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Moins de décès en raison des complications de grossesse et d’accouchement

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait savoir que les décès qui résultent des complications dues à la grossesse ou l’accouchement sont maintenant moins nombreux dans le monde.
 
Dans les vingt dernières années, le taux de mortalité maternelle a diminué du tiers. Par contre, il y a encore environ 1 000 femmes qui meurent chaque jour en raison de ces complications.
 
Dans les pays pauvres, les risques sont 35 fois plus importants. Seulement en 2008, on a enregistré 358 000 décès maternels dans le monde, dont 99 % étaient dans les pays en voie de développement et plus de la moitié d’entre eux en Afrique subsaharienne.
 
Malgré ce recul de 3 %, les objectifs des Nations Unies ne sont pas atteints. On souhaiterait avoir une baisse de 5,5 % d’ici 2015, alors qu’on note plutôt une chute de 2,3 % par année depuis 1990.
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Un test sanguin pour dépister les risques de prééclampsie

Des chercheurs de l’Université de l’Alberta font des progrès pour sauver la vie des femmes enceintes et de leur nouveau-né. Ils sont sur le point de créer un test sanguin qui permettra de savoir quelles femmes sont à risque de développer une prééclampsie.
 
De 5 à 8 % des femmes enceintes reçoivent ce diagnostic qui met en danger leur vie et qui cause bien souvent la mort de leur bébé, selon le site ParentCentral.
 
Cheryl Walker, de la Preeclampsia Foundation, a vécu cette terrible situation qui a causé la mort de son petit Gabriel, trente minutes seulement après l’accouchement.
 
« Lorsque vous pouvez identifier les femmes qui courent le plus de risques, vous pouvez les suivre de près. Même si elles peuvent développer une prééclampsie, vous savez ce que vous devez surveiller et moins de femmes en meurent », dit-elle.
 
Walker rappelle que toutes les cinq minutes, quelque part dans le monde, une femme meurt en raison d’une prééclampsie.
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Planifier sa grossesse est crucial après 35 ans

Une grossesse après 35 ans doit toutefois se planifier correctement pour mettre toutes les chances de son côté. C’est trois mois de préparation avant et neuf mois de grossesse.
 
Une grossesse après 35 ans, comme le font Christina Applegate, Céline Dion et Kelly Preston, c’est donc un an de préparation, disent les médecins.
 
Selon le site Tennessean.com, la majorité des femmes peuvent avoir une grossesse saine après 35 ans et accoucher d’un bébé en santé sans problème, à condition bien entendu de planifier les choses.
 
Avant tout, la future maman doit être en bonne santé pour maximiser les chances de concevoir. Elle doit également avoir un poids dit normal idéalement.
 
Plusieurs médecins recommandent aux femmes qui désirent un enfant à un âge plus avancé d’effectuer une visite chez un obstétricien gynécologue avant de tomber enceintes afin qu’il puisse faire un bilan de santé et établir les facteurs de risques potentiels.
 
À 40 ans, une femme est plus sujette au diabète de grossesse, aux prééclampsies et autres complications. Un suivi rigoureux durant la grossesse doit être fait. En mettant toutes les chances de son côté, la future mère pourra jouir de la maternité.
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Les futurs pères devraient complètement cesser de fumer

Les futurs pères qui fument à l’extérieur de la maison n’offrent aucune protection à leur conjointe enceinte.
 
Le Quotidien du médecin rapporte que les scientifiques ont analysé le taux de nicotine dans les cheveux de 846 femmes enceintes qu’ils ont divisées en trois groupes.
 
Chez les femmes dont le conjoint fumait dans la maison, le taux de nicotine était de 0,58 ng/mg et dans les cas où le conjoint fumait seulement à l’extérieur de la maison, le taux était de 0,51 ng/mg. Ainsi, les femmes enceintes sont exposées au tabagisme passif, même si leur conjoint ne fume pas en leur présence.
 
Pour les femmes ayant des conjoints non-fumeurs, le taux de nicotine dans les cheveux était de 0,33 ng/mg.
 
Il est donc préférable pour les futurs papas de cesser complètement de fumer pour le bien de leur petite famille, mais aussi pour leur propre santé.
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La médecine nucléaire sans danger pour le foetus

La revue PLoS rapporte que, pour la première fois, des scientifiques se sont penchés sur les effets de la médecine nucléaire sur le fœtus. Selon eux, il n’y aurait pas de quoi s’inquiéter.
 
Une femme enceinte sur 160 devra se soumettre à un scanneur ou autre examen en médecine nucléaire afin de diagnostiquer un problème grave comme un caillot aux poumons, une appendicite ou des saignements au cerveau. Jusqu’ici, on connaissait très peu les effets probables sur le futur bébé.
 
Après avoir examiné 1,8 million de dossiers, les scientifiques ontariens ont décelé 5 590 femmes qui ont eu recours à ces examens majeurs. Le taux de cancer chez les bébés de ces femmes n’est pas vraiment plus élevé que la moyenne normale.
 
Chez les femmes qui n’ont pas eu d’examen en médecine nucléaire, on note un taux de cancer de 1,56 pour 10 000 bébés, alors que pour les femmes qui ont eu ce type d’examen, le taux est de 1,13 pour 10 000.
 
Toutefois, il existe encore quelques incertitudes, mais on insiste sur le fait que le risque absolu de cancer chez les enfants dont les mères ont été exposées aux rayons de la médecine nucléaire demeure très faible.
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Fumer durant la grossesse diminue la fertilité des enfants

Récemment, une étude danoise disait que les femmes qui buvaient de l’alcool durant leur grossesse diminuaient la fertilité de leurs petits garçons.
 
Maintenant, une nouvelle étude rapportée par Le Quotidien du médecin, également réalisée par des chercheurs de Copenhague, déclare que le tabagisme maternel affecte également la fertilité des enfants.
 
Les gynécologues ont examiné des embryons issus d’interruptions volontaires de grossesse. Ils ont remarqué que le tabagisme maternel réduisait de 55 % la fertilité des garçons. Les cellules germinales qui sont susceptibles de former les spermatozoïdes et les ovocytes étaient beaucoup moins nombreuses lorsque le bébé était exposé à la cigarette in utero.
 
Les deux sexes confondus, on constate que ces cellules sont réduites de 41 %. « Même si l’étude est limitée au premier trimestre, il y a de fortes présomptions pour que la poursuite de la dépendance tout au long de la grossesse aggrave le phénomène », mentionnent les chercheurs.
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Rien n’est sûr et efficace contre les nausées matinales durant la grossesse

Après avoir analysé des études sur les nausées matinales durant une grossesse et les traitements utilisés, des chercheurs de la Dublin City University ont conclu qu’il n’existait aucun remède sûr et efficace pour soulager les symptômes.
 
Les travaux ont analysé 27 tests effectués sur 4 041 femmes enceintes de 20 semaines. On notait leur niveau de nausées matinales ainsi que les traitements qu’elles utilisaient, comme l’acupuncture, l’absorption de gingembre, des médicaments anti-vomissements et de la vitamine D.
 
« Un certain nombre d’études que nous avons lues montrent des bienfaits, mais en général les résultats sont incohérents et il a été difficile de tirer des conclusions claires sur un seul traitement en particulier. Nous n’avons pas non plus pu obtenir de véritables informations sur le fait de savoir si ces traitements font une vraie différence dans la qualité de vie des femmes. Malgré la richesse des différents traitements offerts, il n’est pas possible d’identifier avec confiance une quelconque intervention sûre et efficace contre la nausée et les vomissements au début de la grossesse », explique la chercheuse et professeure Anne Matthews.
 
Des études supplémentaires sont recommandées. Entre-temps, certaines solutions peuvent aider à soulager les nausées comme sucer du gingembre frais, respirer des zestes d’orange ou prendre du vinaigre de cidre ou du miel avant de se coucher, rappelle le Cochrane Database of Systematic Reviews 2010.
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Plus de césariennes lorsque l’accouchement est provoqué

Une étude américaine démontre que de provoquer l’accouchement lors d’une première grossesse augmente les chances de devoir pratiquer une césarienne.
 
Selon ce que rapporte la revue Obstetrics & Gynecology, 20 % des césariennes effectuées pour des grossesses à terme sont dues au déclenchement artificiel du travail.
 
Les chercheurs ont suivi 7 804 femmes enceintes de 37 à 42 semaines. 3 404 d’entre elles ont eu un accouchement provoqué et 1 991 de ces dernières ont dû subir une césarienne.
 
Pour le tiers de ces femmes, le déclenchement du travail n’a pas été fait pour des questions médicales, mais simplement à la demande de la future mère pour des questions pratiques et de confort. Une méthode malheureusement trop souvent acceptée aux États-Unis.
 
On note 26 % de césariennes pour les accouchements provoqués contre 14 % pour les autres femmes.
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Céline se porte à merveille

Un représentant de la grande vedette québécoise a confirmé à People que celle-ci n’a eu aucune complication durant sa grossesse.

Enceinte de jumeaux, Céline Dion se porte très bien, comme nous avons pu le constater sur la première page du 7 jours dernièrement.

Entourée de René Angélil, son mari et gérant, de leur fils René-Charles, qui a maintenant neuf ans, et de leur chien, la célèbre chanteuse y apparaît calme et sereine, en toute simplicité.

De plus, la famille Dion confirme l’état de grâce dans lequel se trouve la plus jeune du clan. « Elle va très bien physiquement et mentalement », selon sa soeur Claudette.

Maman Dion a été bien rassurée d’apprendre que sa fille allait bien, elle qui ira la rejoindre bientôt aux États-Unis.

Rappelons que Céline mettra au monde en novembre les 31e et 32e petits-enfants de la cuisinière bien-aimée des Québécois. Il s’agit la deuxième grossesse par processus in vitro de la chanteuse qui maintenant 42 ans.

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Les antiviraux durant la grossesse sont sans danger pour le bébé

Le Journal of American Medical Association dévoile que les antiviraux qui sont prescrits pour traiter l’herpès et le zona sont sans danger pour les femmes enceintes.
 
Les femmes peuvent continuer à prendre l’Aciclovir, le Valaciclovir ou le Famiciclovir durant leur premier trimestre de grossesse sans crainte. Les médicaments sont sécuritaires et n’affecteront pas la santé de leur bébé.
 
Les chercheurs en sont arrivés à ces conclusions après avoir suivi 1 804 femmes enceintes qui prenaient ces médicaments.
 
Seulement 40 femmes ont eu un bébé présentant des anomalies congénitales majeures. Ce chiffre est sensiblement le même chez le groupe témoin où les femmes n’avaient pas reçu d’antiviraux. On conclut donc que les médicaments n’affectent pas la santé du futur bébé.