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Le goût de la malbouffe dès le stade foetal?

Selon une récente étude australienne, un bébé aurait une préférence, voire une dépendance, à la malbouffe si sa mère en a beaucoup consommé lorsqu’elle était enceinte.

En effet, il semble qu’une alimentation riche en gras et en sucre durant la grossesse viendrait à influencer certains modèles présents dans le cerveau du fœtus, ce qui altèrerait ses goûts alimentaires.

Ainsi, une fois né, l’enfant serait plus porté à préférer la malbouffe à d’autres types de nourriture.

Bien que cette étude parue dans FASEB Journal ait porté sur des rats, on peut déjà voir une explication possible quant à la capacité pour certaines personnes de résister à des tentations sucrées ou riches en gras, alors que d’autres n’y arrivent tout simplement pas.

De plus, on peut y voir un nouveau facteur de l’augmentation du taux d’obésité dans nos sociétés. Ces résultats nous indiquent surtout une nouvelle façon d’aider les futures mamans et celles qui allaitent à faire les bons choix alimentaires, afin d’offrir les meilleures bases à leur enfant.

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La prééclampsie serait génétique

Des chercheurs américains auraient établi un lien entre les gènes et la prééclampsie.

Mentionnons que ce type d’hypertension artérielle apparaît durant la grossesse et que cela peut entraîner une fausse couche, voire la mort de la femme.
 
On ne connaît que très peu ce problème de santé. Or, selon les résultats de l’étude en question parue dans PLoS One, un gène en serait la cause.
 
Pour arriver à ce constat, les chercheurs ont analysé l’ADN de 60 femmes enceintes qui avaient été hospitalisées en raison d’une prééclampsie sévère. Chez 40 d’entre elles, les mêmes erreurs génétiques ont été remarquées.

Bien que des recherches subséquentes soient nécessaires, on peut déjà prévoir une nouvelle façon de prédire la prééclampsie, pour ainsi mieux suivre les femmes qui seraient fortement exposées à ce risque.

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L’exposition foetale à l’alcool, pire chez les garçons?

Une récente étude de l’École de médecine de l’Université Northwestern a fait la lumière sur les raisons pour lesquelles les fœtus ne réagissent pas tous également à une exposition à l’alcool.

Si certains bébés ne connaissent aucun problème de santé lorsque leur mère consomme de l’alcool durant sa grossesse, d’autres souffriront pourtant du syndrome d’alcoolisme fœtal. Il semble d’ailleurs que les garçons y seraient plus vulnérables.
 
Selon les résultats de l’étude parue dans le FASEB Journal, la raison se cacherait dans les gènes. Une variation génétique donnée par la mère à son fils rendrait celui-ci plus fragile quant à la consommation d’alcool, même si elle est minime. La variation ébranlerait l’équilibre des hormones thyroïdes dans le cerveau.
 
On pourrait donc envisager, à la lumière de ces résultats, de créer un supplément alimentaire pouvant réguler lesdites hormones et ainsi corriger les problèmes liés à l’exposition à l’alcool durant la grossesse.

Rappelons finalement que le syndrome d’alcoolisme fœtal se décrit principalement par des problèmes de comportement, d’apprentissage et des troubles physiques.

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Grossesse : la plus petite carence en fer est dommageable

On peut lire dans PLoS One qu’un manque de fer en début de grossesse, voire avant la conception, entraîne des risques pour le bébé, même s’il ne s’agit pas d’une anémie sévère.

Ces nouveaux résultats sur la carence en fer de la future maman ont été présentés par une équipe du Centre médical de l’Université de Rochester.
 
Un manque de fer aurait donc des effets à long terme sur le développement du cerveau du bébé. Sa croissance serait plus lente et les anormalités cérébrales seraient plus fréquentes, comme l’apprentissage du langage et les problèmes de comportement, par exemple.
 
Cette conclusion est plutôt inquiétante, car la carence en fer est très courante. En effet, on estime que de 35 à 58 % des femmes en bonne santé présentent un certain manque de fer. De plus, parmi celles qui sont en âge de procréer, une sur cinq souffre d’anémie.

Il semble que le moment de la carence ait un impact plus important que sa gravité. Ces résultats devraient donc mener à de nouvelles façons de préparer la grossesse et d’encadrer les femmes enceintes.

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Manger des steaks pour calmer bébé?

Nous supposons depuis un bon moment déjà que l’alimentation durant la grossesse a une influence sur le comportement, voire la personnalité, de bébé.

Une récente étude parue dans Early Human Development nous apprend que consommer beaucoup de viande rouge et de poisson durant les trois premiers mois de grossesse réduirait les pleurs du bébé.
 
Une femme enceinte aurait ainsi tout intérêt à se régaler d’un bon steak, et ce, assez régulièrement. C’est que la vitamine B12 qu’il contient calmerait son poupon.
 
Pour tirer ces conclusions, on a suivi pas moins de 3 000 futures mamans, à qui l’on a fait des prises de sang durant les 3 premiers mois de grossesse. Puis, après la naissance du bébé, la mère devait calculer le nombre de fois que son bébé pleurait ainsi que la durée des pleurs.

Il semble ainsi que les femmes qui avaient les taux les plus faibles de vitamine B12 lors de leur premier trimestre de grossesse ont eu 8 fois plus souvent un bébé qui pleurait plus longtemps, comparativement à celles qui avaient eu de plus hauts taux de la vitamine.

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Maman fumeuse, bébé fumeur

Une recherche finlandaise a démontré que le tabagisme de la femme enceinte peut grandement faire en sorte que l’enfant soit dépendant de la nicotine plus tard. De plus, ce dernier aurait tendance à commencer à fumer à un âge plus jeune.

Selon Medical News Today, cette étude faite sur des souris a prouvé que l’exposition prénatale à la nicotine rendait vulnérable à celle-ci.

Ainsi, l’enfant, une fois au stade de l’adolescence, aura plus tendance à subir les effets de la dépendance à cette substance.

Puisque l’on comprend mieux de quelle façon la nicotine bloque certains récepteurs, on peut considérer qu’il s’agit là d’une explication possible de l’usage courant de la nicotine.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à de possibles médicaments pour traiter la dépendance aux drogues et à la cigarette.

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Soulager les pieds enflés durant la grossesse

Durant la grossesse, et plus celle-ci progresse, les pieds se mettent souvent à enfler. Pour diminuer cet effet, l’Association médicale américaine de podiatrie propose quelques conseils. Ils sont parus dernièrement sur Healthday.

Par exemple, une femme enceinte devrait éviter de s’asseoir à l’indienne, soit de replier ses pieds et ses chevilles sous elle. Elle devrait au contraire, lorsqu’elle est assise, bouger et étirer ses pieds le plus possible.

De plus, elle devrait mettre le moins de poids possible sur ses pieds. Dès que possible, il lui faut relever les pieds afin de les soulager.

Finalement, il faut penser à s’acheter de nouvelles chaussures, en plus de vêtement de maternité. En effet, la grossesse n’entraîne pas qu’un surplus de poids sur le corps, elle ajoute aussi du poids sur les pieds. Il faut donc préférer les souliers confortables.

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Lien entre la pilule et les problèmes respiratoires

On apprend sur Medical News Today qu’une récente étude norvégienne suggère que la prise de la pilule contraceptive ne serait finalement pas liée à l’apparition de problèmes respiratoires chez l’enfant. 

En 1997, une étude précédente avait noté une augmentation des cas d’asthme chez les enfants nés de mères ayant pris la pilule. D’autres études subséquentes étaient aussi allées dans cette même voie.
 
Toutefois, dans le cadre de la présente recherche de Norvège, on a pu statuer que l’usage d’un contraceptif oral combiné, soit de progestérone et d’œstrogène, avant que la femme tombe enceinte n’entraînait pas de risques de râle ou d’asthme chez l’enfant à naître.
 
C’est que la progestérone est primordiale lors de la grossesse. Chez le fœtus, elle est un élément clé du développement de la respiration ainsi que des capacités immunes.

Ces nouveaux résultats devraient donc rassurer la grande majorité des femmes qui prennent la pilule durant des années avant de tomber enceintes.

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Un bébé dans la quarantaine fait vivre plus longtemps

Selon une récente étude publiée dans The Lancet, devenir maman ou avoir un autre enfant dans la quarantaine ferait vivre plus vieille. On a tiré cette conclusion après avoir remarqué que les femmes centenaires étaient plus nombreuses à avoir vécu une grossesse durant leur quarantaine que les autres.

Une femme qui tombe enceinte après 40 ans verrait donc ses chances de devenir centenaire être multipliées par 3.
 
Les chercheurs ont remarqué ce fait surprenant en comparant deux groupes, soit un comprenant des femmes centenaires et un autre incluant des femmes décédées à l’âge de 73 ans.
 
Parmi celles ayant vécu plus de 100 ans, 19 % avaient donné naissance à un enfant une fois la quarantaine atteinte. Quant aux autres, elles avaient accouché après 40 ans dans seulement 6 % des cas.

Donner la vie à un âge plus avancé pourrait donc constituer un secret de longévité.

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Les antioxydants préviennent l’obésité dès la grossesse

Des chercheurs de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie auraient découvert une façon de prévenir l’obésité dès la grossesse.

En effet, une expérience ayant porté sur des animaux (des rats) a démontré que les antioxydants agissaient comme de réels facteurs préventifs de l’obésité avant la naissance de l’enfant.

Nous savons déjà qu’un régime alimentaire riche en gras et en hydrates de carbone prédispose le bébé à l’obésité et au diabète.
 
Or, faire ingérer des antioxydants aux rats durant la grossesse a entièrement prévenu le développement de l’obésité et l’intolérance au glucose.
 
On suggère donc qu’un régime alimentaire gras durant la grossesse augmente le stress oxydant (un excès de radicaux libres incontrôlables), ce qui mènerait aux problèmes de santé mentionnés.
 
Précisément, cette trop grande quantité de molécules réduirait la capacité du corps à réguler les dommages biologiques des cellules.

Ainsi, selon cette étude parue dans Diabetes, on pourrait prédisposer l’enfant à naître avec un certain état de santé en modifiant l’alimentation de la future maman.