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Grossesse : l’exposition à des polluants augmente l’obésité chez l’enfant

Les femmes enceintes vivant dans un milieu où il y a des concentrations plus élevées d’hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) ont deux fois plus de risque d’avoir des enfants obèses à 7 ans que les futures mères faiblement exposées.
 
C’est ce que révèle une récente étude de la Mailman School de l’Université Columbia, qui a observé 702 femmes enceintes non-fumeuses de 18-35 ans et leurs enfants, à New York.
 
Les chercheurs ont fait transporter pendant un certain temps à ces femmes un sac à dos contenant un dispositif analyseur d’air, indique l’American Journal of Epidemiology, qui rappelle que dans les milieux défavorisés, il y a 8 % plus d’enfants obèses (17 % contre 25 %).
 
Même si la mauvaise alimentation et le manque d’activité physique demeurent les deux éléments principaux influençant l’obésité, il est désormais prouvé que les enfants dont les mères ont été exposées durant la période prénatale aux substances polluantes de l’environnement ont 1,79 fois plus de chances d’être obèses à l’âge de 5 ans, et 2,26 fois d’être obèses à l’âge de 7 ans.
 
Ces jeunes peuvent avoir en moyenne 2,4 kg de plus de masse grasse que les enfants de mères moins exposées, en raison de la graisse corporelle et non de la masse osseuse ou musculaire.
 
Cette étude fait suite à des tests en laboratoire sur des souris qui ont permis de conclure que des expositions aux HAP empêchent la lipolyse, qui est la transformation des lipides pour fournir de l’énergie.
 
Une analyse britannique avait également déjà confirmé que l’exposition prénatale aux HAP peut affecter négativement le QI à l’enfance et engendrer de l’anxiété, un manque de concentration et la dépression chez les petits.
 
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Femmes enceintes : le vaccin contre la grippe recommandé

Cette année, les femmes enceintes sont présentes sur la liste des personnes ayant droit à la vaccination contre la grippe saisonnière, rapporte le site Famili.fr.

Les futures mamans peuvent donc se faire vacciner pour protéger leur santé et celle de leur bébé, quel que soit le stade de la gestation. Cette vaccination saisonnière ne comporte aucun risque pour le foetus.

La vaccination pendant la grossesse comporte certains avantages pour le bébé. En effet, la mère transmet des anticorps protecteurs à son petit. Ce dernier est donc protégé contre le virus après l’accouchement.

La France rejoint maintenant un grand nombre de pays industrialisés qui conseillent la vaccination antigrippale aux femmes enceintes.

Il existe encore trop de craintes, non fondées, concernant la vaccination des femmes enceintes. Les futures mamans devraient discuter avec leur médecin afin d’avoir l’heure juste et se faire rassurer. Cette vaccination a de réels effets bénéfiques pour la mère et son enfant à venir.

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Les mères adolescentes sont de moins en moins nombreuses

Selon un rapport de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dévoilé le 10 avril dernier, le taux de fécondité des femmes de plus de 40 ans (10 sur mille) a dépassé celui des 15 à 19 ans (9 sur mille) en 2011. Cette donnée démontre que le taux de grossesses à l’adolescence n’a jamais été aussi bas au Québec.

La province se démarque d’ailleurs favorablement des autres provinces canadiennes, car ailleurs au pays, il y aurait 14 grossesses sur 1000 associées aux jeunes filles.

Aux États-Unis, le nombre de mères adolescentes est au plus bas depuis 70 ans, avec 34,3 naissances pour 1000 jeunes filles âgées de 15 à 19 ans. Il s’agit d’une baisse de 44 % par rapport à 1991.

Une étude du ministère américain de la Santé, avec les chiffres des Nations Unies en 2009, affirme que ces statistiques demeurent encore élevées comparativement aux autres pays industrialisés comme l’Australie (16,5 %) ou la France (10,2 %).

Fait plus troublant chez nos voisins, 4500 bébés nés de mères américaines âgées de 10 à 14 ans auraient été enregistrés en 2010.

Malgré une diminution significative de 9 % du taux de natalité chez les jeunes filles entre 2009 et 2010 aux États-Unis, notamment en raison d’une baisse de fécondité pour toutes les tranches d’âge (sauf les 40-45 ans) et des « nombreux programmes de santé publique » destinés aux adolescents, la grossesse précoce des 15-19 ans reste « un sujet d’inquiétude en raison du taux élevé des risques pour la santé des jeunes mères et de leurs enfants », indique le ministère de la Santé.

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Les garçons abusés sont moins portés à se protéger sexuellement

Une étude de l’Université de la Colombie-Britannique vient d’être publiée en ligne dans le Journal of Adolescent Health. Elle révèle que les garçons qui ont été abusés sexuellement, alors qu’ils étaient petits, sont cinq fois plus susceptibles de provoquer des grossesses chez les filles, pendant leur adolescence. 

Ils auraient également trois fois plus de chances d’avoir des partenaires sexuels multiples et seraient deux fois plus susceptibles d’avoir des relations sexuelles sans protection.
 
Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs ont analysé 10 séries de données canadiennes et américaines recueillies entre 1986 et 2011. On a fait remplir de façon anonyme des questionnaires par plus de 40 000 étudiants de niveau secondaire en Colombie-Britannique et aux États-Unis.
 
Cette enquête, selon les chercheurs, serait probablement la première à explorer l’impact que peut avoir la violence sexuelle sur le comportement des jeunes garçons.
 
Pour les spécialistes, il serait essentiel que la société (organismes, écoles, etc.) en fasse tout autant que pour les filles et songe davantage à venir en aide à ces garçons qui rarement exposent leur souffrance. Ils conseillent également aux adultes et parents entourant ces garçons de les sensibiliser aux conséquences de relations sexuelles non protégées.
 
En moyenne, il semblerait qu’environ 8 % des hommes et 20 % des femmes en Amérique du Nord soient ou aient été victimes d’abus sexuel.
 
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Musique

Coeur de pirate annule six spectacles

Les prestations annulées sont celles de La Sarre, Val-d’Or, Sudbury ainsi que celles de Berlin, Hambourg et Cologne, en Allemagne.

La future maman se donne donc un peu moins de deux mois de congé pour se reposer.

« Nous n’avons d’autres choix que de revoir le calendrier de spectacles de l’artiste et tenter de le remanier pour accommoder les malaises que la grossesse occasionne », a écrit l’agent de Coeur de pirate, Michaël Bardier.

Les spectacles n’ont toujours pas été reportés, mais ils pourraient simplement être annulés. Ceux qui détiennent des billets peuvent se faire rembourser là où ils se les sont procurés.

Rappelons qu’en février dernier, Coeur de pirate, de son vrai nom Béatrice Martin, annonçait l’heureuse nouvelle sur son Twitter. La chanteuse de 22 ans est fiancée à un tatoueur français, Alex Peyrat.

Coeur de pirate espérait poursuivre sa série de spectacles jusqu’en été. « Ceci étant dit, je continue mes concerts jusqu’en juillet, et puis je ne donnerai pas d’interview sur le sujet. Par contre, je risque de parler de mes joies et inconvénients de grossesse. », avait-elle expliqué.

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Potins

Molly Sims n’aime pas la grossesse

En janvier dernier, Molly Sims annonçait qu’elle et son mari, le producteur Scott Stuber, attendaient la venue de la cigogne.

« C’est si dur, et je trouve des marques, mes mollets ont grossi. Je suis constamment huileuse à force de mettre des lotions hydratantes et j’ai des brûlures d’estomac », a-t-elle confié à l’émission qu’elle coanimait mardi (3 avril).

Malgré tout, Molly Sims affirme que Stuber, avec qui elle s’est mariée en septembre dernier, et elle attendent la venue de l’enfant avec impatience. Il s’agit de la première grossesse de Sims, 38 ans. Le couple attend un fils en juin prochain.

« Je sais qu’il [Stuber] aurait été très fier si nous avions eu une fille, mais il adore le sport et il est si heureux », a dit l’ex-mannequin.

Rappelons que l’actrice a, jusqu’à maintenant, une grossesse assez difficile. Elle a souffert d’un empoisonnement alimentaire à la suite d’un dîner chic. Elle aurait ingéré du bar et été malade durant plusieurs heures.

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Le cytomégalovirus, une nouvelle menace pour maman et bébé

Sur le site leral.net, la gynécologue Géraldine Dahan met en garde les futures mères contre ce virus de la famille des virus Herpes qui affecte également le bébé.

Elle explique « Le processus de contamination est assez classique, il se fait notamment par la salive, quand quelqu’un tousse par exemple ».
 
Le gros problème, c’est que tout comme d’autres virus, la moitié de la population en serait porteuse. Les gens ne le savent pas, mais bien souvent, ils sont porteurs « sains » et ne développent pas les symptômes.
 
La bonne nouvelle, c’est que si vous contractez le virus avant la grossesse, votre organisme développe des anticorps qui conduisent à l’immunité.
 
Or, si le cytomégalovirus se développe pendant la grossesse, il est impératif de le détecter le plus tôt possible, puisque dans 30 à 40 % des cas, le fœtus est infecté.
 
Une prise de sang, une amniocentèse ainsi que des échographies seront nécessaires à l’identification du virus.
 
Les conséquences sur le fœtus sont importantes. S’il s’agit d’une infection durant le premier trimestre de la grossesse, la future mère risque une fausse-couche. Si l’enfant survit, il peut développer un handicap mental, des problèmes psychomoteurs et d’autres troubles.
 
Comme il n’existe aucun traitement pour soustraire l’enfant à la contamination, il est essentiel que la future mère soit prise en charge rapidement.
 
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La crise cardiaque chez la femme enceinte

La grossesse et les changements hormonaux qui persistent même 12 semaines après l’accouchement augmentent le risque d’une crise cardiaque chez la femme, révèle une étude de l’University of Southern California à Los Angeles et de l’American College of Cardiology à Chicago.

Il a été démontré que bien que la probabilité d’avoir une crise cardiaque pendant la grossesse est très faible (1 sur 16 000 accouchements), cette statistique demeure encore de 3 à 4 fois plus élevée que chez les femmes non enceintes du même âge.

De plus, il semblerait que les crises cardiaques pendant la grossesse ont tendance à être plus sévères et conduire à plus de complications. Le volume sanguin étant intensifié par les changements hormonaux et autres changements physiologiques, cela augmenterait les risques de crise cardiaque.

Il a été noté également que les crises cardiaques se produisaient pour des raisons différentes chez les futures mères et les femmes de la population générale.

En effet, l’athérosclérose, un rétrécissement des artères, serait la cause la plus fréquente d’une crise cardiaque dans la population générale, alors que la raison la plus commune des femmes enceintes est une condition appelée dissection coronaire, une séparation des couches de la paroi de l’artère qui bloque le flux sanguin. Cette condition est d’ailleurs très rare chez les patientes non enceintes.

Pour arriver à ces données, le cas de 150 femmes enceintes ayant subi une crise cardiaque a été observé depuis 2005. Ces femmes n’étaient guère touchées par des facteurs traditionnels de risques cardiovasculaires tels que le cholestérol, la haute pression artérielle et le diabète.

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La greffe de tissu ovarien pour une maternité retardée

La greffe du tissu ovarien permettrait de retarder la ménopause pour donner la chance aux femmes plus âgées de tomber enceintes et traiter les difficultés à concevoir, ont découvert des chercheurs américains.

Cette transplantation pourrait même éliminer l’existence de la ménopause, car en libérant des ovules, les ovaires produisent l’oestrogène et la progestérone qui régissent le cycle menstruel de la femme, explique Sherman Silber du Centre d’infertilité de Saint-Louis dans le Missouri.

C’est en observant le cas de trois femmes qui ont eu cette greffe que les chercheurs ont pu démontrer qu’elles avaient toutes pu avoir un ou plusieurs bébés à la suite de l’intervention, et selon leurs diverses situations.

Il y aurait même une femme dans l’étude qui aurait été déclarée stérile, à la suite d’un combat contre le cancer et des traitements de chimiothérapie. Toutefois, la transplantation d’un ovaire prélevé avant le début du traitement lui a permis de donner naissance à trois enfants depuis.

Grâce à la congélation d’une partie de leurs ovaires, les femmes ont pu concevoir naturellement, jusqu’à sept ans après la transplantation du tissu congelé. Pour les experts, il s’agit là d’une découverte pour un contrôle bénéfique de la maternité.

Les résultats des observations seront publiés sous peu sur le site d’information professionnelle Reproductive Biomedicine Online.

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Grossesse : les bienfaits du saumon

Il a été démontré que la consommation de saumon deux fois par semaine, à compter de la 20e semaine de grossesse jusqu’à l’accouchement, permet d’augmenter le niveau d’acides gras oméga-3 et d’antioxydants grâce au sélénium et au rétinol contenus dans le poisson.
 
C’est ce qu’une étude de l’Université de Grenade vient de dévoiler par le biais d’un projet de recherche qui a été financé par le VI Programme Cadre de l’Union Européenne intitulé The Salmon in Pregnancy Study (SiPS).

Attention toutefois, la qualité du saumon a été surveillée pour la réalisation de cette étude. Il était d’origine piscicole, provenant exclusivement d’un établissement où les saumons sont nourris avec des huiles et des éléments d’origine végétale, comme des algues ou des zooplanctons, riches en acides gras oméga-3, en vitamines A et E et en antioxydants.

Les effets seraient-ils aussi bénéfiques avec n’importe quel saumon de marché? Aucune information n’a été révélée à ce sujet.

Cependant, l’étude a démontré que le groupe contrôle, composé de femmes consommant peu de poisson et poursuivant leur régime alimentaire habituel, avait connu moins de bienfaits que le groupe consommant du saumon.