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Des façons originales d’annoncer votre grossesse

 

D’abord, vous pouvez annoncer à votre conjoint votre grossesse avec un jeu de mots, en écrivant « Tu seras papa » sur une planche de scrabble, par exemple.

Vous pouvez aussi remplacer le petit papier dans des biscuits de fortune par un que vous aurez vous-même écrit et qui annoncera l’heureuse nouvelle. Il s’agira donc d’en distribuer à votre entourage.

Puis, si vous connaissez quelqu’un qui travaille dans les impôts, vous pouvez lui écrire un mot disant « Déductions d’impôts en chemin ».

Vous pourriez également recevoir famille et amis et, au moment de prendre la photo de groupe, leur demander de réciter « [votre nom] va avoir un bébé! » Cette photo restera donc un bon souvenir de l’impression qu’aura faite la nouvelle sur vos proches.

Une autre idée consiste à envoyer une carte avec couverture personnalisée, soit : une image de vos chaussures, de celles de votre conjoint ainsi qu’une paire de souliers de bébés. Vous écrirez que votre famille grandira de deux pieds.

Pourquoi ne pas utiliser la buée du miroir de la salle de bain pour y inscrire que vous êtes enceinte? Lorsque votre conjoint sortira de la douche, il verra l’inscription.

Rappelons que dès le début de la grossesse, il est important de cesser toute consommation d’alcool. Plusieurs bébés exposés à l’alcool dans le ventre de leur mère développent des anomalies au niveau de leurs capacités intellectuelles ou de leur comportement.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Comment se défaire des douleurs reliées à la grossesse

 

Les maux de dos sont un inconfort commun chez les femmes enceintes et sont en partie causés par l’utérus, qui prend mille fois sa taille originale durant la grossesse, déséquilibrant ainsi le corps. Il est conseillé de mettre de la chaleur sur la zone endolorie et de ne pas soulever d’objets lourds.

Ensuite, il est possible que vos pieds et vos mains enflent à cause des liquides qui s’accumulent dans le corps. Il peut être utile d’élever vos jambes afin que ce liquide ne s’y accumule pas.

Aussi, le syndrome du tunnel carpien, causé par l’enflement des mains, survient chez plusieurs futures mamans. Vous pouvez consulter votre médecin et faire quelques exercices tout simples afin de soulager ou de prévenir cette douleur.

Les douleurs au nerf sciatique dues au changement de posture sont également ressenties chez quelques femmes. Le yoga prénatal peut prévenir cette douleur.

Puis, les crampes aux jambes, dues au surplus de sang qui s’y accumule, peuvent être soulagées en étirant vos jambes et vos pieds avant d’aller au lit. Consommer plus de calcium et de potassium soulage aussi.

Rappelons que les nausées matinales ainsi que les vomissements chez les femmes enceintes sont dus à l’afflux d’hormones naturelles de grossesse gonadotrophine chorionique et d’œstrogènes dans le corps. Toujours avoir une bouteille d’eau et quelque chose à grignoter à proximité peut aider à écouter les nausées.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

 

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Le yoga contre la dépression durant la grossesse

Les hormones des femmes enceintes influent sur leur humeur.

En fait, l’étude américaine, publiée dans la revue Complementary Therapies in Clinical Practice, démontre qu’une femme enceinte sur cinq souffre de dépression durant sa grossesse. C’est qu’avec le yoga, les futures mamans se sentiraient plus proches de leurs enfants.

La dépression et l’anxiété sont de plus en plus fréquentes chez les femmes en pleine grossesse. Il est important qu’elles soient traitées, puisqu’elles peuvent nuire à la santé du poupon. Il se pourrait que la femme mette au monde un enfant plus petit que la normale, qu’elle accouche prématurément ou souffre de pré-éclampsie.

De plus, les futures mères n’osent pas toujours prendre des antidépresseurs.

L’auteure de la recherche, Maria Muzik, soutient que cette découverte démontre que le yoga « peut être une alternative efficace au traitement pharmaceutique ».

Rappelons qu’aussi peu que 12 minutes de yoga quotidiennement pendant huit semaines suffisent à réduire le niveau de stress en diminuant les inflammations de l’organisme.

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La grossesse modifie les microbes des intestins des femmes

Normalement, ces changements seraient associés à un syndrome métabolique, mais pour les femmes enceintes, ils sont plutôt bénéfiques, selon les experts de la Cornell University d’Ithaca, New York.

En fait, ces changements sont une façon pour le corps de se préparer à nourrir le fœtus et prendre soin du bébé après la naissance.

« Ces résultats suggèrent que nos corps ont coévolués avec le microbe et peuvent en fait les utiliser comme un outil pour aider à altérer le métabolisme de la mère pour supporter la croissance du fœtus », explique la PhD Ruth Ley, de la Cornell University.

Les symptômes du syndrome métabolique, comme le gain de poids et un catabolisme anormal du glucose apparaissent durant la grossesse. Toutefois, les experts ignorent encore pourquoi.

« Dans un contexte de grossesse, ces changements métaboliques sont bons pour la santé, parce qu’ils transforment les réserves d’énergie en tissus gras et aident au support du foetus », a indiqué Ruth Ley.

Rappelons qu’une personne qui n’attend pas d’enfant est atteinte du syndrome métabolique lorsqu’elle possède une combinaison de 3 risques particuliers — le faible poids à la naissance, une circonférence inférieure de la tête et le gène des parents atteints de surpoids ou d’obésité — ou plus pour la santé.

Chacun de ces facteurs peut augmenter le risque de contracter le diabète, une maladie cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Toutefois, le risque est grandement augmenté lorsque ces variables sont combinées.

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Le deuil durant la grossesse affecte longtemps la santé de l’enfant

En fait, les chercheurs anglais ont découvert que les enfants nés de femmes vivant une séparation ou un deuil peuvent avoir des problèmes de santé jusqu’à l’âge de quatre ans.

De plus, les experts estiment que deux épisodes de stress sévère durant la grossesse augmentent cinq fois plus les problèmes du petit.

Il est donc crucial, selon eux, que les femmes enceintes vivant des moments difficiles soient accompagnées durant ceux-ci.

Le stress en pleine grossesse a entre autres été lié à l’asthme, aux infections et aux maux d’estomac.

Les experts croient que les changements hormonaux ou du système immunitaire de la mère durant la période de stress vécue affecteraient les défenses immunitaires du bébé.

« [L’étude] suggère que le stress vécu durant la grossesse entraîne des changements biologiques chez l’enfant à naître qui le rend susceptible de développer des maladies plus tard dans sa vie », explique le chercheur Jasmin Wertz.

Il ajoute également que l’utilisation d’antidépresseur durant la grossesse pourrait faire plus de bien au bébé que de mal, en fin de compte.

Rappelons que les futures mamans souffrant de dépression seraient plus susceptibles de mettre au monde des enfants prématurés.

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Arrêter de travailler trop tard durant la grossesse pourrait nuire au bébé

 

En fait, le poids de ces bébés serait inférieur à celui des autres bébés en santé.

Pour en venir à cette conclusion, les chercheurs de l’Université Essex ont comparé plusieurs études effectuées durant les dernières années. Ils ont remarqué que les enfants avec un poids moins élevé étaient nés, souvent, de mère ayant travaillé jusqu’au neuvième mois de leur grossesse.

Ces résultats inquiètent les experts, qui savent déjà qu’un faible poids à la naissance peut entraîner des conséquences plus tard dans la vie de l’enfant.

« Nous savons qu’un faible poids à la naissance est annonciateur de plusieurs choses qui arriveront plus tard, incluant moins de chances de terminer l’école avec succès, un salaire moins élevé et un taux de mortalité supérieur », explique le professeur et coauteur de l’étude, Marco Francesconi.

L’étude a rassemblé de nombreuses données provenant de différentes recherches qui présentaient toutes les mêmes similitudes. Notamment, on s’est basé sur les résultats d’une recherche comprenant un échantillon de 17 483 femmes ayant donné naissance entre 2000 et 2001 en Grande-Bretagne, puis une autre de la National Survey of Family Growth. Cette dernière rassemblait les données de naissances situées entre 1970 et 1995, auprès de 12 166 femmes.

Marco Francesconi affirme sans hésiter que les mères salariées devraient se voir offrir la possibilité de partir en congé de maternité plus tôt.

 

 

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Avoir un bébé après 30 ans diminuerait les risques de cancer

Alors que de plus en plus de femmes retardent la maternité par choix, voilà qu’il y a peut-être un élément de plus qui pourrait peser dans la balance pour elles.
 
En effet, selon des chercheurs de l’école de médecine Keck de l’Université de Caroline du Sud, plus les femmes attendent pour tomber enceintes, moins élevés sont les risques de développer un cancer de l’endomètre (cancer du corps utérin).
 
Parue sur le site de l’American Journal of Epidemiology, l’étude américaine a observé le cas de milliers de femmes pour conclure que les mères qui ont leur dernier enfant entre 30 et 34 ans ont 17 % moins de chances que celles âgées de 25 ans d’être atteintes de ce type de cancer.
 
Il semblerait que pour les femmes qui ont entre 35 et 39 ans, le risque baisse de 32 %, et de 44 % une fois que le cap de la quarantaine est passé.
 
Ainsi, en retardant la grossesse, les risques de cancer de l’endomètre seraient moins élevés. D’un autre côté, les chances que la femme soit moins fertile ou que le bébé soit atteint d’autisme augmentent, révèlent des études antérieures.
 
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La dépression durant la grossesse liée à la prématurité

Selon la recherche publiée dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, des chercheursont pu déterminer que plusieurs facteurs pouvaient causer les naissances avant terme, dont la race, l’âge et la dépression.

Bien que d’autres facteurs entrent en ligne de compte, la dépression est une forme sérieuse de stress qui peut affecter la santé du foetus.

De plus, les femmes qui consomment des antidépresseurs sont plus à risque de donner naissance à un bébé prématuré.

Les chercheurs ne savent toutefois pas si un traitement par médicaments ou par thérapie aiderait les femmes dépressives à mettre leur bébé au monde au bon moment.

Les chercheurs croient plutôt qu’une solution pourrait être de continuer à sensibiliser les femmes aux risques que leur dépression comporte pour leur enfant à naître.

Rappelons que des chercheurs de l’Université de Montréal ont démontré qu’une partie du cerveau d’enfants nés d’une mère dépressive, l’amygdale, était plus grosse.

L’amygdale (complexe amygdalien) est un noyau situé dans le lobe temporal. Cette partie du cerveau est reliée à la réponse émotive.

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La trisomie ne brime pas une vie familiale

Plus de 332 parents vivant ou ayant vécu avec 272 enfants atteints de trisomie 13 ou 18 ont été interrogés dans le cadre d’une étude réalisée par la Dre Annie Janvier, du Centre universitaire de l’Hôpital Sainte-Justine et de l’Université de Montréal, et par Barbara Farlow, mère d’un enfant décédé de la trisomie 13.

Alors que les enfants atteints de trisomie 13 et 18 ont une espérance de vie courte et sont gravement handicapés, la majorité des parents se sont fait dire par les spécialistes que leur vie ne serait pas facile.

Parmi les parents, 87 % confirment qu’un professionnel de la santé leur a déjà dit que leur enfant serait « incompatible à leur vie », 50 % que leur petit serait « légume », 57 % auraient une « vie de souffrance », et 23 % se sont même fait dire que leur bébé « ruinerait leur vie familiale ou leur couple ».

Cependant, il s’avère que 97 % d’entre eux considèrent que leur enfant est ou était heureux, et que sa présence a enrichi la vie de leur famille et leur vie de couple, indépendamment de sa durée de vie.

Généralement, les enfants trisomiques (13 et 18) ne survivent pas au-delà de leur première année de vie. Ceux qui réussissent à passer ce cap ont une incapacité grave et une vie courte.

Plusieurs parents décident d’interrompre la grossesse lorsqu’ils reçoivent un diagnostic de ce genre. Ceux qui donnent naissance à un enfant dans cette condition sont souvent jugés et étiquetés par la société et même par les professionnels de la santé, confient les parents interrogés.

Barbara Farlow espère que « les résultats amélioreront la capacité des médecins à comprendre, communiquer et prendre des décisions avec ces parents ».

La trisomie 13 ou 18 est rare, elle touche environ un cas sur 10 500 naissances.

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L’alcool durant la grossesse responsable des changements cognitifs

C’est ce que prétendent les experts des National Institutes of Health et des chercheurs chiliens.

Ces anormalités impliquent des délais au niveau du langage et des capacités cognitives, de l’hyperactivité ainsi que des déficits d’attention.

Les chercheurs ont décelé ces problèmes chez 44 % des enfants dont les mères buvaient quatre verres ou plus de boissons alcoolisées durant la grossesse.

Le syndrome d’alcoolisation foetale peut aussi se traduire par des anormalités faciales. Toutefois, ces malformations faciales ne sont pas toujours présentes.

« Notre inquiétude est qu’en l’absence de traits faciaux distinctifs, les prestataires des soins de santé qui évaluent les enfants avec ce type de troubles neurologiques pourraient ne pas voir leurs antécédents d’exposition à l’alcool dans le ventre de leur mère. […] Ce faisant, les enfants pourraient ne pas recevoir les bons traitements et services », explique le Dr Devon Kuehn de l’Eunice Kennedy Shriver National Institute of Child Health and Human Development.

Rappelons qu’une femme sur 13 dit consommer de l’alcool durant la grossesse. C’est ce qu’a permis de conclure un sondage des Centers for Disease Control effectué auprès de 14 000 femmes enceintes des États-Unis plus tôt ce mois-ci.