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Les femmes enceintes doivent avoir une bonne santé buccale

La santé buccale de la mère peut affecter la santé du fœtus, voilà ce que révèle une récente étude du quotidien Times of India.

En moyenne, 80 % des femmes enceintes se plaignent de complications buccales. La plus fréquente serait la gingivite durant la grossesse.

Lorsque les problèmes buccaux ressentis ne sont pas traités immédiatement, il peut y avoir des répercussions sur le fœtus. « Les maladies parodontales chez la mère peuvent avoir un effet négatif sur les gencives et les dents du bébé. Si la femme porte une attention particulière à sa santé buccale, plusieurs complications chez le bébé peuvent être évitées », affirme le Dr Gopalakrishnan.

Une visite chez le dentiste durant la grossesse devrait être faite et prise avec presque autant de sérieux que celle chez l’obstétricien.

En plus du dentiste, un autre spécialiste ajoute que pour donner un bon départ au bébé, les mères devraient se brosser les dents fréquemment avec une brosse au poil souple, se gargariser avec un rince-bouche recommandé par un spécialiste, avoir une diète riche en fibres, minéraux et vitamines, et ainsi éviter les aliments néfastes pour la santé dentaire et générale, de même que celle de son bébé.

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Grossesse : la consommation de tabac, drogues et alcool varie selon la race

Selon une enquête publiée cette semaine et dont les données ont été recueillies entre 2002 et 2010 par l’organisme américain Substance Abuse and Mental Health Services Administration, le taux de consommation de drogues, de tabac et d’alcool dépend de la race de la future mère.

Ainsi, il a été démontré que chez les femmes enceintes de race blanche, presque 22 % d’entre elles ont fumé à l’intérieur des 30 jours précédant l’accouchement, comparativement à 14 % des femmes noires et 6,5 % des hispaniques.

Si les femmes noires se retrouvent au deuxième rang en matière de tabac, elles grimpent au premier échelon en ce qui a trait à la consommation de drogues illicites. En effet, elles ont été dénombrées à 7,7 %, comparativement à 4,4 % chez les blanches et environ 3 % chez les femmes hispaniques.

Quant au plaisir de prendre un verre, le taux de consommation était pratiquement similaire chez les femmes de race noire et blanche (12,8 % et 12,2 %), alors qu’il était relativement plus bas chez les femmes hispaniques (7,4 %).

Selon l’organisme, même si les dangers d’abus de ce type de substances sont connus pour les mères et les bébés, il est important de trouver ce qui pousse les femmes enceintes de différentes ethnies à consommer, car chaque personne peut avoir ses motifs.

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Le poids avant la grossesse peut influencer l’intelligence des enfants

Des recherches antérieures ont démontré que l’obésité chez une femme avant la grossesse pouvait avoir un effet négatif sur les organes du fœtus comme le cœur, le foie et le pancréas.

Parce que le développement du fœtus est sensible aux caractéristiques physiologiques de la mère, des chercheurs de l’Université de l’Ohio ont tenté de savoir si l’obésité maternelle pouvait également affecter le cerveau du fœtus.

À la suite de tests en mathématiques et lecture réalisés sur 3412 enfants âgés de 5 à 7 ans, on a conclu que les enfants nés d’une mère obèse avaient une fonction cognitive plus faible.

En effet, ces petits ont obtenu en moyenne trois points de moins en lecture et deux points en moins dans leurs résultats de mathématiques à des examens généralement utilisés pour analyser la fonction cognitive des bambins.

Il a été démontré que les fillettes et les ainés d’une famille où la mère est obèse auraient des aptitudes cognitives légèrement supérieures aux garçons et aux enfants qui naissent en deuxième ou troisième, mais tout de même inférieures aux enfants nés de mères avec un poids santé.

L’enquête parue en ligne dans le journal Maternal and Child Health appuie également les études qui suggéraient que des facteurs socio-économiques (scolarité et salaire de la mère, milieu familial, etc.) jouent aussi un rôle sur les aptitudes cognitives de l’enfant.

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Grossesse : des compléments au gingembre contre les nausées

Sous forme de gélules, ces compléments alimentaires biologiques ont rendu la vie plus facile à bien des futures mères qui ont participé aux tests cliniques du laboratoire Maternov.

Alors qu’en Asie, le gingembre est utilisé comme solution naturelle anti-nausée depuis la nuit des temps, cette plante est à la base d’une solution miracle que pourraient adopter les médecins dépourvus de moyens pour lutter contre les maux de coeur durant la grossesse.

Parmi les 675 femmes enceintes qui ont consommé les gélules de Maternov Nausées, 84 % ont admis avoir moins de haut-le-coeur, et une femme sur deux a affirmé avoir moins de vomissements.

Préparé à base de gingembre certifié d’agriculture biologique, ce produit fabriqué en France a été conçu spécifiquement pour les femmes enceintes, qui peuvent avaler jusqu’à 4 gélules par jour dès que les nausées apparaissent, et ce, pendant 3 jours minimum.

Pour plus d’informations, cliquez ici.

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Un bébé en retard ou un bébé prématuré?

En fait, le risque est similaire pour le bébé né en retard et celui qui vient au monde prématurément. Ces derniers peuvent être connus pour des problèmes de santé physique et émotionnelle, quelque temps après leur naissance, mettent en garde des chercheurs des Pays-Bas dont les résultats sont parus dans le Journal of Epidemiology.

La durée normale d’une grossesse étant de 40 semaines, il aurait été démontré que les enfants nés après 42 semaines et plus de gestation étaient plus à risque de développer un déficit de l’attention avec hyperactivité ou d’autres problèmes de santé que les bébés nés à temps.

Les chercheurs expliquent qu’un « vieux » placenta ne réussit pas à fournir les nutriments et l’oxygène nécessaire au bébé après 40 semaines.

Les chercheurs suggèrent donc de déclencher un accouchement entre 40 et 41 semaines ou de faire une césarienne pour éviter des problèmes à l’enfant, mais aussi à la mère, qui risque d’avoir un enfant plus grand et plus gros après 40 semaines.

Pour arriver à ces conclusions, 5145 bébés de Rotterdam ont été suivis pendant trois ans pour étudier la relation entre la longueur du temps passé dans l’utérus et les comportements et problèmes affectifs à plus long terme.

Alors que les risques étaient connus pour les enfants prématurés, il s’agit de la première étude qui fait la lumière sur les risques d’une grossesse prolongée sur le comportement des bébés.

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Des pesticides qui nuisent au développement neurologique des enfants

Alors qu’il n’est plus autorisé pour usage domestique aux États-Unis, le chorpyriphos-éthyl est encore très répandu dans les parcs, sur les fruits et légumes, en agriculture, sur les terrains de golf, etc.

Même à des niveaux modérés, le pesticide peut avoir un effet néfaste sur le fœtus et faire en sorte que l’enfant développe des « anomalies importantes », a révélé une étude parue dans les Proccedings of the National Academy of Sciences.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs de la Mailman School of Public Health ont comparé, par imagerie à résonnance magnétique (IRM), le comportement de 20 enfants âgés de 5 à 11 ans dont les mères avaient été surexposées au chlorpyriphos-éthyl durant la grossesse à celui de 20 enfants dont les mères avaient été aussi exposées à ce pesticide, mais à des niveaux moindres, explique l’Agence France Presse.

Il a été démontré qu’une exposition de la mère durant la grossesse à des niveaux modérés de ce pesticide pouvait avoir des effets irréversibles sur le développement du cerveau du bambin et causer des retards.

Il a également été prouvé que les mères qui avaient été fortement exposées à la substance avaient davantage d’enfants dont certaines zones du cerveau étaient plus développées qu’habituellement et dont le QI était déficitaire.

Des études supplémentaires seront toutefois nécessaires pour confirmer cette dernière donnée et ses effets à long terme sur la vie de l’enfant.

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Grossesse : le stress de la mère peut conduire à une carence en fer chez le bébé

Alors que la carence en fer et le diabète de la mère, le tabagisme durant la grossesse, les naissances prématurées, le faible poids à la naissance et les grossesses multiples sont connus pour être des facteurs influençant la carence de fer chez le poupon, voilà qu’une nouvelle étude israélienne suggère que le stress vécu par la mère durant le premier trimestre de la grossesse peut jouer de vilains tours.

Rappelons que le fer est important dans le développement du système des organes, en particulier pour le cerveau.

C’est en analysant le sang prélevé du cordon ombilical de nouveau-nés que les chercheurs de l’Ashkelon Academic College deviennent les premiers à tenter de trouver une relation de cause à effet entre le stress de la mère et la carence en fer chez le bébé.

Pour le moment, les résultats doivent être considérés comme préliminaires jusqu’à la publication dans une revue scientifique.

L’étude a porté sur un groupe de femmes israéliennes qui, dans leur région, avaient vécu plus de 600 attaques à la roquette durant les quatre premiers mois de leur grossesse.

Le sang des bébés a été comparé à celui d’enfants nés de femmes qui ont vécu dans la région, mais qui sont tombées enceintes quelques mois après les attaques.

Il a été démontré que les 63 bébés nés du groupe « stress » avaient des niveaux de fer significativement inférieurs à ceux des 77 bébés issus de femmes du groupe témoin.

Les chercheurs rappellent aux femmes enceintes de faire attention à leur bien-être psychique et physique durant la grossesse. Ils conseillent aux professionnels de la santé de faire des tests sanguins avant que le bébé ait un an pour détecter et traiter rapidement une carence en fer, et ce, surtout auprès des populations à risque.

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Fumer durant la grossesse peut conduire à l’autisme chez l’enfant

Plusieurs études concernant les troubles neurocomportementaux sont rendues publiques en ce mois de la sensibilisation de l’autisme qui prendra bientôt fin.

Alors que les causes précises de l’autisme font partie d’un éventail large de possibilités et sont encore quasi indéfinissables, des chercheurs du programme américain de surveillance de l’autisme des Centers for Disease Control and Prevention pointent du doigt la consommation de tabac durant la grossesse comme l’un des facteurs.

« Il semble que certains troubles du spectre autistique, plus que d’autres, peuvent être influencés par un facteur tel qu’une mère qui fume pendant la grossesse », lancent les chercheurs dont l’étude est parue dans le journal Environmental Health Perspectives.

Le rapport a porté sur des données sur les effets du tabagisme, des certificats de naissance de milliers d’enfants provenant de 11 États américains et une base de données d’enfants atteints d’autisme. Parmi les 633 989 enfants, nés en 1992, 1994, 1996 et 1998, 3315 ont été identifiés comme ayant un trouble du spectre autistique à l’âge de 8 ans.

Aux États-Unis, malgré les avertissements, plusieurs femmes enceintes fument encore. Dans le cadre de l’étude, 13 % des futures mères étaient fumeuses.

Les chercheurs mentionnent que l’étude ne certifie pas que le tabagisme est un facteur de risque à l’autisme. « Toutefois, s’il y a un lien à faire, la consommation de tabac durant la grossesse peut bel et bien être associée à l’autisme », affirment-ils.

Au cours des derniers jours, des rapports ont également mis en lumière l’âge avancé de la mère et les produits chimiques dans l’environnement en cause avec le développement de l’autisme.

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Surpoids et glycémie : les femmes enceintes courent un risque

Des médecins de l’Université Northwestern Feinberg School of Medicine et du Northwestern Memorial Hospital de Chicago ont déclaré, dans un communiqué de nouvelles universitaires, qu’en plus de courir un risque important, ces femmes sont souvent oubliées par la médecine.

Les experts disent que les cliniciens sont tellement préoccupés par l’obésité ou le diabète gestationnel qu’ils en viennent à oublier ou laisser de côté les femmes enceintes, qui se retrouvent entre deux chaises avec un surpoids et un taux de glycémie légèrement plus haut.

Pourtant, ces dernières, qui sont à un cheveu d’être obèses ou d’être atteintes d’un diabète dangereux, courent des risques plus importants que les autres et doivent avoir un suivi précoce.

Ils expliquent que les femmes enceintes qui ont un surpoids et un taux de glycémie légèrement élevé sont plus susceptibles de rencontrer des problèmes de grossesse que les femmes obèses avec une glycémie normale ou celles ayant un poids santé, mais avec un diabète gestationnel.

L’étude, qui a été réalisée auprès de 23 000 femmes dans neuf pays différents et qui est publiée dans la revue Diabetes Care, confirme que les femmes enceintes qui sont obèses et qui ont un diabète gestationnel, et celles qui ont un surpoids et un taux de sucre légèrement élevé sont plus susceptibles d’avoir de gros bébés.

Cela augmente le risque de blessures durant l’accouchement par voie vaginale, pour la mère et le bébé, et augmente la probabilité d’une césarienne. Aussi, il y a plus de risques que les bébés de ces femmes demeurent gras toute leur vie et souffrent à leur tour de diabète.

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L’obésité chez la femme enceinte donne de gros bébés

« Mis à part les autres facteurs, si vous êtes en surpoids ou obèse durant votre grossesse, vous aurez tendance à mettre au monde un plus gros bébé », a déclaré Zach Ferraro, le coauteur de l’étude réalisée par le CHEO Research Institute et l’Université d’Ottawa.

L’article paru dans le TorontoSun émet même les fortes chances que le bébé obèse devienne à son tour un adulte atteint de surpoids. Un cercle vicieux s’engendrerait alors, car ces futurs adultes donneraient à leur tour d’autres bébés obèses, expliquent les chercheurs.

Pour en arriver à cette conclusion, le mode de vie de 4300 femmes enceintes a été examiné.

Cependant, si une alimentation équilibrée, contrôlée et saine est adoptée durant la grossesse, même si la mère accusait un surpoids avant de concevoir, elle a de fortes chances d’améliorer la situation corporelle de son futur enfant.

Les spécialistes rappellent qu’une femme enceinte peut consommer 200 à 300 calories de plus qu’à l’habitude, et ce, quotidiennement.

L’objectif serait de limiter les apports caloriques durant la grossesse. Les chercheurs maintiennent qu’il y a de l’espoir pour une femme obèse de ne pas donner vie à un gros bébé, si elle fait plus attention à son mode de vie, dont son alimentation, durant la gestation.