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L’âge joue un rôle dans les traitements de fertilité

Si elle suit un traitement de fertilité avant ses 38 ans, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme.

En fait, en passant d’avant 37 ans à entre 38 et 40 ans, les taux d’avortement spontané, de fausse couche et de perte du fœtus durant le 1er trimestre basculent abruptement. Ils passent respectivement de 8,5 %, 6,8 % et 16,9 % à 13,8 %, 16,6 % et 33,8 %.

Mentionnons que ces chiffres correspondent à un traitement de fertilité particulier, celui-ci consistant en l’extraction d’au moins 11 ovules des ovaires des femmes lors d’une stimulation de cycle ovarien.

Basés sur des données recueillies de 1992 à 2009, ces résultats obtenus par le Centre de médecine reproductive UZ Bruxelles proviennent de 23 354 cycles de stimulation.

Les chercheurs ont présenté leurs découvertes dernièrement lors du congrès annuel de l’European Society of Human Reproduction and Embyology, rapporte Medical News Today.

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Une fausse couche retarde-t-elle le délai de conception?

Malgré les croyances populaires, on ne doit pas nécessairement attendre avant d’essayer de retomber enceinte quand on a vécu une ou plusieurs fausses couches. De la même façon, le délai de conception n’en sera pas plus long pour autant, selon BMJ.

C’est ce que vient de démontrer une équipe du Centre de médecine de la reproduction d’Amsterdam. Les 251 participantes de l’étude avaient toutes eu un minimum de 2 fausses couches.

De 2004 à 2009, la majeure partie d’entre elles sont retombées enceintes, soit 213. Cent trente-neuf ont mené leur enfant à terme. On a remarqué que le temps moyen pour revivre une grossesse avait été de 21 semaines.

Quant à la capacité d’avoir une grossesse complète, on n’a pu l’associer à l’âge de la femme ni à son indice de masse corporelle ou ses antécédents liés à la maternité.

Une explication des fausses couches à répétition serait toutefois le facteur V de Leiden, une mutation génétique qui favorise la formation de caillots sanguins.

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L’allaitement ne protège pas de tout

Une étude de l’Université de Florence parue dans Neurology atteste que l’allaitement ne peut être considéré comme une protection des rechutes de sclérose en plaques.

De plus, les femmes atteintes qui doivent continuer à prendre des médicaments ne pourront pas allaiter.

Les chercheurs ajoutent qu’on ne devrait pas encourager les femmes souffrant de sclérose en plaques à allaiter si elles présentent de hauts risques de rechute ou si elles sont gravement atteintes.

Sur les 298 femmes enceintes ayant participé à cette étude (302 grossesses ont été évaluées au total), 34,4 % d’entre elles ont allaité pendant au moins 2 mois. L’année suivant l’accouchement, 37 % de toutes les participantes ont vécu une rechute et 6,6 % en ont eu deux ou plus.

Bien qu’ici, l’allaitement n’ait pas empiré les choses pour ces femmes, il ne les a pas protégées d’une nouvelle crise de sclérose en plaques.

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Avis contraires sur l’alimentation de maman

De façon générale, en regard aux dernières découvertes, on s’entend pour dire qu’une pauvre alimentation durant la grossesse augmente les risques pour le bébé de naître avec un faible poids de naissance. Des dangers pour sa santé future ont aussi été reconnus, dont des problèmes cardiaques.

Or, une toute nouvelle recherche, menée par la London School of Hygiene and Tropical Medicine, avance que la prise de suppléments alimentaires durant la grossesse n’offre pas une telle protection, une fois que l’enfant a atteint l’adolescence.

Ayant porté sur 1 300 enfants de 11 à 17 ans de la Gambie, en Afrique, l’étude consistait à évaluer certains des premiers risques de diabète et de maladies cardiaques. Pour la moitié d’entre eux, la mère avait pris des suppléments alimentaires équivalant à 1000 calories par jour, et ce, à partir de la 20e semaine de grossesse.

On n’a pu prouver une différence entre ce groupe et le deuxième, qui jouait ici le rôle de témoin, quant à leur indice de masse corporelle, leur pression sanguine, leur taux de cholestérol ou leur taux d’insuline.

De plus, la prise de calcium durant la grossesse n’a pas non plus eu d’impact sur la pression sanguine des enfants, une fois qu’ils ont eu de 5 à 10 ans.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Autre répercussion de la dépression maternelle

On s’inquiète des répercussions possibles sur la santé de l’enfant si sa mère vit une dépression durant sa grossesse. Un nouveau risque en découlant vient d’être annoncé : la prépondérance des problèmes respiratoires.

Une dépression maternelle et des états comme l’anxiété et le stress augmenteraient les risques d’asthme chez l’enfant. Selon des résultats parus dans Annals of Allergy, Asthma & Immunology, ce lien serait très fort.

En effet, dans le cadre de cette recherche, 70 % des femmes ayant vécu d’importants symptômes dépressifs durant leur grossesse avaient aussi remarqué que leur enfant, une fois l’âge de 5 ans atteint, avait une respiration difficile ou râlante.

Par cette corrélation, on soutient aussi l’idée selon laquelle les risques d’asthme sont très élevés durant la période prénatale.

Cette étude a porté sur 279 femmes (et conséquemment leurs enfants) et s’est étendue sur quelques années, soit avant, pendant et après leur grossesse.

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Les antidépresseurs durant la grossesse sont toujours à l’étude

Les antidépresseurs sont de plus en plus présents parmi les prescriptions médicales. Plusieurs recherches portent donc sur les possibles effets de tels médicaments durant la grossesse.

Par exemple, puisque le nombre de personnes sous antidépresseurs a augmenté et que les cas d’autisme sont eux aussi en hausse, on s’est questionné quant à l’influence de l’un sur l’autre.

Or, il semble que ce ne soit pas une piste si importante. Selon les résultats d’une récente étude parue dans Archives of General Psychiatry, les risques de développement de l’autisme à la suite d’une exposition prénatale à certains antidépresseurs sont très faibles.

Les médicaments dont on fait ici mention sont des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine. Les risques, bien qu’ils soient minces, ont été les plus importants si les médicaments étaient pris durant le premier trimestre de grossesse.

Au total, 298 enfants atteints du syndrome de l’autisme et leurs mères ont participé à la recherche. Le groupe de comparaison était quant à lui composé de 1 507 enfants non atteints et des mères.

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Jumeaux autistes : est-ce génétique?

La plus vaste étude réalisée sur l’autisme chez les jumeaux vient de paraître dans Archives of General Psychiatry. La California Autism Twins Study souligne que les gènes ne peuvent être l’unique raison de l’apparition d’un tel syndrome chez de vrais jumeaux ou des jumeaux fraternels.

Les raisons en seraient tant les conditions de la grossesse et de l’accouchement. Parmi les facteurs, on note entre autres les naissances multiples elles-mêmes, le faible poids de naissance, les infections survenues durant la grossesse et l’âge des parents.

Toutefois, on n’a pu cibler à quel moment exactement un facteur quelconque devenait le plus influent dans le développement de ce syndrome.

On établit ainsi que les raisons génétiques valent pour 38 % dans l’apparition de l’autisme chez les jumeaux, contre 58 % pour les facteurs environnants du début de vie. Les causes partagées sont aussi valables pour les filles que les garçons.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi 192 paires de jumeaux. Dans chacun de ces couples de jumeaux, au moins un enfant était autiste.

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Un bon sommeil est primordial pour la future maman

On apprend sur Santé Log que l’apnée du sommeil durant la grossesse serait en lien avec certains risques graves, tant pour maman que pour bébé.

Rappelons que l’apnée du sommeil se caractérise par des arrêts ou des diminutions de la respiration pendant que l’on dort.

Une étude de l’Université Northwestern (Chicago) aurait en effet démontré que les femmes enceintes qui en souffrent seraient plus enclines à souffrir de diabète de grossesse ou d’hypertension gravidique.

Elles courraient aussi plus de risques de mettre au monde un bébé prématuré. La prématurité, dans le cadre de cette étude, concernait les accouchements survenant à partir de la 34e semaine de grossesse.

Il existerait finalement un lien entre l’apnée du sommeil, les problèmes de grossesse cités et l’obésité, mais il est encore difficile de démontrer dans quelle mesure ils seraient de cause à effet.

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Prévoyez-vous une grossesse?

Une nouvelle étude confirme que l’alimentation d’avant la grossesse peut avoir des répercussions sur la santé du futur enfant, selon Medical News Today.

On soutient maintenant que si une femme a une alimentation pauvre avant même d’être enceinte, sa progéniture sera plus exposée à des risques d’obésité et de diabète de type 2. Le bébé aurait aussi plus de risques d’avoir un faible poids de naissance.

Présentée il y a quelques jours à l’Experimental Biology Annual Conference à Glasgow, cette expérimentation de l’Université d’Aarhus a été effectuée sur des souris. Des études précédentes basées sur le même modèle animal en étaient arrivées à des résultats similaires.

Les souris qui avaient suivi un régime alimentaire pauvre en protéines durant 10 semaines avant la conception avaient donné naissance à des petits d’un plus faible poids de naissance et présentant une forte sensibilité à l’insuline.

Il s’agirait là de réels effets de l’alimentation avant la grossesse, car ces mêmes souris avaient eu une alimentation normale durant leur gestation.

Les humains répondent de la même façon que les souris quant à l’alimentation durant la grossesse. Un lien peut donc être établi avec celle qui est suivie avant la conception.

On suggère donc aux femmes d’être conscientes de ce qu’elles mangent lorsqu’elles sont enceintes, mais aussi dès qu’elles souhaitent le devenir.

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Futures mamans, pourquoi avez-vous des haut-le-coeur?

Notre corps nous réserve de nombreuses surprises durant une grossesse. Parmi celles-ci, on retient la sensibilité à certaines odeurs. Selon ce que nous explique Howstuffworks, les haut-le-cœur dus aux œufs cuits ou au fromage auraient des fondements hormonaux.

La raison de cette extrême sensibilité serait en effet la hausse de l’estrogène chez la femme enceinte. Différentes études sur le sujet convergent vers cette conclusion.

Aussi, la plus grande sensibilité aux odeurs serait la cause des nausées matinales, de même que les choix alimentaires plus difficiles de la future maman. Le corps humain serait ainsi fait, peut-être en vue de protéger le fœtus de certaines substances chimiques et de toxines.

Cela survient en début de grossesse, au moment où le corps de la femme s’adapte à ses nouvelles transformations. N’oublions pas, malgré tout, que ce ne sont pas toutes les femmes qui vivent cette sensibilité.

Pour celles chez qui cela survient, on a déjà tenté de découvrir quels étaient les aliments coupables. Ceux qui reviendraient le plus souvent sont les produits laitiers, le café, la viande et certains plats épicés.