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Pink célèbre l’arrivée de sa petite fille, Willow Sage

La chanteuse pop rock Pink, de son vrai nom Alecia Beth Moore, et son mari, Carey Hart, ont accueilli leur premier enfant, une fillette nommée Willow Sage, le 2 juin dernier.

La mère se porte à merveille et le couple s’est empressé de partager son bonheur sur Twitter.
 
Quelques heures avant l’accouchement, les médias ont croqué des images sur le vif, montrant Pink aidée de son mari pour l’arrivée à l’hôpital. La chanteuse de 31 ans avait beaucoup de difficulté à marcher, mais Hart la soutenait de ses bras pour l’aider.
 
Le magazine Us rapporte que le couple est comblé du quotidien partagé avec cette merveilleuse petite fille. Hart, qui est très fier d’être nouveau papa, a communiqué sa joie sur Twitter : « Elle est aussi belle que sa mère ».
 
Pink, quant à elle, a écrit avec un certain humour : « Avant, ma vie se résumait au whisky, aux larmes et aux cigarettes. Maintenant, la routine est constituée de morve, de pleurs et de couches. Je m’ennuie quand même un peu du whisky. »

Mis à part l’humour, Pink se sent complètement transformée par la maternité.

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Mesure médicale informative pour les nouveau-nés

En raison de répercussions observées chez des bébés, Santé Canada réclame aux fabricants de médicaments antipsychotiques de bonifier l’étiquetage de leurs produits.

Rappelons que des mouvements musculaires anormaux ainsi que des signes de sevrage, entre autres, ont été remarqués chez des nouveau-nés dont la mère avait dû prendre ce type de médicaments durant la grossesse.
 
Lesdits symptômes ont été observés durant quelques heures ou jours suivant la naissance, selon l’enfant. Leur gravité varie aussi selon les cas. Parmi ceux décrits, on retrouve des changements du tonus musculaire, des tremblements, de la somnolence et de la difficulté à manger, voire à respirer.

Cette mesure préventive devrait aussi sous-entendre qu’une femme qui est ou qui souhaite devenir enceinte, mais qui prend des antipsychotiques, doit absolument en aviser son médecin. Toutefois, un arrêt des médicaments ne doit pas être envisagé, car cela pourrait avoir des répercussions très graves.

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D’autres effets néfastes des pesticides

Selon une nouvelle étude, cette fois menée par le Centre de recherche en santé publique de Valence en Espagne, même une faible exposition aux pesticides durant la grossesse aurait des impacts sur le bébé.

C’est qu’une telle exposition affecterait le développement fœtal, en particulier la croissance. Selon des analyses, pour chaque dixième d’augmentation du pesticide DDT relevé dans le cordon ombilical, le poids de naissance était réduit de 63 grammes.
 
D’autre part, pour chaque dixième d’augmentation d’une substance reliée, le DDE, la réduction du poids de naissance était de 107 grammes.
 
Ces résultats ont été corroborés par des renseignements recueillis auprès de la mère à deux reprises, soit entre la 10e et la 13e semaine de grossesse, puis entre la 28e et la 32e semaine.

Cette recherche a porté sur 494 mères et leur enfant. Les résultats complets sont parus récemment dans Pediatrics.

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Les allergies sont prévisibles avant la naissance

Selon une étude de l’Université de Marbourg, en Allemagne, la santé de la future mère peut avoir un impact sur les allergies du bébé à naître.

Ainsi, comme nous l’apprenons sur Medical News Today, plusieurs facteurs de risque peuvent aussi s’appliquer durant la grossesse, non pas seulement durant la vie entamée d’un enfant.
 
Par exemple, si l’on reprend l’idée déjà connue de l’immunité contre l’asthme en fonction d’un milieu de vie rural, il semble que cette protection soit déjà en route avant la naissance.
 
De la même façon, un environnement stérile pourrait augmenter les risques d’allergies, tant lors de la grossesse que durant l’enfance. L’exposition de la future mère aux microbes jouerait donc un rôle important quant à la réponse immune.
 
On suggère aussi que les probiotiques peuvent prévenir ces problèmes de santé dès le moment de la grossesse.
 
L’augmentation des cas des dernières années porte finalement le problème sur les facteurs environnementaux. En effet, l’environnement demeure, tant durant la grossesse qu’après la naissance de l’enfant, un facteur prédominant de l’apparition des allergies.

On a remarqué certaines répercussions de l’exposition au pollen et à des allergènes provenant de la pollution quant à l’augmentation du nombre d’enfants allergiques.

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Le stress atteint le foetus

Il a souvent été relevé qu’une femme enceinte pouvait transmettre son stress à son bébé, et ce, de plusieurs manières. On apprend maintenant dans Biological Psychology que des marques hormonales ont été remarquées chez certains poupons.

Une recherche de l’Université de Bâle en Suisse a en effet porté sur ce phénomène. En analysant le taux de DHEA, une hormone de stress bien connue, dans les ongles des bébés, on a pu conclure que ceux qui accusaient les plus hauts taux étaient aussi ceux dont la mère avait vécu beaucoup de stress durant la grossesse.
 
La présence de DHEA (ou déhydroépiandrostérone) dans les ongles des poupons prouve que les effets du stress sont transmissibles de la mère au fœtus. Grâce à cette nouvelle découverte, on pourra ensuite prévenir ces effets chez les bébés.

Il ne s’agit donc pas d’un mythe lorsqu’on encourage les femmes enceintes à s’entourer de calme et éviter les situations stressantes pour elles.

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Impact d’un vaccin sur la santé du nouveau-né

On a constaté, après les vagues de vaccination des sept dernières années, que les bébés de moins de six mois avaient eu moins tendance à être hospitalisés en raison de la grippe.

Des chercheurs de l’Université de Wake Forest, en Caroline du Nord, concluent donc que le vaccin contre l’influenza pourrait effectivement protéger le futur enfant lorsqu’une femme enceinte le reçoit.
 
Comme nous le constatons dans cette recherche parue dans l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, les nouveau-nés pourraient être protégés contre la grippe avant leur naissance par voie de transport depuis leur mère.
 
Rappelons que les bébés de six mois et moins ne peuvent pas recevoir ce vaccin. De plus, ils accusent le plus haut taux d’hospitalisation chez les enfants.

Les chercheurs recommandent donc fortement le vaccin contre l’influenza durant la grossesse. Des recherches précédentes avaient déjà abordé cette possibilité de transfert de vaccin entre la mère et son bébé.

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La santé de maman durant la grossesse a des effets direct sur le bébé

Cette semaine seront présentés les résultats d’une autre étude qui atteste un risque du surpoids durant la grossesse pour le nouveau-né. On peut déjà en lire les grandes lignes sur Medical News Today.

Il semble, comme il a déjà été démontré lors de recherches précédentes, qu’une femme aura tendance à mettre au monde un bébé ayant un fort taux de gras si elle accuse un surpoids.
 
Selon cette nouvelle étude américaine, cela est indépendant du poids qu’avait la mère avant sa grossesse. On savait déjà que les enfants dont la maman avait pris trop de poids durant la grossesse avaient plus tendance à présenter un surpoids pour leur âge.
 
De plus, nous savons qu’un taux élevé en gras à la naissance est un facteur possible d’obésité infantile. Il y aurait donc raison de s’inquiéter quant aux répercussions d’un surpoids durant la grossesse.

Mentionnons finalement que les chercheurs de la présente recherche ont suivi 56 mamans. Aucune d’entre elles ne souffrait de diabète de grossesse. On a donc pu cibler le poids des femmes comme facteur sans tenir compte du diabète, ce que les études précédentes n’avaient pu faire.

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Nouvelles preuves contre les médicaments antiépileptiques

Il semble hors de tout doute que les médicaments servant à empêcher les crises d’épilepsie comportent des risques s’ils sont pris durant la grossesse.

Une étude ayant porté sur 33 pays, publiée dans The Lancet, a confirmé les risques de défectuosités de naissance lorsque ces médicaments sont pris en début de grossesse. Elle est aussi la première à offrir une analyse multifactorielle des risques associés.
 
On a donc pu établir aussi un lien entre la prévalence desdites défectuosités et la dose prise par la mère. Ces découvertes seront bien entendu cruciales dans le traitement des femmes épileptiques qui veulent vivre une grossesse.
 
En plus de l’augmentation des risques en raison du dosage des médicaments, les chercheurs de la présente étude ont pu prendre en considération d’autres facteurs d’influence, comme l’historique familial et la gravité de l’épilepsie.

Ainsi, les risques de défectuosités de naissance étaient quatre fois plus élevés lorsqu’ils étaient jumelés à des malformations congénitales majeures déjà connues dans la famille.

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Effets du stress sur le foetus

On sait déjà que l’hormone du stress durant la grossesse peut programmer des effets néfastes sur la santé de l’enfant, même sur celle de la prochaine génération.

Une étude de l’Université d’Édimbourg, en Écosse, nous apprend maintenant que ces effets dépendent de la façon dont ils sont transmis.
 
Ainsi, comme nous le lisons sur Medical News Today, les chercheurs se sont basés sur des modèles animaliers pour reproduire ces effets de l’hormone du stress.
 
Par exemple, les taux de glucocorticoïdes peuvent augmenter durant la grossesse si une femme vit du stress. La conséquence peut en être, tant chez l’humain que chez les animaux, un plus faible poids de naissance et une plus forte pression sanguine plus tard dans la vie.

Donc, en observant ces effets de génération en génération, les chercheurs ont remarqué une transmission d’une génération à l’autre de ces effets. Il semble aussi que l’effet était plus marqué chez la progéniture des rats mâles qui avaient été exposés à une hausse des glucocorticoïdes.

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Dangers de l’alimentation pour le bébé

Des chercheurs de l’Oregon Health & Science University viennent d’expliquer en quoi une alimentation riche en gras durant la grossesse peut comporter un danger pour le bébé.

Comme il est présenté dans Endocrinology, cette étude permet de mieux expliquer pourquoi un tel régime alimentaire augmente le risque de mort intra-utérine.
 
On constate donc que le régime alimentaire américain moyen, riche en gras, fait baisser le flux sanguin de la mère vers le placenta, ce qui peut entraîner des risques pour le fœtus. Avec une alimentation très calorique, l’enfant à naître est donc plus exposé à la mort intra-utérine.
 
De plus, les chercheurs ont remarqué que ce danger n’était pas propre aux femmes obèses; il touche autant celles qui sont minces.

Mentionnons finalement que cette expérimentation a été faite sur des macaques japonais, et ce, en raison de leurs similitudes avec l’être humain.