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Nouvelle étude sur les aliments biologiques

Peu de données sont encore disponibles quant à l’alimentation bio durant la grossesse. Ainsi, l’Institut de la santé publique de la Norvège s’est demandé si les aliments biologiques étaient prisés par les femmes enceintes et lesquels étaient les plus populaires.

Ayant porté sur 65 000 femmes, cette étude était sous forme de questionnaire. Les participantes répondaient à un premier vers leur 15e semaine de grossesse, puis répondaient à un second entre la 17e et la 22e semaine.

Dans le cadre de cette étude, les aliments avaient été divisés en catégories : lait et produits laitiers, pain et céréales, œufs, légumes, fruits et viandes.

Selon les résultats obtenus, 10 % des femmes consomment régulièrement des aliments bios durant leur grossesse. Les œufs et les légumes semblent être les plus populaires.

On a même pu établir un certain profil des femmes qui en consommaient, en comparaison à celles qui n’en mangeaient pas du tout.

Ainsi, une femme enceinte qui consomme régulièrement des aliments biologiques est habituellement âgée de 25 à 40 ans. Elle cumule en moyenne plus de 4 et moins de 12 ans d’éducation. Très souvent, elle est étudiante ou partage la vie d’un étudiant. Elle a un poids normal ou un peu plus faible et elle fait de l’exercice au moins trois fois par semaine.

Finalement, plusieurs des femmes ciblées faisaient partie d’une famille à faible revenu. Très peu d’entre elles étaient végétariennes, soit 0,2 %. L’alimentation bio était par ailleurs plus fréquente dans ce sous-groupe.

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Accouchement difficile pour les femmes obèses

Une femme qui était déjà obèse ou en surpoids avant sa grossesse court de plus grands risques lors de son accouchement.

Celui-ci doit plus souvent être provoqué, car le temps de gestation d’une femme dans cet état de santé tend à être trop long. Le recours à une césarienne serait aussi plus fréquent.

Ce sont les conclusions d’une étude de l’Université de Liverpool parue dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology.

Ayant porté sur 30 000 femmes qui ont accouché au cours des 4 dernières années, elle a permis d’établir certaines comparaisons entre les femmes en surpoids et celles d’un poids considéré comme normal.

Il semble donc que 3 femmes obèses sur 10 ont dépassé leur temps de gestation, contre 2 sur 10 pour les autres.

De plus, si le quart des femmes de poids santé ont dû faire provoquer leur accouchement, c’est la réalité de plus du tiers des femmes en surpoids ou souffrant d’obésité.

Parmi celles-ci, 3 sur 10 ont vu leur accouchement se solder par une césarienne, alors que moins de 20 % des femmes en général vivent cette situation à la suite d’un accouchement provoqué.

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Une faible alimentation affecte le cerveau du foetus

Il a été remarqué, chez les femmes ayant moins mangé durant la première moitié de leur grossesse, une baisse de la connexion des cellules, de leur division et d’éléments du développement chez le fœtus.

Ce sont là les résultats d’une récente étude de l’Université du Texas ayant porté sur deux groupes de primates et récemment parue dans Proceedings of the National Academy of Sciences.

L’un desdits groupes a reçu une alimentation 30 % plus petite que le second durant la période citée.

On savait déjà que la famine pouvait atteindre le cerveau du fœtus, mais c’est la première fois que l’on démontre qu’une variation de l’alimentation peut en atténuer le développement.

Les effets en sont par la suite nombreux, comme un plus faible quotient intellectuel et un plus haut risque de troubles du comportement, par exemple.

Dans la présente étude, on a aussi remarqué une augmentation de l’incidence de l’autisme, de la schizophrénie, de la dépression et d’autres problèmes mentaux.

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Nouveau test génétique durant la grossesse

Une analyse de l’ADN abaisserait de 98 % le besoin de tests plus invasifs pour savoir si le bébé à venir sera atteint d’une défaillance génétique, selon le British Medical Journal.

En ce moment, les manières les plus courantes de le savoir sont l’amniocentèse et la choriocentèse qui permettent de détecter le syndrome de Down ou trisomie 21.

Or, des chercheurs de l’Université de Hong Kong ont fait passer ce nouveau test sanguin à 753 femmes enceintes. Parmi elles, 86 portaient un enfant atteint du syndrome de Down.

Ce test génétique est donc hautement efficace et ne comporte pas de risques de fausses couches comme les autres méthodes habituellement employées.

Rappelons que le syndrome de Down touche 1 enfant sur 1 800. Nous savons aujourd’hui que les futures mères plus avancées en âge sont plus à risque d’accoucher d’un enfant atteint de cette malformation génétique.

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Lien entre l’autisme et les grossesses rapprochées

Un enfant courrait plus de risques de vivre avec l’autisme s’il naît peu de temps après son frère ou sa sœur.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université Columbia à New York, apprenons-nous dans Pediatrics.

Parmi les 600 000 paires d’enfants de même famille de l’étude en question, ceux qui étaient nés à moins de 36 mois d’intervalle avaient un taux de risque de la maladie beaucoup plus élevé.

De plus, on a relevé un taux d’enfants autismes de 37,9 % chez ceux nés à moins de 12 mois d’intervalle.

Parmi les familles où les grossesses avaient eu lieu entre 3 à 11 mois d’intervalle, on a relevé des taux d’apparition de la maladie autour de 2 %. Si elles se passaient entre 24 et 35 mois, le taux se retrouvait autour de 1 %.

On ne saurait pour l’instant expliquer ce lien. Les chercheurs de l’étude soulignent finalement que tous les facteurs pouvant influer n’ont peut-être pas été pris en compte.

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L’implant contraceptif : nombreuses grossesses

Selon Le Figaro, la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) a fait connaître cette semaine des données concernant l’implant contraceptif.

Ce moyen de contraception semble comporter de nombreux aspects négatifs. Premièrement, de 1999 à 2010, près de 600 femmes le portant sont tombées enceintes, et ce, au Royaume-Uni seulement.

Encouragé par l’Organisation mondiale de la santé à l’époque, le gouvernement britannique avait incité les femmes à adopter cette méthode.

Outre les grossesses-surprises que l’implant a engendrées, on a relevé 2 888 cas de réactions indésirables.

L’implant utilisé jusqu’ici, l’Implanon, a donc été changé pour le Nexplanon par son fabricant. L’arrivée de ce nouveau produit est attendue sous peu en Europe et ailleurs dans le monde.

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Un plus gros placenta chez les femmes stressées

Après avoir suivi 75 000 femmes enceintes, des chercheurs ont démontré que le stress augmentait la taille du placenta.

L’étude en question, dirigée par la Faculté de psychologie de Bâle, en Suisse, a été publiée dernièrement dans le magazine PloS One.

Dans le cadre de celle-ci, on a pu constater que le placenta était plus gros et plus lourd à la naissance de l’enfant chez les femmes vivant le plus grand stress.

Parmi les éléments stressants relevés, on compte ceux reliés au milieu de travail et à la vie familiale.

Il semble que ce développement accru du placenta proviendrait d’un besoin de protection du bébé. Il protégerait le fœtus des effets néfastes du stress.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué que des facteurs comme la peur et la dépression n’ont aucune incidence sur la grosseur du placenta.

On ignore encore si la taille du placenta a une influence sur la santé du bébé.

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Une charte des médicaments durant la grossesse

Il demeure aujourd’hui incertain de prendre un médicament ou un autre durant la grossesse, car on ignore souvent les risques encourus pour le bébé.

Des membres du Children’s Hospital Boston Informatics Program (CHIP) aux États-Unis ont donc élaboré une charte sur le sujet.

Pour ce faire, ces chercheurs ont détaillé 619 médicaments reconnus pour avoir un haut facteur de risque pour le fœtus. On savait aussi quelles protéines et quels gènes ceux-ci pourraient influencer.

Le CHIP a donc pu démontrer que les médicaments influant sur les gènes associés aux malformations congénitales étaient les plus dangereux.

Bien que des recherches subséquentes soient nécessaires à la mise au point de cette charte, on peut déjà en lire les détails dans le Reproductive Toxicology.

Les chercheurs soulignent finalement que les femmes enceintes ne doivent pas omettre de prendre des médicaments qui leur sont nécessaires.

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Le lait de soya contre les fausses couches

On peut lire dans MailOnline qu’une grossesse par fécondation in vitro aurait six fois plus de chances de réussite grâce à un nouveau traitement.

Ce dernier, expérimental, est à base de lait de soya. Il réduirait considérablement les risques de fausses couches chez les femmes qui ont recours à la méthode FIV.

De plus, des femmes qui avaient tenté plusieurs fois de tomber enceintes par cette méthode l’ont finalement été en suivant ledit traitement.

En fait, on a relevé 50 % de réussite chez les femmes traitées, contre 9 % chez les autres. Mentionnons au passage que parmi celles qui n’ont eu recours qu’à la FIV, seulement 1 sur 10 est tombée enceinte.

Habituellement administrée aux patients très malades, cette préparation à base de lait de soya riche en gras aurait donc de nouvelles utilités.

Pouvant aussi réduire les risques d’une fausse couche, ce traitement pourrait venir en aide aux couples qui doivent en vivre plusieurs lorsqu’ils se tournent vers la FIV.

Toutefois, ce traitement coûte très cher (des milliers de dollars) et ne convient pas à toutes les patientes.

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Un embryon à la fois pour la FIV

Une vaste étude portant sur près de 1 400 femmes a été menée par l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni.

Toutes les participantes avaient pris part à l’une des huit expériences de cette recherche. Les résultats détaillés peuvent être lus dans BMJ.

Un seul embryon a été implanté à la moitié des femmes à l’étude, tandis que l’autre groupe a subi une double procédure.

Les chances de mener une grossesse à terme, soit à 37 semaines, étaient plus grandes pour les femmes ayant reçu un seul embryon. En fait, elles seraient de 87 %.

De plus, une implantation simple réduirait le risque d’accoucher d’un bébé de faible poids.

Les chercheurs de l’étude concluent donc que les femmes qui désirent avoir un enfant et qui se tournent vers la FIV devraient être encouragées à ne recevoir qu’un embryon à la fois.

En plus des avantages mentionnés, les problèmes de santé liés aux naissances multiples pourraient aussi être écartés.