Étiquette : grossesse

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Prendre trop de poids durant la grossesse est nocif pour le bébé

Accumuler les livres durant sa grossesse n’est pas souhaitable. Selon le journal Ciculation de l’Association américaine du coeur, « manger pour deux » est une fausse croyance qui devrait être évitée.
 
Selon les chercheurs, les femmes qui prennent trop de poids durant leur grossesse exposent leur enfant à des problèmes de santé graves plus tard, notamment des problèmes cardiaques. À l’âge de 9 ans seulement, les enfants issus de ces grossesses sont plus gros et ont un faible taux de bon cholestérol dans le sang.
 
Les femmes devraient donc surveiller leur prise de poids, surtout si elles ont un surplus de poids ou sont obèses au départ.
 
Selon la coauteure de l’étude, Dre Abigail Fraser, le plus important n’est pas de savoir combien une femme prend de livres durant sa grossesse, mais surtout de savoir quel est son poids avant qu’elle tombe enceinte. Les femmes obèses ont plus de complications durant leur grossesse et à l’accouchement.
 
Après avoir analysé les dossiers de 5 000 femmes, on recommande à une femme de poids normal de ne pas prendre plus de 35 livres (15,88 kilos), une femme en surplus de poids devrait se limiter à 25 livres (11,34 kilos), alors qu’une femme obèse ne devrait pas excéder une prise de poids de 20 livres (9,07 kilos).
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On confirme la nocivité des antidépresseurs durant la grossesse

Le Daily Mail rapporte que des chercheurs de l’Université de Montréal mentionnent que les femmes enceintes qui prennent des antidépresseurs ont 68 % plus de chances de vivre une fausse couche
 
Les dépressions sont fréquentes durant une grossesse en raison des bouleversements hormonaux. Ainsi, 1 femme sur 30 prend des antidépresseurs durant sa grossesse.
 
Après avoir analysé les données de 5 124 femmes qui ont eu une fausse couche et environ le même échantillon de femmes qui ont mené leur grossesse à terme, on conclut que les risques de fausse couche sont augmentés de 68 % avec des antidépresseurs. Parmi cet échantillon de femmes ayant eu des fausses couches, 5,5 % (284 femmes) prenaient de ces médicaments en attendant leur bébé.
 
Les chercheurs pressent les médecins qui ont des patientes en âge de procréer et des femmes enceintes qui prennent des médicaments de bien les informer sur les risques et les avantages de la médication.
 
Il faut dire qu’une dépression non traitée peut également être nocive, autant pour le bébé que pour la future mère.
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Les tâches ménagères sont nuisibles durant la grossesse

Voici une bonne excuse pour les femmes enceintes d’abandonner le repassage et de débrancher l’aspirateur : ces tâches pourraient être nuisibles pour le futur bébé.
 
En fait, les chercheurs ignorent pourquoi, mais ces simples tâches augmentent les risques d’accouchement prématuré, alors que l’exercice physique est bénéfique pour la mère et son enfant.
 
Le journal Perinatal Epidemiology rapporte que des chercheurs de l’Université Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, ont interrogé 12 000 nouvelles mères pour savoir à quel point elles étaient demeurées actives durant leur grossesse, ce qui incluait les tâches domestiques. On leur a également demandé quel était leur emploi, le poids de leur bébé à la naissance et quand celle-ci est survenue.
 
Étrangement, on note que les travaux qui ne sont pas stimulants mentalement, comme les tâches ménagères, augmentent les chances de donner naissance à son enfant au moins trois semaines avant terme dans 25 % des cas. On ne connaît pas la raison de ce fait, mais on émet l’hypothèse que l’ennui augmenterait le niveau d’hormones de stress qui sont impliquées dans le déclenchement du travail de l’accouchement.
 
Pourtant, un mode sédentaire prédispose à un bébé d’insuffisance pondérale. Les chercheurs rappellent que les femmes enceintes en bonne santé ne devraient pas limiter leurs activités, car les exercices physiques sont bénéfiques.
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Nouvelle étude sur les conséquences du tabagisme durant la grossesse

Nous savions déjà que les femmes qui fument durant leur grossesse exposent leur futur bébé à divers problèmes.
 
Le tabagisme affecte le développement respiratoire des bébés, causant donc de l’asthme et des otites. De plus, une femme qui fume a deux fois moins de chances de tomber enceinte et l’homme qui fume voit la qualité de son sperme être affectée par la cigarette. Le tabagisme durant la grossesse augmente également le risque de naissance prématurée et de bébé de petit poids, sans compter que le risque de la mort subite du nourrisson est doublé.
 
Maintenant, selon Le quotidien du médecin, une nouvelle étude dévoile que les femmes enceintes qui fument exposent leur enfant à des troubles psychiatriques.
 
Les enfants et les adultes qui ont été exposés à la cigarette alors qu’ils étaient dans le ventre de leur mère consomment plus de médicaments psychotropes, comme des antidépresseurs et des somnifères. Il semble que les filles sont encore plus affectées que les garçons par ces troubles.
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Le taux de grossesse chez les adolescentes canadiennes en chute libre

Le taux de grossesse chez les adolescentes du Canada marque le plus important recul comparativement aux États-Unis, à la Suède et à l’Angleterre.
 
Les adolescentes canadiennes tombent de moins en moins enceintes. Selon les experts, cela reflète une génération mieux informée sur le sexe, qui fait des choix plus intelligents. Les jeunes filles entrevoient aussi leur avenir avec d’autres buts que la maternité.
 
Entre 1996 et 2006, le taux de grossesse chez les adolescentes canadiennes a chuté de 36,9 %. Aux États-Unis, il a reculé de 25 %. En Angleterre, on note une baisse de 4,7 %, mais en Suède, on enregistre une hausse de 19,1 %, selon les informations transmises par le Sex Information and Education Council of Canada (SIECCAN).
 
Au Canada, le taux de natalité chez les adolescentes a chuté de 38 %, alors que le taux des adolescentes enceintes qui ont voulu se faire avorter a reculé de 35,7 %.
 
Le Canada est le pays qui enregistre la diminution la plus rapide des grossesses chez les jeunes filles.
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Pas de complication de la grossesse pour les femmes épileptiques

Le point mentionne que les femmes qui souffrent de crises d’épilepsie ne courent aucun risque durant leur grossesse.
 
Selon une lettre de la Fondation française de la recherche sur l’épilepsie, qui cite une étude américaine sur le sujet, dans 92 % à 96 % des cas, il n’existe aucune complication pour ces femmes enceintes.
 
La maladie ne s’aggrave pas avec la grossesse et elle n’a pas d’influence sur le déroulement de la grossesse et de l’accouchement.
 
Toutefois, on rappelle que les femmes épileptiques qui tombent enceintes doivent absolument avoir un suivi rigoureux, car il s’agit tout de même d’une grossesse à risque.
 
Un neurologue et un obstétricien veilleront sur la future mère et son enfant. De plus, la médication devra être ajustée sinon on risque d’avoir des malformations du fœtus durant le premier trimestre de la grossesse.
 
La grande majorité du temps, tout se déroule normalement et les femmes épileptiques peuvent jouir de la maternité comme toutes les femmes en bonne santé.
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La caféine affecte la croissance du bébé

Une nouvelle étude confirme que la caféine affecte le développement du bébé si la mère consomme six tasses de café par jour durant sa grossesse.
 
Par le passé, des études mentionnaient que même une faible consommation de café conduisait à des bébés plus petits à la naissance, alors que d’autres recherches disaient le contraire. Même chose du côté des risques de fausses couches avec la caféine.
 
Une nouvelle étude du Centre médical Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, confirme que la caféine affecte le développement du bébé.
 
Rachel Bakker et ses collègues ont suivi 7 346 femmes néerlandaises durant leur grossesse, notamment avec des échographies. La plupart des femmes buvaient quatre tassés de café par jour, mais 2 à 3 % disaient consommer six tasses quotidiennement durant leur grossesse. Chez celles-ci, on a noté que les bébés étaient plus petits à la naissance, mais également durant leur développement dans l’utérus de leur mère. Cela confirme l’effet de la caféine sur le bébé.
 
Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, les femmes enceintes ne devraient pas consommer plus de six tasses de café par jour. Il existe encore une incertitude toutefois sur les effets de quantités moindres de caféine. D’autres études seront effectuées, de même que l’on tentera de mesurer les risques possibles de fausses couches.
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Le soleil durant la grossesse pour prévenir la sclérose en plaques chez l’enfant

Le quotidien du médecin nous apprend que selon des chercheurs australiens, les mères qui s’exposent au soleil durant leur grossesse diminuent les chances que leur enfant développe la sclérose en plaques en vieillissant.
 
Une trop faible exposition au soleil durant les premiers mois de grossesse augmente donc les risques de développer cette maladie dégénérative pour l’enfant.
 
Les chercheurs ont tenu compte de l’endroit et du mois de la naissance de 2,5 millions de personnes dans leur recherche. Ainsi, les enfants nés en mai ou juin ont plus de chances de souffrir de sclérose en plaques que ceux nés en novembre ou décembre, car leur mère n’a pas été très exposée au soleil durant les premiers mois de sa grossesse.
 
Le soleil fournit également de la vitamine D. Il a été démontré dans une récente étude britannique que les risques de diabète de type 1 pour l’enfant diminuaient si la mère avait assez de vitamine D, notamment en ayant recours à des suppléments.
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La vitamine A durant la grossesse permet aux enfants d’avoir de meilleurs poumons

Une nouvelle étude rapporte que les enfants dont les mères étaient sous-alimentées durant leur grossesse, mais qui ont pris des suppléments de vitamine A, avaient des poumons plus forts durant leur enfance. Les effets sont plus notables lorsque l’enfant a atteint l’âge de neuf ans, mentionne le New England Journal of Medicine.
 
Selon l’étude effectuée au Népal sur 1 371 enfants, on note une capacité pulmonaire supérieure de 3 % chez ceux ayant eu de la vitamine A, comparativement aux enfants dont les mères ont reçu un placebo.
 
Un ajout précoce de la vitamine A dans les pays où règne la malnutrition pour les femmes enceintes pourrait être très bénéfique pour la santé pulmonaire des enfants plus tard, selon l’équipe de l’Université Johns Hopkins à Baltimore, aux États-Unis.
 
190 millions d’enfants d’âge préscolaire et 19 millions de femmes enceintes ont une carence en vitamine A, ce qui entraîne d’importants problèmes de santé, notamment au niveau des poumons pour les tout-petits.
 
Des études précédentes mentionnaient également que des suppléments de vitamine A ou de bêta-carotène diminuaient de 44 % les risques qu’une femme meure de complications durant sa grossesse.
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Le stress est nocif pour la femme enceinte

Les femmes enceintes doivent bien s’alimenter, prendre des vitamines prénatales et s’abstenir de boire de l’alcool. Selon une nouvelle étude dévoilée par l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, elles doivent aussi éviter le stress en début de grossesse.
 
Des chercheurs chinois ont étudié 1 800 femmes enceintes en mesurant leur santé émotionnelle et les événements traumatisants qu’elles vivaient, comme la mort d’un proche, un divorce ou une perte d’emploi.
 
On a constaté que le risque de naissance prématurée était multiplié par deux si un événement traumatisant survenait durant les deux premiers trimestres de la grossesse. On note également trois fois plus de risques de bébé avec un poids plus petit à la naissance si la mère a été stressée durant son premier trimestre de grossesse.
 
Le stress durant la grossesse augmente le cortisol et l’adrénaline qui circulent dans le sang du fœtus.
 
Rappelons que lors des tristes événements du 11 septembre 2001, les veuves ont reçu l’aide de la communauté pour faire face à leur peine et préparer la naissance des enfants qui n’allaient jamais connaître leur père. Cela a permis de diminuer le stress ressenti par les bébés.