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L’alcool pendant la grossesse serait bénéfique pour l’enfant

Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.

Les spécialistes australiens ont fourni les renseignements à la suite de l’étude de cas de 2 300 enfants âgés de 2 à 14 ans dont la mère buvait modérément pendant la grossesse (2 à 6 consommations par semaine). Il semble que ces enfants étaient plus équilibrés émotionnellement que ceux nés d’une mère qui s’était abstenue de tout alcool pendant la grossesse.
 
La seconde étude a été menée auprès de 11 500 enfants nés de mères qui consommaient légèrement pendant leur grossesse, soit de 1 à 2 consommations par semaine. Ces enfants ont obtenu des scores plus élevés aux tests cognitifs soumis.
 
La publication de ces données offense plusieurs corps médicaux. « On dirait plutôt une étude psychologique, et non une étude médicale », rapporte Edward Holt, obstétricien à Abilene. Un pédiatre du même institut, Justin Smith, se range du même côté, comme plusieurs autres collègues.
 
« Il n’y a aucune étude définitive et concluante à propos de la consommation d’alcool chez les femmes enceintes. Celle-ci ne fait pas exception », affirme Smith. « Le mot d’ordre demeurera le même, c’est-à-dire de conseiller l’abstinence de consommation, plutôt que de risquer la santé de la patiente et de l’enfant », poursuit le pédiatre.
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Les déchets toxiques de Love Canal : conséquences sur la grossesse

Une nouvelle étude démontre l’incidence des émanations de déchets toxiques de Love Canal à Niagara Falls. Il y a près de 30 ans, les résidents étaient évacués d’urgence en raison du danger d’exposition à des produits chimiques hautement polluants.

Des chercheurs se sont penchés sur les conséquences encourues pour les grossesses des femmes ayant été exposées à l’époque. Environmentalhealthnews.org mentionne que l’étude a été publiée récemment dans le journal Environment Research.
 
Les données étudiées comprenaient les naissances prématurées, un poids sous la normale à la naissance (moins de 5,5 lb) ainsi que des malformations congénitales. Ce sont des chercheurs du Département de la santé de l’Université de l’État de New York qui ont mené cette étude auprès de 980 femmes et 1 799 naissances.
 
Ainsi, les femmes enceintes qui vivaient à Love Canal avant l’évacuation et celles qui demeuraient dans un autre secteur de New York ont obtenu des résultats probants lors des naissances. Celles exposées ont eu des enfants prématurés dans une proportion de 40 % plus élevée, un taux diminué de garçons et un risque augmenté de 50 % relativement aux malformations génétiques chez les garçons.
 
Depuis 2002, le site de Love Canal a été déclaré sécuritaire et des quartiers résidentiels y sont à nouveau construits. Néanmoins, un nombre impressionnant de villes aux États-Unis sont encore entourées de déchets toxiques.
 
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Peut-être n’êtes-vous pas à l’abri d’une grossesse inopinée

Si vous utilisez un contraceptif, quel qu’il soit, c’est pour éviter une surprise qui se pointerait au mauvais moment de votre vie. Il est donc capital de connaître les limites des méthodes contraceptives employées, afin d’avoir du plaisir sans être préoccupé.
 
Par exemple, la pilule contraceptive est reconnue pour son efficacité, mais selon la marque prescrite, les délais de protection en cas d’oubli varient. Selon e-sante.fr, il se peut que pour une marque spécifique, après quelques heures d’oubli, vous soyez déjà à risque d’une grossesse.
 
La pilule du lendemain, de plus en plus utilisée, ne garantit pas non plus la retombée à zéro du risque de grossesse. Elle est efficace au maximum 3 à 5 jours après la relation sexuelle à risque, selon la marque, et les résultats demeurent à 80 % de réussite uniquement. C’est pourquoi il faut en tout temps passer un test de grossesse à la suite de la prise d’une pilule du lendemain.
 
De même, utiliser un lubrifiant inadéquat avec les préservatifs les rendra poreux et donc moins efficaces.
 
Pour celles qui refusent cette méthode ou toute autre et qui préfèrent la voie arrière pour éviter la grossesse, détrompez-vous, le sperme qui coule se fraie un chemin jusqu’à l’entrée vaginale et quelques spermatozoïdes plus athlétiques peuvent facilement entraîner une grossesse.
 
Quant au coït interrompu, qui est encore utilisé de nos jours malgré son inefficacité, dans 30 % des cas, c’est la cigogne qui se pointe 9 mois plus tard.
 
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Les relations sexuelles sont sécuritaires pendant la grossesse

On croit à tort qu’en ayant des relations sexuelles pendant la grossesse, on peut blesser le bébé, entraîner une fausse couche ou des complications de tous genres. News.abidjan.net fait la lumière sur ces fausses croyances.

Les informations proviennent de spécialistes qui sont formels à ce propos. Les fausses couches du premier trimestre sont habituellement dues à un rejet naturel, à la suite d’une anomalie chromosomique du fœtus. Il n’y a donc pas lieu d’éviter les rapprochements avec sa tendre moitié.
 
Néanmoins, à l’apparition de symptômes anormaux dans le 2e trimestre, tels que saignements, écoulement vaginal ou brûlures, il faut consulter son médecin sans attendre. Ceux-ci, par contre, ne sont pas nécessairement une conséquence des rapports sexuels.
 
Quant au fœtus, il est bien protégé par le liquide amniotique à l’intérieur de l’utérus. Cet enveloppement amortit les coups. D’autre part, l’homme ne peut atteindre la tête du bébé, contrairement à ce que l’on véhicule.
En ce qui a trait à la provocation de l’accouchement par l’intermédiaire de relations sexuelles, il s’agit sans doute de la seule croyance fondée. Ce phénomène se produit uniquement vers les dernières semaines de grossesse et est dû à la prostaglandine contenue dans le sperme. Ainsi, si vous tardez à accoucher, n’hésitez surtout pas quelques derniers rapprochements avant la venue de bébé.
 
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Une intervention chirurgicale à risque après la grossesse

On apprend dans le L.A. Times que la Food and Drug Administration (FDA) a mis à jour un rapport qui fait la lumière sur les risques sérieux encourus par les femmes ayant recours à l’implant chirurgical de mailles visant à raffermir les muscles vaginaux relâchés.

Cette intervention a surtout lieu chez les femmes ayant eu une ou plusieurs grossesses et pour lesquelles ce relâchement musculaire, au niveau des tissus vaginaux, entraîne des conséquences telles que l’incontinence ou l’affaissement d’organes pelviens (vessie, utérus, rectum).
 
Les complications, bien que rares, ont des conséquences graves. Les manufacturiers de l’industrie estiment que 100 000 femmes ont été traitées pour cette affection en 2008, dont 75 % par implantation vaginale. Or, plus d’un millier de manufacturiers ont rapporté des complications entre 2005 et 2008, sans pour autant réviser leurs produits.
 
Depuis, les statistiques n’ont fait que s’aggraver, ajoutant l’érosion des tissus périphériques et la contraction de l’implant, menant au rétrécissement du vagin. La FDA a été grandement critiquée par les instances gouvernementales de la santé, accusée de compromettre volontairement la sécurité des patientes avec des produits dangereux.
La FDA affirme cependant « qu’il n’est pas nécessaire de retirer ces produits pour l’instant. Il s’agit, pour les médecins, d’effectuer un choix plus judicieux du produit utilisé ».
 
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De nouvelles statistiques alarmantes pour les futures mamans fumeuses

Le Daily Mail rapporte les récents résultats d’une étude menée à partir de 172 documents de recherche publiés dans les 50 dernières années.
 
Une fois de plus, les scientifiques se sont penchés sur les effets néfastes du tabac sur les nouveau-nés. Les documents analysés comprenaient un total de 174 000 cas de malformations de toutes sortes, qui ont été comparés, puis compilés selon différents facteurs.

Le rapport suggère que la femme enceinte qui fume augmente significativement les risques (26 %) de malformations congénitales graves, comprenant la déformation ou l’atrophie des membres. Notamment, la publication soulève que l’utilisation du tabac pendant la grossesse augmente de 28 % le risque d’une naissance avec un pied bot ou une fente labiale.

D’autre part, l’étude affirme que les nouveau-nés sont plus vulnérables de 50 % à l’affection de la laparoschisis, aussi appelée gastroschisis, consistant en une malformation de la paroi abdominale. La fente ainsi créée laisse saillir les intestins sans aucune protection.

Les chercheurs déplorent que malgré la quantité d’avertissements, appuyés par les résultats d’une multitude de recherches, de nombreuses femmes continuent à fumer pendant leur grossesse. Au Royaume-Uni, c’est 17 % des femmes enceintes qui fument et aux États-Unis, 45 % des jeunes en bas de 20 ans consomment des produits du tabac.

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Des facteurs périnataux et prénataux responsables de l’autisme

Medpagetoday.com rapporte les résultats d’une longue étude sur l’étiologie de l’autisme chez l’enfant. Bien que la recherche en soi ait essuyé un échec quant à l’identification du candidat type à l’autisme, 16 facteurs sur les 60 potentiellement responsables sont clairement ressortis lors des résultats.

Les 60 éléments néonataux et prénataux jugés probables ont été cumulés à la suite de la méta-analyse de plusieurs ouvrages de recherche effectués sur l’autisme. De ceux qui sont ressortis, aucun ne peut individuellement être considéré comme un facteur déterminant.

Hannah Gardener, spécialiste ayant participé à l’étude, déclare : « Bien que les évidences soient insuffisantes, la corrélation lors de la combinaison de certains de ces facteurs apporte des faits probants quant à l’augmentation du risque du développement de l’autisme ».

Parmi les 16 causes possibles retenues, on note la présentation anormale du fœtus, des complications du cordon ombilical, la naissance multiple, la détresse du fœtus, un traumatisme ou une blessure lors de la naissance et l’hémorragie de la mère, pour ne nommer que ceux-là.

Si ces éléments ne constituent pas une preuve suffisante individuellement, les spécialistes ont relevé des corrélations déterminantes : lors d’une césarienne, le fœtus se présente anormalement, subit une détresse et cela peut être dû à une naissance multiple. D’autre part, les malformations congénitales, un poids sous la moyenne, la présentation anormale et un faible résultat à l’APGAR sont aussi interreliés.

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L’hypersensibilité olfactive, problématique pour certaines femmes enceintes

Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.

En effet, l’hypersensibilité olfactive peut même se développer pendant la période d’ovulation du cycle menstruel. Ce sont les oestrogènes qui sont les grands responsables de ce changement. Ainsi, pendant le premier trimestre de grossesse, comme ils sont présents en grande quantité, la sensibilité olfactive peut aggraver les nausées matinales.
 
La seule façon de réduire les effets consiste à éviter les aliments ou autres odeurs désagréables, en ouvrant les fenêtres le plus souvent possible pour faire circuler l’air. Les chercheurs affirment qu’il s’agit d’un phénomène de protection, qui permettrait à la femme enceinte de détecter les produits chimiques ou néfastes pour le fœtus.

À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.

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L’hypersensibilité olfactive, problématique pour certaines femmes enceintes

Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.

En effet, l’hypersensibilité olfactive peut même se développer pendant la période d’ovulation du cycle menstruel. Ce sont les oestrogènes qui sont les grands responsables de ce changement. Ainsi, pendant le premier trimestre de grossesse, comme ils sont présents en grande quantité, la sensibilité olfactive peut aggraver les nausées matinales.
 
La seule façon de réduire les effets consiste à éviter les aliments ou autres odeurs désagréables, en ouvrant les fenêtres le plus souvent possible pour faire circuler l’air. Les chercheurs affirment qu’il s’agit d’un phénomène de protection, qui permettrait à la femme enceinte de détecter les produits chimiques ou néfastes pour le fœtus.

À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.

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L’importance de cesser de fumer avant le 3e mois de grossesse

Les impacts de la cigarette sur le fœtus sont multiples. La femme enceinte a tout intérêt à cesser le tabagisme, au plus tard après 8 semaines de grossesse. De cette façon, elle évitera d’influencer directement le poids de l’enfant à la naissance.

Une étude récemment menée à l’Université de Southampton rapporte que les femmes qui arrêtent de fumer dans les 2 premiers mois de grossesse se garantissent une meilleure chance d’accoucher d’un bébé de même poids qu’une non-fumeuse.

Le professeur de gynécologie obstétrique Nick Macklon, responsable et porte-parole de l’étude, affirme qu’il s’agit d’un message d’espoir pour les futures mères qui ont de la difficulté à cesser le tabagisme. Il demeure prudent quant au positivisme de cette recherche, puisque poursuivre la cigarette après 8 semaines affecte fortement le poids du bébé.

D’autre part, une étude effectuée au Danemark en 2010, menée par une équipe de gynécologues dirigée par le docteur LS Mamsen, relate que fumer pendant le premier trimestre de la grossesse influence la fertilité de l’enfant à venir.

Il s’agit donc de résultats à double tranchant. Il n’en demeure pas moins que la femme qui souhaite procréer devrait suivre un programme pour arrêter de fumer avant même de tomber enceinte, en se rappelant qu’elle le fait pour elle-même, mais surtout pour son enfant.