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Ronfler durant la grossesse mènerait à la prééclampsie

Les chercheurs de l’Université du Michigan ont découvert que plus du quart de 1700 femmes se mettait à ronfler durant leur grossesse.

Elles doublaient ainsi leur risque d’avoir une pression sanguine élevée par rapport aux femmes qui ne ronflaient pas.

Si la haute pression sanguine n’est pas traitée, les femmes peuvent développer de l’éclampsie qui peut menacer leur vie et celle de leur enfant.

« Nous savons déjà que la haute pression sanguine, particulièrement la prééclampsie, est associée à de plus petits bébés, à des risques plus élevés de naissances avant terme ou de bébés qui se retrouvent à l’unité de soins intensifs », explique l’auteure principale de la recherche, Louise O’Brien.

Rappelons qu’il serait également possible de détecter la prééclampsie chez la mère et de prendre des précautions plus tôt durant la grossesse, en observant la grosseur du thymus du fœtus.

Le thymus du fœtus chez les femmes atteintes de prééclampsie serait significativement plus petit que chez les bébés des femmes en bonne santé, selon une étude menée par des chercheurs australiens de la Sydney Medical School Nepean.

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Les futures mamans prématurées risquent des complications

Les chercheurs montréalais ont découvert que les complications de ces grossesses seraient proportionnelles au niveau de prématurité.

En fait, ces complications sont l’hypertension gestationnelle, le diabète gestationnel et la prééclampsie, entre autres.

Le nombre d’adultes nés prématurément pousse les experts à mettre en garde contre ces complications possibles.

« Sept pour cent des jeunes adultes au Québec sont nés avant terme. Il est important que les professionnels de la santé et les responsables de l’allocation des ressources de santé prennent en compte l’impact des naissances avant terme sur les soins obstétricaux », explique la chercheuse principale derrière cette étude, Anne-Monique Nuyt.

Rappelons que d’avoir un poids santé avant de tomber enceinte permet de réduire les risques de complications, surtout lors de grossesses lorsqu’on a 40 ans et plus.

Cependant, les femmes obèses qui tentent d’avoir un bébé après la trentaine sont plus susceptibles de donner naissance prématurément, de souffrir de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle.

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Sport et grossesse : quelques conseils à (bien) suivre

(Relaxnews) – L’exercice pendant la grossesse est une bonne manière de rester en forme et aussi de se préparer à l’accouchement, souvent comparé à un marathon. Pour certaines grossesses à risque, le sport est généralement déconseillé, mais pour les autres, voici quelques conseils parus sur le blogue Fit Bottomed Girls.

S’étirer avant et après. La relaxine, hormone sécrétée pendant la grossesse, tend à assouplir les articulations pour préparer le corps à l’accouchement. Il est fortement conseillé de s’étirer avant et après le sport, mais sans jamais forcer.

Bien s’hydrater. « S’hydrater suffisamment pendant la grossesse est déjà assez difficile », a expliqué Kellee Bryan d’EveryMove à Fit Bottomed Girls. « Et en faisant du sport, c’est encore plus difficile. »

Éviter la surchauffe. « Au cours du premier trimestre de grossesse, les organes de votre bébé commencent à se former, et si votre température corporelle était trop haute, cela pourrait causer certains problèmes », commente un rédacteur du blogue.

S’arrêter avant épuisement. Si vous arrivez à parler pendant vos exercices sportifs, cela veut dire que vous avez le bon rythme. Par contre, si vous êtes complètement essoufflée et ne pouvez plus aligner une phrase, levez le pied.

Éviter la position allongée sur le dos. Il faut éviter tous les exercices pour lesquels il est nécessaire d’adopter la position allongée sur le dos (et sur le ventre, mais cela va de soi), pendant le deuxième et le troisième trimestre de grossesse.

Ne pas se mettre à la course si on ne courait pas avant d’être enceinte. Cependant, les habituées de la course pourront poursuivre leur activité, en l’adaptant et en suivant les conseils de leur médecin, notent Fit Bottomed Girls et de nombreux autres experts.

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Les avantages de la vitamine D pendant la grossesse

C’est une nouvelle étude publiée cette semaine qui suggère qu’un apport suffisant en vitamine D chez la mère, pendant la grossesse, se reflétait en un score plus élevé lors des tests de développement chez les enfants.

Les chercheurs du Centre for Research in Environmental Epidemiology de Barcelone ont mené l’étude auprès de 1820 mères et leurs bébés. Les résultats ont été publiés dans l’édition du 17 septembre du journal Pediatrics.

Selon la Dre Valencia Walker, du Children’s Hospital UCLA, « si l’apport de vitamine D devient essentiel à la grossesse, certaines femmes sont à risque de carence, comme les femmes à la peau plus foncée, les femmes obèses ou celles vivant plus au nord, où les heures d’ensoleillement sont moindres, surtout en hiver ».

Mais selon Eve Morales, qui a participé à la recherche, il n’y a rien d’alarmant, d’autant plus que la recherche effectuée n’est pas d’envergure suffisante pour déterminer le réel impact d’une carence en vitamine D.

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L’alcool pendant la grossesse réduit la réponse du foetus aux stimuli

Les études précédentes, rapporte santelog.com, s’attardaient aux conséquences postnatales. Il a été constaté que les enfants de mères ayant consommé de l’alcool pendant la grossesse étaient plus enclins aux troubles comportementaux tels que l’hyperactivité et divers troubles d’attention.

Par contre, la nouveauté qu’apporte la recherche effectuée à l’University of New South Wales est que certaines zones du cerveau du fœtus s’habituent à la consommation régulière d’alcool et diminuent ainsi la réponse à divers stimuli responsables de l’apprentissage. Donc, l’alcool affecte directement le système nerveux central de l’enfant.

Professeur de psychologie à l’Université Queen de Belfast, Peter G. Hepper explique l’objectif de cette étude : « La stabilité dans le fonctionnement de notre cerveau est fondamentale pour notre capacité d’apprentissage. En observant ces effets comportementaux avant la naissance, nous pouvons commencer à trouver les zones du cerveau touchées par l’alcool et peut-être développer des traitements ».

Les résultats, basés sur un échantillonnage de 78 femmes enceintes, ont été publiés dans la revue Alcoholism: Clinical & Experimental Research.

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Exposition prénatale à la pollution – carence en vitamine D

Medicalnewstoday.com rapporte qu’une récente étude a démontré que parmi d’autres facteurs, cette exposition à un niveau élevé de pollution est directement reliée aux risques de développement de l’asthme et d’allergies chez l’enfant.

Cette recherche, publiée dans la revue The Endocrine Society’s Journal of Clinical Endrocrinology and Metabolism (JCEM), démontre ainsi l’impact de cette carence sur le développement de maladies, plus tard dans la vie de l’enfant.

C’est Nour Baïz, de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) à Paris, qui a dirigé l’étude. « Nos recherches démontrent enfin pour la première fois que l’exposition à une forte concentration de pollution, mesurée selon les standards de l’Organisation mondiale de la santé, a un impact direct non seulement sur les gens, mais dans le cas de la femme enceinte, l’enfant à naître en souffre également ».

Malheureusement, la pollution n’ira pas en diminuant. Les femmes enceintes devront donc prendre plus de précautions lors du dernier trimestre de grossesse.

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Un test pour déterminer le moment de l’accouchement

Cette découverte rassure les médecins, puisque les risques associés à un accouchement avant 37 semaines de grossesse peuvent apporter de sérieuses complications. Les enfants prématurés ont plus de chance d’être gravement malades, tant à la naissance que dans le futur.

Le problème actuel réside dans le fait que seulement 30 % des femmes enceintes qui se pointent à l’hôpital avec des contractions précoces ne rendent pas leur bébé à terme. Ainsi, 70 % s’y rendent inutilement.

Seulement en 2010, c’est plus de 15 millions de bébés prématurés qui ont vu le jour. Le test sanguin proposé détecte une protéine spécifique dans le sang. L’efficacité des résultats se situe autour de 80 %.

Selon medicalnewstoday.com, la recherche, dirigée par les experts de l’Académie Sahlgrenska à l’Université de Gothenburg, en Suisse, a été menée auprès de 142 femmes enceintes entre 1995 et 2005.

L’un des chercheurs, Panagiotis Tsiartas, explique : « Si l’on peut prédire que la femme qui se présente à l’hôpital accouchera réellement à l’intérieur d’une semaine, cela permettra de lui donner la cortisone nécessaire à l’accélération du développement des poumons de l’enfant. Il s’agit d’une avancée très importante ».

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Le sucre, responsable d’une prise de poids excessive pendant la grossesse

Une nouvelle étude, menée par l’Institut de Médecine en Irlande, suggère de réduire les glucides au maximum pour éviter la prise de poids excessive pendant cette période.

Les résultats démontrent que 48 % des femmes ayant conservé le même régime alimentaire pendant la grossesse ont pris plus de poids que prévu. Quant aux femmes ayant modifié leur régime pour abaisser la consommation de sucre, seulement 38 % d’entre elles ont pris plus de poids que recommandé.

L’Institut de Médecine a effectué cette étude auprès de 800 femmes, dont 400 ont suivi le régime alimentaire bas en glucides. Selon ce que rapporte myhealthnewsdaily.com, une femme enceinte de poids normal ne devrait pas dépasser un gain de poids se situant entre 25 et 35 livres.

Les chercheurs vont plus loin : « La prise de poids excessive pendant la grossesse est associée à un risque plus élevé de césarienne, une rétention de poids après la naissance et un risque d’obésité plus tard dans la vie ».

Ainsi, il faut éviter les sucres rapides, c’est-à-dire préférer le riz et le pain bruns plutôt que leurs versions transformées. Les gâteries sucrées devraient aussi demeurer sur les rayons de l’épicerie et être remplacées par des fruits.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans l’édition de septembre du British Medical Journal.

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Comment économiser pour la garde-robe de maternité

Il n’est pas nécessaire de magasiner uniquement dans les boutiques de maternité. Si vous gardez l’œil ouvert, les vêtements de taille unique vous permettront d’économiser. Même avec une petite bedaine, ces vêtements vous permettront d’être confortable pendant quelques mois.

Choisissez des pantalons ou jupes à taille élastique, des tuniques, robes à taille empire ou en drapé. Vous pourrez porter un veston ou une veste par-dessus, ce qui vous évitera des coûts exorbitants.

Rappelez-vous qu’en plus, tout ce qui est extensible ou de taille unique vous servira après l’accouchement, le temps de retrouver votre taille.

Parcourez les rayons en solde, c’est la meilleure solution pour compléter des ensembles. Il faut faire en sorte que chaque morceau puisse s’agencer avec d’autres.

Allez sur le Web, souvent, des coupons-rabais électroniques vous permettront d’économiser.

Retenez le nom BellaBand. Il s’agit d’une pièce qui s’installe sur vos pantalons ou jupes régulières lorsque le bouton menace de céder. À l’aide du BellaBand, vous continuerez à porter vos vêtements de tous les jours plus longtemps.

Pour les soutiens-gorge, visez le moins cher possible, dans les soutiens-gorge réguliers. Vous investirez plus sérieusement en terme de qualité lorsque vous serez dans le dernier trimestre, pour l’allaitement ou le maintien de la poitrine après la grossesse.

Finalement, accessoirisez. C’est la meilleure façon d’interchanger vos vêtements sans avoir l’air de porter toujours les mêmes.

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Distributrice de tests de grossesse dans les bars

Tom Frederick, propriétaire du Pub 500 à Mankato, au Minnesota, a accueilli l’idée avec enthousiasme. « Mon épouse est infirmière en salle d’accouchement. L’objectif, c’est d’aider le futur enfant en sensibilisant la femme enceinte en regard de la prise d’alcool. »

Selon thebump.com, Jody Allen Crowe, fondatrice de l’organisme à but non lucratif Healthy Brains for Children, abonde en ce sens : « C’est une réelle épidémie. Le nombre de femmes exposées à l’alcool durant la grossesse est un sujet tabou. Les gens n’osent même pas en parler ».

En fait, selon une étude du mois de juillet dernier, menée par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), une femme enceinte sur 13 admet avoir consommé de l’alcool alors qu’elle attendait un enfant. De ces femmes, 1 sur 5 avouait qu’elle était allée dans une beuverie.

La distributrice de tests de grossesse, située dans la salle de bain des femmes, est loin du regard du public et accepte les cartes de crédit. Un maigre 3 $ suffit, ce qui est beaucoup moins cher qu’en pharmacie, en plus d’offrir toute l’intimité recherchée.

En seulement quelques mois, au Pub 500, plusieurs douzaines de tests avaient été achetés dans la machine distributrice.