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Naître un peu plus tôt est problématique

Il semble que naître un tant soit peu prématurément comporterait son lot de problèmes potentiels. On apprend ainsi dans Archives of Disease in Childhood qu’une naissance avant 32 semaines de grossesse serait liée à une plus grande prévalence de difficultés durant l’enfance.

Les bébés nés à ce stade de la grossesse seraient en fait plus enclins à avoir des problèmes de comportement et affectifs, en comparaison avec des enfants nés à terme.

Il avait déjà été annoncé que les bébés réellement prématurés (avant la 32e semaine de grossesse) avaient plus tendance à vivre avec les problèmes cités. Il n’avait jusqu’ici jamais été démontré que cet impact était possible si l’enfant naissant seulement quelques semaines avant une grossesse à terme.

Plus de 1500 enfants ont été évalués à l’âge de 4 ans, pour en venir à cette nouvelle conclusion. Sept aspects du comportement ont été abordés, dont l’anxiété (ou la dépression), l’agressivité, le trouble de l’attention et les maux psychosomatiques (sans cause physiologique valable).

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Le cancer et la grossesse

On lit dans le Journal of Clinical Oncology que les traitements contre le cancer ne comportent pas de risque génétique pour le bébé à naître. Aucune association n’a pu être faite entre la chimiothérapie ou la radiothérapie avant conception et les anomalies génétiques chez les bébés nés d’une survivante du cancer.

Afin de relever tout risque possible, on a évalué les réponses à des doses de traitement contre le cancer chez 472 femmes l’ayant surmonté lors de l’enfance ou de l’adolescence et les 1037 grossesses reliées.

En se basant sur les dossiers médicaux des participantes, on a analysé les doses de radiation à l’utérus, aux organes génitaux et à la glande pituitaire, ainsi que celles de chimiothérapie.

Un modèle d’estimation a par la suite été employé, créant de possibles corrélations avec des défaillances liées à la grossesse, soit 159 malformations congénitales, 6 anomalies chromosomiques, 7 morts à la naissance et 9 morts néonatales.

Il n’est ressorti aucune corrélation statistiquement significative entre lesdits traitements chez la mère et de possibles problèmes ou décès chez l’enfant.

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Le cancer et la grossesse

On lit dans le Journal of Clinical Oncology que les traitements contre le cancer ne comportent pas de risque génétique pour le bébé à naître. Aucune association n’a pu être faite entre la chimiothérapie ou la radiothérapie avant conception et les anomalies génétiques chez les bébés nés d’une survivante du cancer.

Afin de relever tout risque possible, on a évalué les réponses à des doses de traitement contre le cancer chez 472 femmes l’ayant surmonté lors de l’enfance ou de l’adolescence et les 1037 grossesses reliées.

En se basant sur les dossiers médicaux des participantes, on a analysé les doses de radiation à l’utérus, aux organes génitaux et à la glande pituitaire, ainsi que celles de chimiothérapie.

Un modèle d’estimation a par la suite été employé, créant de possibles corrélations avec des défaillances liées à la grossesse, soit 159 malformations congénitales, 6 anomalies chromosomiques, 7 morts à la naissance et 9 morts néonatales.

Il n’est ressorti aucune corrélation statistiquement significative entre lesdits traitements chez la mère et de possibles problèmes ou décès chez l’enfant.

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Des corticostéroïdes en grossesse

Si la mère a pris des corticostéroïdes durant sa grossesse, un bébé né à la 23e semaine aura de meilleures chances de survie, apprend-on dans le Journal of the American Medical Association.

Précisément, l’enfant sera moins enclin à souffrir d’une déficience neurologique lorsqu’il aura de 18 à 22 mois. Cette baisse des risques de mort et d’une telle lacune n’a toutefois pas pu être remarquée chez des bébés prématurés nés à la 22e semaine de grossesse.

Des chercheurs de l’University of Alabama (Birmingham) sont arrivés à ces résultats après avoir suivi plus de 10 000 bébés nés entre la 22e et la 25e semaine de grossesse. Les poupons de cette cohorte avaient eu un poids de naissance se situant entre 401 et 1000 grammes (0,88 à 2,2 livres).

Par la suite, les conséquences possibles sur le développement neurologique ont été évaluées auprès des 4924 poupons qui ont survécu, lorsqu’ils ont eu de 18 à 22 mois.

Les mères qui faisaient partie de cette recherche avaient reçu des corticostéroïdes dans une proportion de 74,1 %.

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Le stress de grossesse rend-il malade?

On lit sur Medscape les résultats d’une étude ayant porté sur le stress durant la grossesse. On a voulu comprendre s’il pouvait augmenter les risques de développement d’une maladie chez l’enfant à naître.

Plus de 60 000 mères ont participé à cette étude. Toutes les naissances avaient mené à un enfant vivant. Le stress maternel durant la grossesse était évalué selon deux aspects, soit le stress commun et le stress émotionnel.

Les chercheurs ont par la suite tenté d’établir des corrélations avec des maladies étant apparues chez les enfants. Celles-ci étaient regroupées en 16 catégories. L’âge moyen, pour faire l’évaluation finale, a été calculé à 6,2 ans (de 3,6 à 8,9 ans).

Il s’est avéré que le stress commun, soit celui relié aux événements de la vie, était fortement relié à l’augmentation des risques de maladies infantiles qui prenaient source durant la période périnatale.

Par exemple, les risques étaient plus élevés quant aux malformations, aux troubles mentaux, aux maladies oculaires, auditives, respiratoires et digestives.

Quant au stress émotionnel, il a été associé à un risque accru d’une maladie périnatale, mais aussi à une baisse des risques d’une maladie du système endocrinien, des yeux et de la circulation.

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Grossesse : les sortes de café à éviter

La santé du bébé pourrait être compromise si une femme boit certaines sortes de café durant sa grossesse. Des chercheurs de la Glasgow University émettent une mise en garde sur les chaînes de café, nous apprend Mail Online.

C’est que le café que l’on retrouve dans ces endroits serait trop fort. Après avoir analysé 20 échantillons de café expresso, on a remarqué des variations majeures entre les différentes teneurs en caféine. Le café le plus fort l’était six fois plus que le plus faible.
 
Par exemple, l’un de ces cafés expressos contenait 50 % plus de caféine que la limite jugée sécuritaire pour une femme enceinte pour une journée complète. On recommande de ne pas dépasser la limite de 200 mg de caféine par jour durant la grossesse.
 
Cette limite correspond à 4 cafés contenant chacun 50 mg de caféine. Dans la présente étude, seul le café Starbucks respectait cette limite. Quatre cafés expressos ciblés en contenaient donc 200 mg, et le plus fort en avait 300 mg.
 
Les dangers potentiels d’une trop grande consommation de café durant la grossesse sont nombreux. Entre autres, on croit que cela pourrait être relié à des malformations, des naissances prématurées et des fausses couches.
 
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Une pilule pour tomber enceinte

On lit dans Reproductive Biomedicine qu’une multivitamine détiendrait le secret pour tomber enceinte. Les vitamines contenues dans ce supplément alimentaire stimuleraient la fertilité.

Entre autres, on croit que les vitamines A, C et E, ainsi que le zinc et le sélénium – qui sont tous très souvent manquants dans notre alimentation – joueraient un grand rôle dans la fertilité.
 
Chez des femmes qui subissaient une fécondation in vitro, 60 % de celles qui prenaient des suppléments alimentaires avaient réussi à tomber enceintes. Elles n’ont pas connu de fausse couche non plus durant leurs trois premiers mois de grossesse. Celles qui n’en prenaient pas ont vu seulement 25 % d’entre elles entamer une grossesse.
 
Pour les besoins de la présente étude, 56 femmes âgées de 18 à 40 qui tentaient de tomber enceintes depuis au moins un an ont pris ou non des multivitamines. La moitié d’entre elles devaient en prendre chaque jour, alors que l’autre prenait de l’acide folique (qui était aussi compris dans la multivitamine) sur une base quotidienne.
 
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Les médicaments et la respiration

Les enfants d’âge préscolaire seraient plus à risque de souffrir d’une respiration sifflante si leur mère a pris de l’acétaminophène durant la grossesse ou s’ils ont reçu des antibiotiques peu après leur naissance.

Des chercheurs viennent de mettre ces données en comparaison avec la supposition que manger du poisson avant l’âge de neuf mois diminuait le risque de ce problème respiratoire.
 
Au total, ils ont évalué des données concernant 44 96 enfants suédois nés en 2003. Elles comprenaient des éléments portant sur l’état de santé des jeunes sujets à différents âges (à 6 et 12 mois, puis à 4 ans et demi), sur la grossesse et sur l’allaitement, entre autres.
 
Il s’est avéré que les enfants avec un historique familial de maladie atopique étaient 70 % plus enclins à avoir une respiration sifflante. Ce risque se trouvait doublé si des antibiotiques avaient été pris par l’enfant peu après sa naissance.
 
D’autre part, manger du poisson aurait diminué les risques de respiration sifflante chez les sujets de 40 %.
 
Les résultats complets de cette analyse comparative viennent de paraître dans la nouvelle édition d’Acta Peadiatrica.
 
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On peut accoucher en maison de naissance

Dernièrement, on parlait d’études qui remettaient en question l’accouchement à la maison et dans une maison de naissance. On stipulait que le bébé était ainsi exposé à de plus grands dangers.

Or, une nouvelle recherche publiée dans le British Medical Journal, menée par une équipe de l’Oxford University, soutient que la maison de naissance ne comporte pas de dangers pour le bébé ou la mère.

Pour une grossesse à faible risque, il n’y a aucun problème à accoucher dans une maison de naissance, voire à domicile. Les chercheurs n’ont pu relever de plus forts taux de mortalité périnatale ou néonatale dans un cas comme dans l’autre.

Ils se sont basés sur un échantillon de près de 65 000 grossesses pour en arriver à cette constatation. Les naissances avaient eu lieu à l’hôpital, en maison de naissance ou à domicile.

Malgré tout, chez les femmes qui avaient un enfant pour la première fois, le taux de mortalité périnatale ou néonatale s’est encore une fois avéré plus élevé chez celles qui avaient vécu leur accouchement à la maison.

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Plus d’enfants, meilleure santé du coeur

Plus une mère a d’enfants, mieux elle serait protégée de certains problèmes de santé. Selon des chercheurs l’University of California, les hormones de grossesse auraient un impact notable sur le bon état des vaisseaux sanguins.

De plus, comme nous pouvons le lire dans Fertility and Sterility, plus une femme a d’enfants, plus elle aura une bonne santé cardiaque. Précisément, si elle a connu plus de quatre grossesses, ses risques de décès d’une maladie cardiaque se trouvent largement diminués.

Il faut aussi mentionner que plus elle aura d’enfants, plus une femme pourra bénéficier d’un soutien à mesure qu’elle vieillira.

On ne pourrait encore expliquer ce phénomène, mais on a pu remarquer une véritable relation entre la fertilité et la santé du cœur des femmes. Une exposition prolongée à des taux élevés d’œstrogènes serait bénéfique.

D’autre part, on savait déjà que les femmes qui n’arrivent pas à tomber enceintes se trouvent aussi plus à risque de souffrir d’une maladie cardiaque, entre autres à cause de kystes aux ovaires.