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Les mutlivitamines peuvent être nuisibles durant la grossesse

Une nouvelle étude britannique affirme que les femmes qui prennent des suppléments prénataux à la fin de leur grossesse ont plus de chances de donner naissance prématurément.
 
Les chercheurs disent qu’il y a plus de risques de prématurité avec des suppléments de vitamines pris durant le troisième trimestre de la grossesse. Ces multivitamines sont souvent en vente libre et publicisées comme étant bénéfiques pour les futures mères.
 
Toutefois, plusieurs spécialistes notent certaines faiblesses dans cette nouvelle étude effectuée sur 1 300 femmes entre 2003 et 2006. Pour cela, les résultats sont remis en cause, mais le Royaume-Uni ne recommande plus ces suppléments prénataux aux femmes.
 
Bien que les auteurs de l’étude avouent que des recherches plus approfondies sont nécessaires, on s’entend pour dire qu’une alimentation saine devrait être suffisante pour les femmes enceintes et qu’elles ne devraient plus avoir besoin de suppléments vitaminés après les trois premiers mois de grossesse.
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L’obésité chez la future mère cause des problèmes cardiaques au bébé

Une étude américaine soutient que les femmes obèses qui tombent enceintes ont plus de chances d’avoir un bébé avec un défaut cardiaque congénital.
 
Ce sont des équipes des Instituts nationaux de la santé (NIH) qui se sont penchées sur le sujet. En moyenne, les femmes obèses exposent leur bébé à un risque d’avoir un défaut cardiaque plus important de 15 %. En fait, plus l’obésité est prononcée chez la mère, plus les risques sont grands pour le bébé.
 
Une obésité modérée augmente les risques de 11 %, alors qu’une obésité morbide ou extrême présente 33 % plus de risques de malformations cardiaques pour le futur enfant.
 
Les défauts cardiaques touchent environ huit bébés sur 1 000.
 
« La tendance ne prête aucune confusion : plus la femme est obèse, plus il est possible qu’elle ait un enfant avec un défaut cardiaque », explique le Dr James Mills, auteur principal de la recherche.
 
Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, l’étude a été réalisée auprès de 7 392 enfants nés avec une malformation au cœur, comparativement à 56 000 qui n’avaient pas de défaut.
 
Par contre, si vous êtes en surpoids, mais non obèse, ce risque n’est pas présent pour vous. Rappelez-vous qu’une fois enceinte, il est préférable de ne pas suivre de régime pour perdre du poids. Tentez de le faire avant de tomber enceinte.
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Prendre trop de poids durant la grossesse augmente les risques d’obésité

L’American Journal of Clinical Nutrition rapporte que les femmes qui prennent trop de poids durant leur grossesse ont plus de chances d’être obèses dans les années après l’accouchement.
 
En général, ces femmes continuent de prendre en moyenne 44 livres dans les 21 années suivant leur accouchement. Les femmes qui prennent moins de poids ne gagnent en moyenne que 21 livres en 21 ans.
 
Pour en arriver à ces résultats, des médecins de l’Université du Queensland à Herston, en Australie, ont observé l’indice de masse corporelle (IMC) de 2 055 femmes avant et après leur accouchement.
 
Les femmes qui prennent beaucoup de poids alors qu’elles sont enceintes ont deux fois plus de chances d’avoir un surpoids et quatre fois plus de risques de devenir obèses plus tard.
 
Les chercheurs ont établi un lien clair entre le poids durant la grossesse et l’IMC des femmes. L’impact était plus marquant lorsque les chercheurs ont examiné le poids des femmes avant les grossesses et la différence ensuite.
 
Toutefois, il est controversé de demander aux futures mères de s’astreindre à un régime, car cela peut affecter la croissance du fœtus.
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S’entraîner durant la grossesse préviendrait l’obésité

Il a été démontré de nombreuses fois que s’entraîner durant la grossesse était non seulement bénéfique pour la future maman, mais également pour l’enfant à naitre.
 
Une nouvelle étude rapportée par le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism démontre que les femmes qui s’entraînent régulièrement durant leur grossesse donneront naissance à un bébé un peu plus léger.
 
« En considérant qu’un important poids à la naissance est associé à un risque plus élevé d’être obèse, la réduction du poids à la naissance pourrait avoir des bénéfices à long terme sur la santé du bébé plus tard dans sa vie », mentionne le Dr Paul Hofman de l’Université d’Auckland qui a dirigé l’étude.
 
84 femmes ont participé à la recherche. La moitié se sont entraînées 40 minutes par semaine au vélo stationnaire jusqu’à 36 semaines et l’autre moitié n’a fait aucun exercice. Finalement, le premier groupe de femmes a donné naissance à des bébés qui avaient de 49 à 237 grammes de moins que les bébés du deuxième groupe.
 
Il est à noter qu’entre la fin des années 70 et 2004, le taux des enfants obèses de 2 à 17 ans est passé de 3 à 8 %. Chez les adultes, pour cette même période, le taux d’obésité est passé de 14 à 23 %.
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L’accouchement augmente les risques d’AVC

Le journal Neurology publie une étude coréenne qui confirme que les risques sont plus élevés pour les femmes de faire un accident vasculaire cérébral (AVC) si elles ont donné naissance à un ou des enfants.
 
Il est connu que la grossesse et l’accouchement augmentent les risques d’AVC. Les efforts fournis lors de l’accouchement, les naissances elles-mêmes, le stress et les craintes face à l’éducation des enfants peuvent être des facteurs aggravants qui contribuent au développement de saignements au cerveau.
 
Le Dr Byung-Woo Yoon et ses collègues, de l’Université nationale de l’hôpital de la République de Corée, ont comparé 459 femmes ayant eu un AVC à 918 qui n’en ayant pas eu. En moyenne, les participantes à cette étude avaient 56 ans.
 
Les femmes ayant eu un AVC avaient accouché dans 38 % des cas. 143 femmes avaient donné naissance à deux reprises, 107 femmes à trois reprises et 171 avaient vécu quatre naissances. On note que les risques de faire un AVC augmenteraient de 27 % à chaque grossesse chez les femmes, comparativement à celles qui n’ont pas vécu cet événement. Celles ayant eu quatre naissances et plus avaient trois fois plus de risques d’AVC que les autres.
 
D’autres facteurs, comme l’âge, les antécédents familiaux, l’hypertension, le diabète, la cigarette et l’alcool, peuvent favoriser un accident vasculaire cérébral.
 
Des études plus approfondies sont nécessaires afin de comprendre les raisons profondes qui accentuent les risques d’AVC.
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Bercer l’éprouvette pour augmenter les chances d’une grossesse

Afin de maximiser les chances d’aboutir à une grossesse lors d’une fécondation in vitro, des chercheurs du Michigan ont créé un genre de berceau à éprouvette.
Selon le journal Human Reproduction, l’éprouvette est soumise à un balancement numériquement régulé qui reproduit en fait les mouvements naturels que l’œuf fécondé reçoit lorsqu’il rejoint la muqueuse utérine.
 
Les résultats obtenus sur des souris sont particulièrement étonnants. Sans balancement, les fécondations in vitro aboutissent à une grossesse dans 55 % des cas, alors que si l’éprouvette a été bercée, le taux de réussite passe à 77 %. On devrait donc pouvoir tenter la même expérience pour les humains bientôt.
 
En général, seulement 35 % des tentatives de fécondation in vitro se terminent par une grossesse.
De plus, il a été démontré que les parents qui ont recours à cette méthode pour avoir un enfant doivent aussi faire face à un plus grand risque de bébés mort-nés. Les risques seraient augmentés de quatre fois. Toutefois, cette récente étude ne fait pas l’unanimité et certains médecins disent n’avoir trouvé aucun lien entre la fécondation in vitro et un plus grand nombre de bébés mort-nés.
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La grossesse est sans danger après un cancer du sein

Une nouvelle étude, dévoilée lors de la Conférence sur le cancer du sein à Barcelone, confirme les résultats de l’Association francophone de l’après-cancer du sein, la grossesse est sans danger après la maladie.
 
Une équipe de l’Institut Jules Bordet, en Belgique, a observé 19 400 femmes guéries du cancer du sein, dont 1 400 étaient enceintes. Elles n’avaient pas plus de risques de mourir que celles qui n’attendaient pas d’enfant. Au contraire, on a remarqué que celles enceintes avaient 42 % moins de risques de mourir que les 18 000 autres femmes qui n’attendaient pas la venue de la cigogne.
 
Il n’y a pas plus de risques de récidive de la maladie non plus, et ce, peu importe le temps d’attente entre la maladie et la grossesse. Alors que certains médecins suggèrent à leurs patientes de ne pas tomber enceinte ou encore d’attendre de deux à cinq ans avant d’être mère, l’étude démontre qu’il n’y a pas de risques, même si le bébé naît un an après la guérison.
 
Le Dr Hatem Azim, auteur de la nouvelle étude, et son équipe espèrent que les médecins changeront de discours avec la confirmation des premiers résultats.
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Un test de salive pour évaluer les risques de naissance prématurée

Une étude britannique publiée dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology révèle qu’un simple test de salive permettrait d’identifier si les futures mères ont plus de risques de connaître un accouchement prématuré.
 
Des chercheurs de l’University College et du King’s College de Londres ont découvert que les femmes qui accouchent prématurément ont moins de progestérone (hormone de grossesse) dans leur salive que celles qui accouchent à terme.
 
Entre la 24e et la 34e semaine de grossesse, l’équipe a prélevé des échantillons de salive sur 92 femmes enceintes qui présentaient un risque d’accoucher avant neuf mois.
 
Au terme de l’étude, on a constaté que les femmes qui avaient accouché avant terme avaient un taux de progestérone beaucoup plus faible dans leur salive que les femmes qui étaient arrivées au terme de leur grossesse.
 
Ce simple test pourrait donc éventuellement prévenir les risques de naissance prématurée.
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Ce n’est pas la faute du bébé!

Bien des femmes enceintes mettent leurs pertes de mémoire et leur manque d’attention sur le dos de leur futur enfant. Pourtant, les scientifiques le confirment une fois de plus, ce n’est qu’une fausse croyance.
 
Ces petits égarements sont seulement causés par les hormones de la grossesse qui produisent des effets parfois étranges.
 
En comparant 23 femmes enceintes à 24 qui ne l’étaient pas lors de tests de mémoire, on a constaté que les femmes enceintes avaient des pertes de mémoire spatiale, c’est-à-dire qu’elles ont du mal à se remémorer un lieu ou la position d’un objet. De plus, les femmes enceintes obtiennent de moins bons résultats lorsqu’on mesure leur niveau d’anxiété, leur humeur et leur niveau d’attention.
 
Les problèmes surviennent souvent dans les six derniers mois de grossesse et peuvent se prolonger jusqu’à trois mois après l’accouchement. Selon une nouvelle étude menée par Diane Farra, une sage-femme de l’Institut de Bradford pour la recherche en santé, ce phénomène serait causé par les hormones de la grossesse sur le cerveau.
 
« L’oubli et le manque d’attention sont des phénomènes fréquents qui sont rapportés par les femmes enceintes, mais les scientifiques ont une fois de plus identifié un mécanisme spécifique de cette altération de la mémoire. Les niveaux d’hormones pendant la grossesse peuvent affecter des régions cérébrales qui sont impliquées dans la mémorisation », explique-t-elle.
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Vivre à la ferme durant sa grossesse serait bénéfique

Vivre à la ferme signifie pour plusieurs une vie plus relaxante, loin de la pollution de la ville et des bruits incessants causés par le trafic automobile. Pour une femme enceinte, la ferme peut avoir bien plus que des effets calmants.
 
L’European Respiratory Journal affirme que les femmes enceintes qui vivent sur une ferme sont beaucoup moins susceptibles de voir leur enfant souffrir d’asthme ou d’eczéma. En fait, selon les chercheurs néo-zélandais, les risques que le bébé soit atteint de ces deux maladies sont réduits de moitié en vivant à la ferme.
 
Une équipe de l’Université de Massey a comparé les troubles allergiques de 1 377 enfants dont les mères étaient en contact avec des animaux de la ferme pendant leur grossesse avec ceux de 566 enfants dont les parents vivaient à la ville. On a trouvé qu’il y avait moins de problèmes chez ceux de la campagne.
 
On croit qu’un contact précoce avec ce type d’environnement et ces animaux permet de développer des cellules immunitaires plus fortes.
 
Toutefois, vivre à la ferme comporte également certains inconvénients pour une femme enceinte, car cela peut augmenter les risques d’infections. Il faut donc prendre les précautions nécessaires, surtout en ce qui concerne l’hygiène.