Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.
Étiquette : grossesse
Une nouvelle étude démontre l’incidence des émanations de déchets toxiques de Love Canal à Niagara Falls. Il y a près de 30 ans, les résidents étaient évacués d’urgence en raison du danger d’exposition à des produits chimiques hautement polluants.
On croit à tort qu’en ayant des relations sexuelles pendant la grossesse, on peut blesser le bébé, entraîner une fausse couche ou des complications de tous genres. News.abidjan.net fait la lumière sur ces fausses croyances.
On apprend dans le L.A. Times que la Food and Drug Administration (FDA) a mis à jour un rapport qui fait la lumière sur les risques sérieux encourus par les femmes ayant recours à l’implant chirurgical de mailles visant à raffermir les muscles vaginaux relâchés.
Le rapport suggère que la femme enceinte qui fume augmente significativement les risques (26 %) de malformations congénitales graves, comprenant la déformation ou l’atrophie des membres. Notamment, la publication soulève que l’utilisation du tabac pendant la grossesse augmente de 28 % le risque d’une naissance avec un pied bot ou une fente labiale.
D’autre part, l’étude affirme que les nouveau-nés sont plus vulnérables de 50 % à l’affection de la laparoschisis, aussi appelée gastroschisis, consistant en une malformation de la paroi abdominale. La fente ainsi créée laisse saillir les intestins sans aucune protection.
Les chercheurs déplorent que malgré la quantité d’avertissements, appuyés par les résultats d’une multitude de recherches, de nombreuses femmes continuent à fumer pendant leur grossesse. Au Royaume-Uni, c’est 17 % des femmes enceintes qui fument et aux États-Unis, 45 % des jeunes en bas de 20 ans consomment des produits du tabac.
Medpagetoday.com rapporte les résultats d’une longue étude sur l’étiologie de l’autisme chez l’enfant. Bien que la recherche en soi ait essuyé un échec quant à l’identification du candidat type à l’autisme, 16 facteurs sur les 60 potentiellement responsables sont clairement ressortis lors des résultats.
Les 60 éléments néonataux et prénataux jugés probables ont été cumulés à la suite de la méta-analyse de plusieurs ouvrages de recherche effectués sur l’autisme. De ceux qui sont ressortis, aucun ne peut individuellement être considéré comme un facteur déterminant.
Hannah Gardener, spécialiste ayant participé à l’étude, déclare : « Bien que les évidences soient insuffisantes, la corrélation lors de la combinaison de certains de ces facteurs apporte des faits probants quant à l’augmentation du risque du développement de l’autisme ».
Parmi les 16 causes possibles retenues, on note la présentation anormale du fœtus, des complications du cordon ombilical, la naissance multiple, la détresse du fœtus, un traumatisme ou une blessure lors de la naissance et l’hémorragie de la mère, pour ne nommer que ceux-là.
Si ces éléments ne constituent pas une preuve suffisante individuellement, les spécialistes ont relevé des corrélations déterminantes : lors d’une césarienne, le fœtus se présente anormalement, subit une détresse et cela peut être dû à une naissance multiple. D’autre part, les malformations congénitales, un poids sous la moyenne, la présentation anormale et un faible résultat à l’APGAR sont aussi interreliés.
Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.
À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.
Medicmagic rapporte les faits de l’étude conduite par le Monell Chemical Senses Center à Philadelphie. C’est en 2002, selon Howstuffworks, que l’étude a été menée. Cette condition particulière, où la femme enceinte ressent un malaise à cause d’odeurs qui lui sont habituellement agréables, serait simplement due à l’adaptation hormonale du début de grossesse.
À la base, le café, les produits laitiers et les mets épicés sont les odeurs à éviter. D’autre part, la future maman aura tout intérêt à se procurer des bougies ou autres produits dégageant des odeurs qu’elle apprécie, comme la menthe ou les agrumes. Les effets s’estompent habituellement au deuxième trimestre de la grossesse.
Les impacts de la cigarette sur le fœtus sont multiples. La femme enceinte a tout intérêt à cesser le tabagisme, au plus tard après 8 semaines de grossesse. De cette façon, elle évitera d’influencer directement le poids de l’enfant à la naissance.
Une étude récemment menée à l’Université de Southampton rapporte que les femmes qui arrêtent de fumer dans les 2 premiers mois de grossesse se garantissent une meilleure chance d’accoucher d’un bébé de même poids qu’une non-fumeuse.
Le professeur de gynécologie obstétrique Nick Macklon, responsable et porte-parole de l’étude, affirme qu’il s’agit d’un message d’espoir pour les futures mères qui ont de la difficulté à cesser le tabagisme. Il demeure prudent quant au positivisme de cette recherche, puisque poursuivre la cigarette après 8 semaines affecte fortement le poids du bébé.
D’autre part, une étude effectuée au Danemark en 2010, menée par une équipe de gynécologues dirigée par le docteur LS Mamsen, relate que fumer pendant le premier trimestre de la grossesse influence la fertilité de l’enfant à venir.
Il s’agit donc de résultats à double tranchant. Il n’en demeure pas moins que la femme qui souhaite procréer devrait suivre un programme pour arrêter de fumer avant même de tomber enceinte, en se rappelant qu’elle le fait pour elle-même, mais surtout pour son enfant.