 1057 bébés de plus de 12 livres sont nés à travers l’Angleterre uniquement l’an dernier. En 2007, ce chiffre s’élevait à 813.

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Naissance prématurée plus à risque lors de grossesses rapprochées

Les résultats d’une nouvelle étude ont été publiés dans la revue spécialisée BJOG: An Interantional Journal of Obstetrics and Gynaecology.

On considère une grossesse prématurée lorsque l’enfant a 37 semaines ou moins de gestation. Pendant les dernières semaines, des développements importants surviennent chez le fœtus. Lorsqu’il est prématuré, l’enfant fait face à de nombreux risques intellectuels, cérébraux, respiratoires, visuels et digestifs, entre autres.

Les chercheurs ont analysé 454 716 naissances de femmes ayant eu deux grossesses ou plus dans une période de 6 ans. Comme l’indique Medical News Today, ils mesuraient le facteur d’intervalle entre les grossesses et ses conséquences.

Les femmes ont été séparées en 2 groupes. Le premier comprenait celles ayant eu un intervalle de grossesse de moins de 12 mois et le second, celles avec un intervalle se situant entre 12 et 18 mois.

Les deux groupes ont par la suite été comparés avec les femmes ayant un temps d’intervalle minimal optimal, soit 18 mois ou plus.

Il a été confirmé que plus l’intervalle entre les grossesses est réduit, plus le taux de naissances avant 39 semaines est élevé, et ce, surtout chez les femmes noires.

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Stress et grossesse, un cocktail dangereux pour l’enfant à naître

D’autre part, l’étude menée par des chercheurs de l’Université McGill au Québec, Canada, démontre que plus les futures mères sont stressées, plus les symptômes du TSA chez l’enfant sont importants.

Les scientifiques ont basé leur recherche à partir de familles ayant souffert de la crise du verglas de janvier 1998, catastrophe naturelle qui a privé certains foyers d’électricité jusqu’à 40 jours durant.

Le Projet Verglas a suivi 150 familles québécoises issues de milieux favorables et même supérieurs. Les femmes étaient toutes enceintes au moment de la tempête hivernale. Les enfants ont été examinés aux alentours de 6 ans.

Les chercheurs ont réalisé que sans pour autant recevoir le diagnostic d’autisme, les enfants nés à la suite de cet immense stress vivaient souvent les symptômes associés : difficultés sociales, notamment se faire des amis, maladresse et difficulté d’élocution.

Comme l’explique Suzanne King, auteure responsable de ce projet d’étude, cela constitue une évidence selon laquelle le stress influe directement sur le fœtus et sur la vie future de l’enfant. Pendant sa période intra-utérine, l’enfant est vulnérable à l’état de la mère.

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Antidépresseurs et grossesse, le débat se poursuit

Il faut cependant mentionner, rapporte Science World Report, que le risque encouru est minime. Par contre, d’autres recherches appuient ces faits. Précédemment, il a été prouvé que les inhibiteurs de recapture de la sérotonine (ISRS) combinés aux facteurs génétiques associés à la dépression peuvent augmenter le risque de troubles du spectre autistique (TSA).

Pour cette recherche-ci,  le registre de 750 000 naissances entre 1997 et 2006 au Danemark a été analysé. Ils ont découvert que pour les femmes ayant pris des antidépresseurs de type ISRS pendant leur grossesse, 1,5 % des enfants recevaient le diagnostic d’autisme. Chez les femmes sans antidépresseur, ce taux diminuait à 0,7 %.

Cependant, ce pourcentage ne représente qu’une fraction du total de cas de TSA. « Nous avons découvert que les risques de TSA doublaient avec l’exposition intra-utérine aux ISRS », rapporte l’auteure de la recherche, Nicole Gidaya.

« En complétant notre recherche pour tenter de comprendre les causes de l’autisme, nous continuons à réaliser qu’il y a de nombreux facteurs génétiques ou non qui y contribuent », avance le Dr Craig Newchaffer, directeur de A.J. Drexel Autism Institute.

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Les femmes enceintes plus sensibles aux effets bienfaisants de la musique

Des chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences à Leipzig, en Allemagne, affirment que la musique peut réduire la pression sanguine, le rythme cardiaque, la respiration et même la température du corps.

En faisant écouter de la musique à 30 participantes, le Dr Tom Fritz et son équipe ont fait jouer des séquences musicales de 30 secondes à chaque femme. Par la suite, ils faisaient jouer les mêmes passages avec des notes discordantes ou en modifiant la mélodie pour qu’elle soit moins plaisante à écouter.

Les femmes du groupe qui étaient enceintes réagissaient plus vivement physiquement aux altérations musicales (surtout au niveau de la pression sanguine). Ceci suggère, selon Medical News Today, que le fœtus est aussi plus sensible aux variations musicales.

« Les résultats de notre étude suggèrent que la musique représente un stimulus spécial pour la femme enceinte », a déclaré Dr Fritz.

Ainsi, pendant leur grossesse, les femmes auraient tout avantage à écouter régulièrement de la musique qu’elles adorent.

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Des grossesses contagieuses chez les amies de longue date

Certaines grossesses seraient souvent « contagieuses » chez certaines femmes, rapporte The National Library of Medicine, alors qu’une nouvelle étude intéressante sur le sujet vient d’être publiée.

Les chercheurs italiens de l’Université de Milan estiment que pour les femmes qui voient une de leurs amies de longue date tomber enceinte, les risques de celles-ci de tomber enceinte seraient de beaucoup multipliés.

« Notre étude démontre que “l’effet amie” a une forte et significative influence sur les femmes. Il est intéressant de noter que les amies du secondaire peuvent jouer un rôle important dans les décisions de fertilité bien longtemps après la fin de l’école », explique le coauteur de l’étude, Nicoletta Balbo.

Balbo et son équipe ont étudié et sondé près de 2000 femmes américaines sur une période de près de vingt ans, entre 1990 et 2009.

Du côté des hommes, cependant, il semble qu’il soit beaucoup plus difficile de tracer de telles corrélations, notamment parce que les données sont plus difficiles à recueillir, selon les chercheurs milanais.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Sociological Review.

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Asthme juvénile accru par la pollution intra-utérine

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le cadre de l’American Thoracic Society International Conference, édition 2014.

Yueh-Hsiu Mathilda Chiu explique : « Nous savons que l’exposition à la pollution de l’air pendant la grossesse peut avoir des conséquences directes sur les difficultés respiratoires de l’enfant, incluant l’asthme ». Le chercheur travaille au Department of Pediatrics de l’Icahn School of Medicine du Mont Sinaï à New York.

L’étude s’est penchée sur le cas de 430 enfants nés à terme pendant les 7 premières années de vie. Leurs mères faisaient également l’objet d’une évaluation régulière.

Les particules fines de pollution auxquelles sont exposées les futures mères sont dangereuses, particulièrement pendant le second trimestre, parce qu’elles sont inhalées jusqu’au plus profond des poumons, rapporte la recherche.  C’est pendant cette période que les poumons du fœtus sont les plus vulnérables.

« Nous devons poursuivre l’amélioration de la qualité de l’air et minimiser l’exposition des femmes enceintes pour plusieurs raisons au niveau de la santé », a affirmé Dre Rosalind Wright.