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Vitamine D et maladies respiratoires de bébé

On peut lire dans Pediatrics les résultats d’une recherche américaine ayant porté sur une cohorte de 922 enfants néo-zélandais.

Les enfants dont on pouvait analyser le sang de leur cordon ombilical étaient ensuite observés à l’âge de cinq ans.

Les chercheurs ont remarqué un lien entre le faible taux de vitamine D de la femme enceinte et l’apparition de maladies respiratoires ou du râle chez son enfant.

On a évalué à 39 % le taux de risques pour les enfants dont la mère atteignait un taux minimal de vitamine D. Ce taux doublait lorsque la mère se situait encore plus bas.

Toutefois, aucun lien n’a pu être établi entre ce manque de vitamine et un plus haut risque de développement de l’asthme.

Après avoir écarté les facteurs liés au mois de naissance, c’est-à-dire la saison, on a remarqué une incidence des troubles cités chez des bébés de trois mois dont la maman avait un taux déficient de vitamine D.

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Le fer rend l’enfant plus intelligent

Des chercheurs américains ont étudié le cas de 676 enfants d’âge scolaire pour tirer ces conclusions. Leurs résultats sont parus dans le Journal of American Medical Association.

Toutes les mères de ces enfants ont fait partie d’un programme durant leur grossesse, faisant en sorte qu’elles ont ingéré de l’acide folique et du fer sur une base régulière.

Il en est ressorti que le fer et l’acide folique influenceraient positivement l’intelligence des enfants. De plus, ils feraient en sorte que les petits sont mieux organisés et qu’ils ont de meilleures aptitudes motrices.

Faire en sorte que les mères des pays en voie de développement prennent ces compléments durant leur grossesse aurait un grand impact sur l’éducation future de leurs enfants.

Le fer est essentiel au développement du système nerveux central.

Rappelons que selon l’Organisation mondiale de la santé, deux milliards de personnes souffrent d’une déficience en fer, ce qui en fait la carence la plus commune sur la planète.

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Les femmes et la médicalisation de l’accouchement

Dans le cadre des 34es Journées nationales du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), un sondage a été réalisé auprès de 708 femmes.

En général, les femmes préfèrent accoucher à l’hôpital en raison de l’encadrement médical qu’il offre. Toutefois, elles sont de plus en plus nombreuses à remettre en question la médicalisation de l’accouchement.

Il semble aussi que les femmes ayant un tempérament rationnel sont portées à considérer la mise au monde comme un phénomène naturel (47 %). À l’opposé, celles qui sont de nature plus anxieuse la voient plus souvent comme un événement exceptionnel (50 %).

De plus, concernant ces profils remarqués, les initiateurs dudit sondage ont remarqué trois types d’attitude durant les trois premiers mois de grossesse. Il s’agit de l’« hyperconfiance » (en son instinct ou en la médecine), du rejet des contraintes (surtout lors d’une deuxième grossesse) et de l’autocensure.

Finalement, il semble que la sexualité de la femme enceinte fasse encore partie des tabous, car 62 % des participantes de ce sondage n’ont pas abordé cette question.

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Grippe et grossesse : de nouvelles données

La grippe est l’une des causes majeures de l’hospitalisation des enfants et une maladie fréquente chez les femmes enceintes.

Il n’existe encore aucun vaccin destiné aux poupons de six mois et moins. D’autres avenues doivent donc être empruntées.

Une récente étude de l’École de médecine de Yale confirme une fois de plus l’efficacité de la vaccination durant la grossesse. Il semble en effet qu’elle éviterait l’hospitalisation des bébés de 6 mois et moins à 90 %.

Parue dans le Clinical Infectious Diseases, l’étude s’est échelonnée sur trois ans. Les chercheurs ont comparé les causes d’hospitalisation de très jeunes enfants à l’hôpital Yale-New Haven au Connecticut.

Ils ont pu confirmer que ceux qui n’avaient pas contracté l’influenza étaient nés d’une mère ayant reçu ledit vaccin dans une plus grande proportion.

La prévention de la grippe chez les poupons devra donc se faire en grande partie par la vaccination de la future mère et des proches du nouveau-né.

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Le dentifrice peut être dangereux pour le cerveau du foetus

Les futures mamans y repenseront à deux fois avant de se brosser les dents. Du moins, elles devront relire attentivement la liste d’ingrédients de leur tube de dentifrice, selon le Dailymail.

C’est que des chercheurs de l’Université de la Floride ont récemment constaté qu’un élément du dentifrice, le triclosan, comportait des dangers pour le fœtus.

Celui-ci nuirait à l’enzyme libérant l’estrogène jusqu’au ventre de la femme enceinte.

Alors que l’estrogène ouvre les artères donnant du sang très oxygéné au fœtus, celui-ci en serait privé en partie, ce qui provoquerait des retards dans le développement de son cerveau.

Toutefois, les chercheurs mentionnent que bien que cette substance puisse être une des causes majeures, d’autres éléments peuvent aussi entrer en ligne de compte.

Le triclosan est en fait un puissant antibactérien existant depuis une cinquantaine d’années. On le retrouve dans le dentifrice, dans certains savons et même dans des jouets.

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Les répercussions d’une dépression durant la grossesse

Des chercheurs ont remarqué certaines différences physiques et émotives chez les bébés dont la mère a souffert de dépression durant la grossesse.

L’étude en question de l’Université du Michigan, parue dans l’Infant Behaviour and Development, indique que les cascades d’émotions vécues par la mère pourraient influer sur le développement du cerveau de son enfant.

Une fois venu au monde, celui-ci aurait moins de tonus musculaire et un taux plus élevé d’hormones du stress. Il y serait donc plus sensible et y répondrait de manière plus forte. Il pourrait aussi avoir plus de difficulté à gérer ce stress.

Cette étude et d’autres pourront mener à un meilleur encadrement des femmes enceintes souffrant de dépression et à la mise en place de programmes efficaces dans le traitement du post-partum.

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De nouvelles données sur l’alcool durant la grossesse

Même si l’on entend beaucoup parler de l’importance de ne pas consommer d’alcool durant la grossesse, cette habitude fait encore partie des mœurs, apprend-on dans Le Parisien.

Selon une récente étude, pas moins de 17 à 25 % des femmes enceintes continuent de boire de l’alcool malgré leur grossesse.

Ce qui est étonnant, c’est que six pour cent d’entre elles boivent même deux verres ou plus dans une même journée.

Même si les avis sont partagés quant aux répercussions sur le bébé, les spécialistes considèrent ces derniers chiffres comme alarmants.

C’est que certains risques pour l’enfant à venir demeurent associés à l’alcool, par exemple des malformations rénales ou cardiaques.

Le plus grand dangereux est encore le syndrome d’alcoolisme fœtal, qui peut entraîner un retard mental. Mentionnons qu’il touche les bébés dont la mère souffre d’alcoolisme.

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Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.

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Les dommages collatéraux des tests durant la grossesse

Un professeur de sociologie de l’Université de la Californie à Los Angeles s’est penché sur les répercussions à long terme d’une absence de diagnostic clair quant à la santé du bébé à venir.

Stefan Timmermans et son équipe ont donc publié les résultats d’une étude sur les dommages collatéraux des tests prénataux dans l’édition actuelle du Journal of Health and Social Behaviour.

Ils ont suivi, durant 3 ans, 75 familles qui avaient reçu un résultat de test incertain quant à l’incapacité de digérer les gras, les protéines et le sucre de l’enfant à naître.

Parmi elles, 40 sont devenues ce que les chercheurs appellent des « parents de l’attente » : leur enfant n’a jamais eu de symptômes par la suite.

Ils ont répertorié parmi ces derniers de nombreux cas de symptômes liés à un choc post-traumatique. Ainsi, certains parents allaient réveiller l’enfant en pleine nuit, lui imposaient une diète sévère préventive ou empêchaient même quiconque de l’approcher pour éviter toute contamination.

On recommande donc d’accélérer les procédures pour obtenir des résultats de tests supplémentaires, advenant le cas d’une incertitude de diagnostic durant la grossesse.

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Risques du téléphone cellulaire pendant la grossesse

Une femme enceinte qui parle souvent au téléphone cellulaire augmente les risques de troubles de comportement de son enfant, selon une récente étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Sous forme d’un sondage, les habitudes de 29 000 femmes et enfants ont fourni des détails quant à leur mode de vie, leur alimentation et leur milieu.

Ainsi, en étant exposé à ce type d’appareil durant la grossesse, un enfant a 30 % plus de risques d’avoir des problèmes de comportement lorsqu’il aura 7 ans.

Il semble donc que pour un enfant qui utilise un téléphone cellulaire à un jeune âge, les risques de présenter un trouble du comportement s’élèvent à 50 %.

Le même taux revient pour ceux qui étaient exposés avant et après la naissance. Finalement, les enfants qui utilisaient un tel téléphone sans avoir été exposés durant la grossesse couraient un risque de 20 % d’avoir des problèmes de ce genre.

Certains scientifiques demeurent toutefois sceptiques quant aux résultats de cette étude californienne. Selon eux, des facteurs liés au mode de vie pourraient être plus fortement en cause que le téléphone cellulaire.

Malgré tout, l’étude en question nous poussera à redoubler de prudence quant à l’utilisation de tels appareils durant la grossesse et par les enfants.