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Jennifer Aniston ne serait pas enceinte

Selon digitalspy.ca, l’article du magazine serait monté de toutes pièces. Jennifer Aniston, qui a confirmé ses fiançailles avec Justin Theroux en août dernier, attendait semble-t-il, une petite fille.

Cependant, un représentant de la star a démenti ces propos, citant dans une entrevue avec Us Weekly qu’il ne s’agissait que d’une rumeur.

« C’est encore une spéculation des médias! » s’est-il exclamé. « Elle (Jennifer) était présente au LACMA (gala du film et de l’art édition 2012) et elle n’a pas du tout le profil d’une femme enceinte. »

Le représentant y est même allé d’un commentaire personnel, ajoutant : « À quel moment le magazine Star a-t-il déjà eu raison? »

Jennifer Aniston est l’une des actrices qui ont dû démentir le plus souvent des rumeurs de grossesse. En septembre dernier, elle a même pris le tout avec humour en apparaissant dans une vidéo de Smart Water. Elle y posait avec un faux ventre de femme enceinte.

Rappelons que l’actrice était très émue lorsqu’elle s’est confiée à Chelsea Handler, dernièrement, à propos de la demande de mariage de Theroux.

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Le tabagisme durant la grossesse n’influence pas la consommation des enfants

Même si plusieurs études discernent un nombre plus élevé d’enfants ayant des problèmes d’abus d’alcool ou de drogues avec des mères qui ont fumé durant leur grossesse, les auteurs d’une nouvelle méta analyse ne croient pas qu’il y ait là un lien de cause à effet.

Les chercheurs ont analysé deux échantillons de jeunes représentatifs, un aux États-Unis et un en Suède. Dans l’étude américaine, les chercheurs ont relevé si les jeunes affirmaient fumer ou encore consommer de l’alcool et de la marijuana, ainsi que s’ils avaient commencé cette consommation avant l’âge de 14 ans.

Dans l’étude suédoise, les chercheurs se sont plutôt attardés à des événements comme une condamnation reliée à la consommation ou encore à une admission à l’hôpital pour des problèmes d’alcool ou de drogue.

Malgré les contextes différents, les deux études sont arrivées à des conclusions similaires, ce que les chercheurs ont décrit comme étant « remarquable ». Toutefois, il leur a été impossible de démontrer hors de tout doute qu’il existait un lien entre les deux problèmes.

La donnée la plus marquante provenait du fait qu’entre frères et sœurs d’une même famille, le risque de problèmes de consommation restait le même, et ce, même si la mère avait cessé de fumer entre ses grossesses.

Les auteurs de l’analyse ont expliqué que ces données « suggèrent fortement que le risque plus élevé de problèmes de consommation avait pour cause des facteurs familiaux », tel que rapporté par MedPageToday.

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Les femmes enceintes devraient prendre de la vitamine B12 avec de l’acide folique

Un expert irlandais a émis une recommandation s’adressant aux femmes enceintes ou qui veulent concevoir, affirmant que celles-ci devraient prendre un supplément de vitamine B12 pour réduire encore plus leurs chances d’avoir un bébé qui souffre de spina bifida ou d’autres problèmes du système nerveux central.

Les médecins recommandent déjà aux femmes qui pensent être enceintes prochainement et celles qui sont dans le premier trimestre de leur grossesse de prendre un supplément d’acide folique quotidien.

Combiner les deux vitamines serait encore plus efficace que l’acide folique (une autre forme de vitamine B) pris seul, avise cet expert en recherche sur les vitamines, le Dr John Scott.

« Il nous semble clair qu’en plus d’un supplément d’acide folique de 400 mg par jour, prendre un supplément de vitamine B12 de 2,5 mg apporte une réduction supplémentaire significative des anomalies du tube neural », a-t-il conclu dans son rapport, selon le Daily Mail.

Environ un bébé sur 1000 naît encore avec une anomalie du tube neural, et les chercheurs estiment que l’acide folique pourrait prévenir 72 % de ces cas.

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Les antidépresseurs de type ISRS sont associés à beaucoup de risques lorsque pris pendant la grossesse

Des chercheurs ont analysé les données provenant de différentes études s’attardant à des femmes ayant pris des antidépresseurs de la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine (ISRS) durant leur grossesse, ce qui les poussent à recommander que ces médicaments ne soient prescrits aux femmes enceintes ou à celles voulant le devenir qu’avec « une très grande réserve », ainsi qu’avec « un accompagnement complet ».

Les ISRS étaient associés à un risque plus élevé de fausse couche, d’accouchement avant terme, à des complications néonatales et même à des problèmes neurocomportementaux à long terme tels que l’autisme, selon l’analyse.

L’auteur Adam Urato a expliqué que trois points majeurs ressortaient de cette analyse. « Premièrement, il existe des preuves claires et préoccupantes que les ISRS posent des risques pour les femmes enceintes et apportent des complications de grossesse. Deuxièmement, il n’y a pas vraiment de preuves que ces médicaments apportent des avantages. Et troisièmement, nous souhaitons fortement que les patients, les médecins ainsi que le grand public soient au courant de ces faits », tel que rapporté par EurekAlert.

L’usage d’antidépresseurs a augmenté de 400 % depuis les 20 dernières années. Les résultats de l’analyse ont été publiés dans la revue médicale Human Reproduction.

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Les experts recommandent un supplément de vitamine D pour les enfants et les femmes enceintes

Un pédiatre anglais expert des problèmes reliés à la carence en vitamine D lance un message aux médecins et aux parents, afin d’éviter une épidémie de rachitisme. Le Dr Benjamin Jacobs considère que certaines populations spécifiques, incluant les enfants et les femmes enceintes, devraient prendre un supplément de vitamine D.

La carence en vitamine D peut mener au rachitisme, mais aussi à des convulsions reliées à un manque de calcium ou même à de l’insuffisance cardiaque. Même à un degré léger, un déficit de cette vitamine peut causer une faiblesse musculaire ou de la douleur aux os chez les enfants, et même causer un retard dans la marche chez les bébés.

Le Dr Jacobs estime que le manque de reconnaissance de ce problème est « inacceptable », selon MedicalNewsToday. De nombreuses autorités anglaises se préoccupent du problème depuis quelque temps. Une campagne de sensibilisation est même en cours dans ce pays.

Un sondage récent a révélé qu’une personne sur 10 souffrait probablement d’une carence de cette vitamine, incluant les deux tiers de ceux-ci à un degré potentiellement grave.

Le corps humain ne peut produire de vitamine D, mais obtient plutôt celle-ci à travers l’exposition au soleil. Dans plusieurs endroits dans le monde, incluant l’Angleterre, mais aussi le Canada durant l’hiver, la faible lumière peut facilement mener à des carences.

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Durant la grossesse, la prudence est de mise avec les produits naturels

La revue médicale Human Reproduction a publié une étude montrant que les produits de phytothérapie, souvent utilisés par les femmes enceintes, seraient associés à un accouchement prématuré et à des bébés de petit poids.

Selon cette étude menée en Italie, 700 femmes ont été interrogées peu après leur accouchement. Parmi celles-ci, plus du quart avaient pris des suppléments naturels et des herbes de façon quotidienne pendant leur grossesse, durant une période d’au moins trois mois.

Les produits naturels les plus utilisés étaient l’huile d’amande douce, la camomille et le fenouil. Les chercheurs ont constaté que la durée de la grossesse ainsi que le poids du bébé à la naissance étaient affectés par la consommation de ces produits.

Particulièrement, les femmes qui avaient utilisé de l’huile d’amande douce avaient un risque accru d’accoucher avant 37 semaines.

Bien que des preuves plus grandes soient requises avant d’établir un lien de causalité définitif, les auteurs de l’étude souhaitent lancer une « alerte » aux femmes enceintes, pour les prévenir de cesser l’utilisation de ce produit naturel souvent appliqué contre les vergetures, selon famili.fr.

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Comment reconnaître et traiter la dépression durant la grossesse

Prévalence : Les plus récentes statistiques indiquent que de 14 à 23 % des femmes souffriraient d’une forme de dépression pendant au moins une partie de leur grossesse.

Causes et risques : Les changements hormonaux très radicaux qui se produisent durant la grossesse peuvent provoquer la dépression chez certaines femmes, tout comme le stress et les transitions importantes. Le facteur le plus important reste toutefois un historique personnel ou familial de dépression ou de trouble de santé mentale.
 
Signes : La grossesse est un événement majeur, et c’est normal de se sentir fatiguée, triste, ou préoccupée par moments. Mais ce pourrait être quelque chose de plus sérieux si une combinaison de symptômes parmi les suivants est observée : désarroi persistant, problèmes de sommeil, difficulté à se concentrer, problèmes d’alimentation, perte d’intérêt, anxiété, sentiment de culpabilité, de désespoir, de vide.
 
Traitement : La chose la plus importante est de consulter un psychologue ou un psychiatre, ou même les deux. Certains se spécialisent dans le traitement des femmes enceintes et des nouvelles mamans. Ceux-ci pourront vous apporter de l’aide et décider des meilleures options, que ce soit des changements de vie, de la thérapie ou une médication.
 
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L’acrylamide durant la grossesse peut produire des bébés de faible poids

Selon une étude menée dans différents pays européens auprès de nouveau-nés et de leurs mères, plus le taux d’acrylamide dans le sang du cordon ombilical était élevé, plus les bébés risquaient d’être de faible poids et d’avoir un périmètre crânien réduit.

1101 femmes qui venaient d’accoucher ont rempli un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires, puis les chercheurs ont mesuré le taux d’acrylamide chez leurs bébés.

Ils ont constaté que pour chaque augmentation de 10 pmol par gramme d’hémoglobine (une quantité infime), le poids de naissance était réduit de 35 grammes, et le périmètre crânien était réduit de 0,6 millimètre.

L’acrylamide est produit naturellement lorsque des aliments riches en amidon sont cuits ou frits à des températures élevées.

L’Organisation mondiale de la santé considère également que la substance est « probablement cancérigène ». Le consensus est que l’exposition à la substance doit être limitée le plus possible, particulièrement durant la grossesse, puisqu’il a déjà été établi que l’acrylamide traverse le placenta, selon Santé Log.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue médicale Environmental Health Perspectives.

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Le poids idéal pour tomber enceinte

Pour commencer, il est utile de connaître son indice de masse corporelle (IMC) avant d’essayer de tomber enceinte.

Celui-ci se calcule comme suit : le poids divisé par la taille au carré. Un IMC normal se situe entre 18,5 et 25. Au-dessous et au-dessus de cette valeur, il peut devenir difficile de concevoir un enfant.

Trop maigre – IMC inférieur à 18
Une femme trop maigre produira moins d’hormones GnRH qui régulent l’ovulation. Même une fois enceinte, le risque de fausse couche durant le premier trimestre est beaucoup plus important chez les femmes de cette catégorie.

Trop ronde – IMC supérieur à 25
Les femmes en surpoids (IMC de 25 à 29) ou obèses (IMC de 30 ou plus) risquent trois fois plus qu’une femme au poids normal de souffrir d’infertilité. Celle-ci est souvent également liée à l’absence d’ovulation.

Peu importe votre poids, la préconception n’est pas le temps de faire un régime trop strict! Rappelez-vous que les carences alimentaires influencent elles aussi la fertilité. C’est toujours une question d’équilibre…

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Le poids idéal pour tomber enceinte

Pour commencer, il est utile de connaître son indice de masse corporelle (IMC) avant d’essayer de tomber enceinte.

Celui-ci se calcule comme suit : le poids divisé par la taille au carré. Un IMC normal se situe entre 18,5 et 25. Au-dessous et au-dessus de cette valeur, il peut devenir difficile de concevoir un enfant.

Trop maigre – IMC inférieur à 18
Une femme trop maigre produira moins d’hormones GnRH qui régulent l’ovulation. Même une fois enceinte, le risque de fausse couche durant le premier trimestre est beaucoup plus important chez les femmes de cette catégorie.

Trop ronde – IMC supérieur à 25
Les femmes en surpoids (IMC de 25 à 29) ou obèses (IMC de 30 ou plus) risquent trois fois plus qu’une femme au poids normal de souffrir d’infertilité. Celle-ci est souvent également liée à l’absence d’ovulation.

Peu importe votre poids, la préconception n’est pas le temps de faire un régime trop strict! Rappelez-vous que les carences alimentaires influencent elles aussi la fertilité. C’est toujours une question d’équilibre…