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Les effets de la pollution sur le foetus

Une analyse de dossiers médicaux de plus de 336 000 nouveaux nés a permis à une équipe de chercheurs de l’École de santé publique de l’Université de médecine et dentisterie du New Jersey, de conclure que la pollution atmosphérique ralentit le développement du foetus.

L’équipe du Dr David Rich a analysé le degré d’exposition des futures mères lors de la gestation.

Selon eux, le risque de bébé de petit poids augmente de manière significative à chaque tranche de 4 micromètres de particules dans l’air au cours des premier et troisième trimestres de grossesse.

On ignore toutefois pourquoi la pollution affecte les fœtus, mais certains chercheurs croient que cela est dû à l’activité des cellules.

Tous les détails se retrouvent dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Les effets néfastes des pesticides

Les pesticides pourraient faire croître le risque de malformations chez le foetus, croient des chercheurs américains de la Faculté de médecine de l’Université d’Indiana.

Selon eux, les bébés conçus au printemps et à l’été enregistrement un taux plus élevé de malformations, alors que c’est à cette période de l’année que l’on retrouve le plus de ces produits chimiques dans les eaux de surface.

Le Dr Paul Winchester et son équipe ont analysé les dossiers médicaux de 30,1 millions de petits Américains nés entre 1996 et 2002. Ils ont découvert une association entre des taux élevés de malformations congénitales et les mères ayant eu leurs dernières menstruations entre avril et juillet avant de tomber enceintes.

« Les observations du Dr Winchester sont très importantes, car elles soulèvent la question concernant le danger que peuvent représenter ces produits chimiques lors de la grossesse », a commenté le Dr James Lemons à propos de cette étude.

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Une malformation cardiaque liée à la mère

L’équipe du Dr Pirooz Eghtesady, de l’Hôpital pour enfants de Cincinnati, croit avoir trouvé une explication à l’hypoplasie ventriculaire gauche chez le bébé.

Selon eux, les poupons nés entre avril et juillet sont plus à risque de souffrir de cette malformation cardiaque et ce phénomène serait attribué à un simple virus chez la mère lors de la grossesse.

1 500 nouveaux nés ont participé à cette étude qui a duré près de 10 ans.  

« Les changements de saison sont considérés comme un facteur important pour expliquer la maladie », laissent entendre les chercheurs, qui croient qu’une bactérie de type streptocoque non traitée lors de la gestation pourrait être en cause.

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Les dernières statistiques en matière de maternité

Le rapport intitulé Enquête canadienne sur l’expérience de la maternité, publié hier (24 mars) par l’Agence de la santé publique du Canada, fait état des dernières statistiques concernant les femmes enceintes.

Parmi les conclusions, on apprend que le taux de césariennes élevé inquiète les autorités et que les futures mères devraient être mieux informées à propos des différentes options, comme les épidurales.

« Nous avons tendance à faire trop d’interventions pendant le travail et l’accouchement. Notre taux de césariennes est en hausse. Nous déclenchons, accélérons le travail et nous utilisons beaucoup l’épidurale », a déploré l’un des auteurs de ce rapport, la Dre Beverley Chalmers.

Selon l’agence fédérale, ce type d’interventions peut augmenter les complications. « Je pense qu’on devrait revenir à une approche plus naturelle. La technologie, c’est fantastique et c’est vraiment important quand les femmes en ont vraiment besoin. La question est combien de femmes ont besoin de tant d’interventions », a conclu la Dre Chalmers.

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Le diabète gestationnel cause des troubles de langage

Selon la Dre Ginette Dionne et son équipe, de l’Université Laval à Québec, le diabète de grossesse pourrait entraîner des retards dans le développement du langage chez l’enfant.

Pour en arriver à ces conclusions, la Dre Dionne a travaillé avec 221 enfants dont la mère avait fait du diabète gestationnel durant leur grossesse et 2 621 bambins dont la mère n’a pas souffert de ce trouble.

Il en résulte que les 221 bambins ciblés avaient des résultats moins élevés aux tests qui mesuraient leur niveau de langage.

L’éducation de la mère peut aider à compenser les troubles du langage, selon la Dre Dionne, mais, pour elle, il ne fait pas de doute que le diabète gestationnel affecte le langage de l’enfant.

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Le diabète de grossesse augmente les risques de dépression

Selon une récente étude de l’Université Harvard, les risques de dépression après un accouchement augmentent de 60 % si la femme a fait du diabète durant sa grossesse.

Sur les dossiers de 11 000 femmes à faible revenu du programme Medicaid, des chercheurs ont noté une différence significative entre celles qui n’avaient pas fait de diabète et celles qui en avaient souffert.

5,9 % des femmes n’ayant pas eu de diabète ont fait une dépression post-partum, contre 9,6 % chez celles atteintes de la maladie durant la grossesse.

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Trop de vitamine E nuit au foetus

Une étude, menée auprès de 276 poupons nés avec une malformation cardiaque et 324 bébés en bonne santé, a démontré qu’une surconsommation de vitamine E par la femme enceinte pourrait expliquer la cardiopathie congénitale.

L’auteur de cette recherche, le Dr R. P. M. Steegers-Theunissen de l’Université de Rotterdam, a évalué que les femmes qui prenaient beaucoup de vitamine E lors de la gestation avaient 70 % plus de chance de donner naissance à un enfant avec une malformation cardiaque.

Selon le chercheur, cette vitamine déséquilibrerait les tissus embryonnaires, en modifiant le développement du cœur.

Tous les détails se retrouvent dans la revue scientifique Journal of Obstetrics and Gynecology.

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Les risques liés à l’obésité et la grossesse

Une recherche, publiée dans la revue scientifique Journal of the American Medical Association, mentionne que le risque de certaines malformations congénitales, comme la myélodysraphie qui touche la colonne vertébrale, augmente lorsque la mère est obèse.

« Chez les femmes qui étaient obèses au début de leur grossesse, cette analyse montre pour le foetus une augmentation significative du risque de malformation du tube neural (près de deux fois) et d’anomalie de développement de la colonne vertébrale, une myélodysraphie plus spécifiquement, avec plus d’un doublement des risques », ont fait savoir les chercheurs oeuvrant pour l’Université Newcastle en Grande-Bretagne.

En mesurant l’indice de masse corporelle chez les futures mères, les scientifiques ont observé que le risque de malformation cardiaque ou du tube neural se situait à 0,61 pour 1 000 naissances chez les femmes obèses, comparativement à 0,47 pour les mères ayant un poids santé.

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Les conséquences permanentes de la prééclampsie

Diabète, hypertension artérielle et caillots sanguins, tels sont les problèmes de santé dont risquent de souffrir les femmes enceintes qui ont fait de la prééclampsie lors de leur grossesse.

Pour en arriver à ces conclusions, des chercheurs de l’Université Yale ont analysé les dossiers médicaux de plus de 11 000 Danoises ayant accouché entre 1978 et 2007.

« Le seul traitement pour venir à bout de la prééclampsie est d’accoucher. Mais nous avons observé que les femmes sont alors plus à risque de souffrir d’hypertension artérielle, de diabète de type 2 et de caillots sanguins pour le reste de leur vie », a affirmé l’auteur principal, le Dr Michael J. Paidas.

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Un rapport sur les grossesses chez les adolescentes

Un rapport, publié hier (15 janvier) par les Nations Unies, fait état du risque lié aux grossesses chez les jeunes filles de moins de 15 ans. Selon l’organisme, ces adolescentes sont cinq fois plus à risque de mourir lors de l’accouchement que les femmes enceintes ayant 20 ans et plus.

À titre d’exemple, on cite que, chaque année, 70 000 jeunes femmes âgées de 15 à 19 ans meurent en donnant naissance.

Ce risque de mortalité touche aussi l’enfant, alors que ceux dont la mère a moins de 18 ans ont 60 % plus de risques de décéder lors de leur première année, comparativement à un bébé dont la mère est âgée de 19 ans.

Le rapport nous apprend que ces mortalités sont enregistrées surtout en Afrique, où le risque de décès est quatre fois plus élevé qu’en Asie, et plus de 300 fois plus élevé que dans les pays industrialisés.