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Prendre du soleil réduit le risque de sclérose en plaques pour le bébé

Le risque pour un bébé d’être atteint de sclérose en plaques un jour serait diminué de manière significative lorsque sa mère s’expose aux rayons du soleil en début de grossesse.

Cette étude australienne parue dans le British Medical Journal a porté sur 2,5 millions de personnes. Celles-ci ont été évaluées d’après leur lieu et leur mois de naissance.

Les résultats ont été probants et des plus surprenants. En effet, il en est ressorti que les enfants conçus en été présentaient 30 % moins de risques d’avoir la sclérose en plaques que ceux conçus en hiver.

Or, nous savions déjà que cette maladie neurologique est causée par une carence en vitamine D. Comme cette dernière est présente dans l’ensoleillement, il semble logique que l’exposition de la mère au soleil puisse influer sur l’apparition de la sclérose en plaques.

Rappelons toutefois qu’une trop longue exposition au soleil est dangereuse, et ce, pour tout le monde.

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L’aspirine et l’ibuprofène seraient dangereux pour le foetus

Une étude parue dans Le monde.fr pointe du doigt l’aspirine, l’ibuprofène et le paracétamol comme des facteurs de risque durant la grossesse.

En effet, après avoir étudié le cas de 2 300 mères danoises et finlandaises, des chercheurs sont arrivés à une conclusion des plus inquiétantes.

Il semble que les garçons dont la mère avait pris des antalgiques de ce genre durant sa grossesse présentaient plus souvent des malformations congénitales.

L’absence de descente des testicules dans le scrotum, aussi appelée la cryptorchidie, s’était produite dans un plus grand nombre de cas.

Ce phénomène a été observé chez les mères ayant pris plus antalgiques durant leur deuxième trimestre de grossesse.

Pour l’instant, aucun risque encouru par la prise de ces médicaments n’a été relevé chez les filles.

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Un lien inquiétant entre la grossesse et le cancer du sein

Des spécialistes se sont réunis cette semaine à Strasbourg dans le cadre des 32es Journées de la Société française de Sénologie et de Pathologie mammaire (SFSPM).

Selon eux, 0,1 % des femmes sont touchées par le cancer du sein durant une grossesse. Plusieurs raisons pourraient être en cause.

Par exemple, le nombre de grossesses tardives est continuellement en hausse. Même si l’âge de conception du premier enfant a baissé, il demeure que les femmes peuvent être enceintes de plus en plus tard.

Ainsi, cela pourrait être une piste, car nous savons déjà qu’une femme est plus à risque de cancer du sein lorsqu’elle avance en âge.

Bien que pour l’instant, les spécialistes en soient à discuter d’une corrélation, ils proposent certaines solutions. Par exemple, ils suggèrent qu’un centre de référence soit créé pour appuyer les médecins et les futures mamans.

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Un lien entre l’anorexie et les grossesses non désirées

Les femmes atteintes de ce trouble alimentaire seraient en fait plus à risque de connaître une grossesse non désirée, voire un avortement, nous apprend le journal Obstetrics & Gynecology.

Une étude menée en Norvège démystifie les présupposés liés aux anorexiques. Il serait donc faux de croire que si leurs menstruations deviennent irrégulières ou absentes, elles ne peuvent tomber enceintes tout de même.

Cynthia M. Bulik a mené cette étude de l’Université de la Caroline du Nord. Elle est la directrice du programme des troubles alimentaires de cette université.

Ses collègues et elle ont suivi 62 060 Norvégiennes. 62 d’entre elles étaient reconnues comme étant anorexiques.

Une grossesse imprévue a été rapportée par la moitié des femmes souffrant d’anorexie, contre 18,9 % chez les autres.

De plus, 24,2 % des femmes présentant ce trouble alimentaire avaient déjà subi un avortement. Les autres femmes l’avaient vécu selon un taux de 14,6 %.

Madame Bulik rappelle donc que les conséquences physiques liées à l’anorexie ne peuvent en aucun cas devenir un moyen de contraception.

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Des arachides durant la grossesse : prudence

Comme lu dans une étude de chercheurs américains parue dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, un lien entre la consommation d’arachides durant la grossesse et les allergies a été établi.

Ces scientifiques de l’École de médecine Mount Sinai, à New York, ont évalué 503 enfants à travers les États-Unis. Après des analyses sanguines, ils ont remarqué que 140 des participants présentaient une réelle sensibilité aux arachides.

Il semble que les enfants ayant sensiblement une allergie au lait et aux oeufs courent plus de risques d’en développer aussi une aux arachides si la mère en consomme pendant qu’elle est enceinte.

Il est question ici de bébés ayant de 3 à 15 mois. Ce n’est pas la première fois qu’un avis est publié pour les enfants de cet âge.

En effet, en 2000, on avait recommandé aux familles présentant déjà des allergies alimentaires d’éviter les noix durant la grossesse et l’allaitement. Toutefois, en 2008, cet avis avait dû être levé, faute de preuves scientifiques pour l’étayer.

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Antidépresseurs et risques encourus pour le bébé

Les femmes enceintes devraient redoubler de prudence si elles prennent du Prozac ou un médicament similaire.

Des chercheurs marseillais viennent en effet de reconnaître certains effets sur le nouveau-né. Pour ce faire, ils ont mené des recherches sur des souris.

En observant les souriceaux nés après qu’on ait administré du Prozac à la mère, ils ont remarqué que l’un de ses composants influait sur certains des réflexes des petits.

Il semble que la fluoxétine, une substance présente dans ce médicament et aussi dans d’autres types d’antidépresseurs, empêche le nouveau-né de réguler comme il se doit sa respiration.

Plus précisément, elle empêcherait l’adaptation du système nerveux du bébé lorsque celui-ci doit augmenter sa fréquence respiratoire. Les cas cités demandant cette augmentation sont les coliques, la tétée et les pleurs. Le nourrisson doit aussi augmenter cette fréquence quand il se trouve dans une pièce enfumée.

Il semble donc que cette molécule se transmette de la mère à l’enfant par le sang ou par le biais de l’allaitement.

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Les jeunes femmes devront faire congeler leur tissu ovarien

Selon l’avis d’experts, les femmes dans la vingtaine auraient tout intérêt à conserver leurs chances de tomber enceintes plus tard en congelant une partie de leur tissu ovarien, apprenons-nous sur Mail Online.

C’est l’avis du Dr Sherman Silber, l’un des experts en fertilité les plus respectés à l’échelle mondiale, qui soutient que cette procédure encore controversée est des plus efficaces.

Selon lui, elle devrait même être accessible par le biais du réseau de la santé, car elle serait beaucoup plus efficace que la fécondation in vitro.

La réalité d’aujourd’hui fait en sorte que les femmes ont des enfants à un âge plus avancé, car pour une grande majorité d’entre elles, leur carrière doit être établie avant de pouvoir faire le grand saut.

Or, plus les femmes repoussent la grossesse, plus leurs chances de réussite diminuent, la fertilité déclinant avec l’âge.

Cette procédure coûte en ce moment aux alentours de 4 000 dollars. Elle consiste à retirer environ le tiers du tissu d’un ovaire, lequel contient près de 60 000 ovules. On le congèle ensuite jusqu’à ce que la patiente soit prête à fonder une famille. La réimplantation fournit ainsi à la femme la même qualité et quantité d’ovules que lors de sa vingtaine, augmentant ses chances de tomber enceinte.

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Un test de FIV triple les chances de tomber enceinte

On peut en effet apprendre sur Mail Online que des chercheurs américains ont mis au point un test fécondation in vitro (FIV) qui aide les femmes à tomber enceintes. Il porte le nom de Chromosome Aneuploidy Screening.

En plus de tripler les chances de grossesse et d’améliorer les traitements de fertilité des femmes de 30 à 40 ans, il réduirait le risque de mettre au monde un enfant trisomique.

Le risque de perdre le bébé, une fois la grossesse entamée, serait aussi réduit. Les femmes étudiées ont donné naissance à un enfant à 88 % après avoir passé le test.

Celui-ci consiste à vérifier les anomalies chromosomiques des embryons; tous ceux en possédant sont alors retirés. Seuls ceux présentant les meilleurs signes sont réimplantés dans l’utérus.

Habituellement, 24 ovules de la femme sont prélevés afin d’être fécondés par le sperme du père. Le médecin choisit ensuite les ovules fécondés les plus viables.

Cette méthode est trop aléatoire, car elle permet encore de réimplanter des embryons non viables ou présentant des anomalies.

Les chercheurs sont si satisfaits des résultats de ce nouveau test qu’ils prévoient l’utiliser de manière courante chez les femmes en procédure de fécondation in vitro d’ici trois ans.

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L’huile de poisson ne rend pas le bébé plus intelligent

Une nouvelle étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association, a démontré que l’huile de poisson n’aurait aucun effet sur le cerveau du bébé ni sur le post-partum de la maman.

En effet, des chercheurs de l’Université d’Adelaïde, en Australie, n’ont trouvé aucune différence entre des femmes ayant pris des gélules d’huile de poisson et d’autres n’en ayant pas consommé.

Pour ce faire, ils ont suivi 2 400 femmes enceintes qui fréquentaient 5 hôpitaux australiens entre 2005 et 2009. La moitié d’entre elles ont pris des capsules d’huile de poisson durant leurs trois derniers mois de grossesse. On donnait à l’autre moitié du groupe des gélules d’huile végétale.

Il en est ressorti que le taux de dépression post-partum était identique dans les groupes. De plus, aucune différence n’a été remarquée dans le développement cognitif des bébés à 18 mois.

Ces résultats ont donc démenti que l’huile de poisson aurait des effets positifs sur le développement du cerveau, la coordination et le vocabulaire des enfants.

On a longtemps cru, par ailleurs, que les oméga 3 diminuaient le risque de dépression après l’accouchement.

Toutefois, il faut rappeler que si l’huile de poisson et les oméga 3 ne semblent pas avoir d’effets notables sur les mamans et leur bébé, ils n’en sont pas plus nocifs pour eux.

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Les bébés de l’automne et de l’hiver sont plus allergiques

Les bébés qui voient le jour à l’automne et durant l’hiver ont plus de risques de devenir allergiques. Une étude sur le sujet a été publiée dans le Journal of epidemiology and community health.

Des chercheurs de l’Institut des sciences de la santé de l’Université d’Oulu, en Finlande, ont suivi 6 000 enfants. Ces poupons étaient nés entre le 1er avril 2001 et le 31 mars 2006.

Il en est ressorti que les enfants conçus en début d’année avaient plus souvent des allergies. Les chercheurs finlandais ont même pu en cibler quelques-unes.

Ainsi, une maman qui termine son premier trimestre de grossesse en avril ou en mai a trois fois plus de chances que son poupon soit allergique au lait et aux oeufs qu’une autre l’ayant complété en novembre ou décembre.

La raison en serait que l’exposition à certains pollens, comme celui du bouleau ou de l’aulne par exemple, pourrait engendrer le développement d’allergies durant les trois premiers mois de grossesse.

À la fin de cette étude, parmi les bébés observés, 9,5 % de ceux nés en automne ou à l’hiver présentaient une allergie à des aliments. Seulement 5 % des nouveau-nés du printemps et de l’été avaient un tel problème.