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L’utilisation de médicaments fertilisants mène à de plus petits bébés

« C’est rassurant, ces bébés restent dans une fourchette de grandeur normale pour leur sexe et leur âge », explique le chercheur et pédiatre du Liggins Institute de l’Université d’Auckland en Nouvelle-Zélande, Tim Savage.

En fait, les chercheurs ont remarqué que ces bébés nés avec l’aide de traitements pour la fertilité étaient de deux centimètres à un pouce moins grands que les autres nés naturellement.

Toutefois, ces chiffres étaient plus élevés chez les petits garçons, puisqu’ils étaient en moyenne plus courts de trois centimètres à plus d’un pouce.

De plus, l’utilisation de stimulants ovariens seulement est deux fois plus populaire chez les femmes désireuses d’avoir un enfant que la fertilisation in vitro et représente 5 % de toutes les naissances des pays développés.

La cause de cette différence de taille reste encore à déterminer. Les experts ignorent si ces enfants atteignent leur taille normale à l’âge adulte.

Rappelons que de plus en plus de femmes ont recours à ce type de traitement, alors que nombre de femmes croient qu’elles pourront tomber facilement enceintes lorsque leur horloge biologique sonnera, et ce, même s’il se fait tard.

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L’obésité et les grossesses à un âge avancé doubleraient le risque de décès durant l’accouchement

Une étude menée sur des femmes londoniennes et publiée dans le journal médical Lancet a révélé que le nombre de décès chez les femmes enceintes avait doublé depuis 2005.

En 2010-2011, presque 20 accouchements sur 100 000 se sont mal terminés pour la mère, tandis que six ans plus tôt, il y en avait mois de 10.

Plusieurs cliniques de maternité s’inquiètent et ne peuvent faire face à ce nombre élevé de naissances risquées.

Aucune autre étude n’est comparable, puisque le Centre for Maternal and Child Enquiries du Royaume-Uni, qui se pencherait normalement sur la question, a dû cesser d’investiguer pour économiser de l’argent.

Les chercheurs ont pointé du doigt l’augmentation des cas d’obésité ainsi que la tendance à reporter la grossesse à un âge plus avancé comme causes de complications des accouchements.

« Deux facteurs sont combinés : les services de maternité sont sous la pression d’un taux d’accouchement de plus en plus élevé et ils doivent s’occuper de plus en plus de femmes avec des accouchements complexes », explique la secrétaire générale du Royal College of Midwives, Cathy Warwick.

Rappelons que le nombre plus élevé de femmes ayant recours à la fertilisation in vitro, qui augmenterait les chances d’avoir des jumeaux ou des triplets, donne cours à plus d’accouchements complexes.

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Grossesses multiples: moins de risques de sclérose en plaques

Les femmes qui ont des grossesses multiples auraient un risque plus faible de développer la sclérose en plaques. Il s’agit de l’une des conclusions de l’étude publiée le 7 mars dans le numéro en ligne de Neurology, le journal médical de l‘American Academy of Neurology. 

L’auteure de l’étude, Anne-Louise Ponsonby, de l’Institut de recherche de Melbourne, en Australie, a déclaré : « dans notre étude, le risque a diminué à chaque grossesse et l’avantage était permanent ».
 
Par ailleurs, « le taux de cas de sclérose en plaques a augmenté chez les femmes au cours des dernières décennies. Notre recherche suggère que cela peut être dû au fait que les mères ont des enfants plus tard et ont aussi moins de bébés qu’auparavant », a expliqué la scientifique.
 
L’étude a été soutenue notamment par la National Multiple Sclerosis Society of the United States of America et par The National Health and Medical Research Council of Australia.
 
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FIV : Augmentation des grossesses avec un nouveau traitement

Voici une bonne nouvelle pour les femmes qui ont des difficultés à procréer. Une nouvelle façon de traiter les embryons pendant la FIV améliore significativement les chances de grossesse.

Selon l’étude, publiée dans le journal en ligne Public Library of Science ONE, les embryons délicats n’ont plus à être retirés de l’incubateur pour vérifier leur progrès. Cette méthode pouvait être nocive.

Au lieu de cela, le système développé par les chercheurs de Newcastle permet aux procédures d’être menées dans un environnement clos et contrôlé.

La recherche, menée sur trois années, a d’ailleurs montré une augmentation de 27 % au minimum dans les taux de grossesse clinique.

Les patientes avaient 45 % de chances de tomber enceinte, comparativement à 35 % pour le taux de réussite dans l’ancien système.

Alison Murdoch, chef de service clinique, a déclaré : « La culture de bons embryons est la clé de succès des FIV, et tout le monde, même ceux qui ont une faible perspective de succès, mérite d’avoir la meilleure chance possible. Plus de 850 bébés sont nés avec cette nouvelle technologie ».

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Plus de grossesses non désirées et d’avortements chez les femmes obèses

Selon une étude effectuée auprès de 12 000 répondants par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), les femmes en surpoids de moins de 30 ans sont quatre fois plus nombreuses à déclarer des grossesses non désirées ou des avortements.
 
L’étude portant sur le lien entre l’indice de masse corporelle (IMC) et la santé sexuelle, publiée dans le British Medical Journal, révèle également que les femmes obèses prennent moins la pilule contraceptive et qu’elles consultent moins souvent un gynécologue.
 
Une des raisons évoquées par les spécialistes pour expliquer ce phénomène est le fait que les femmes ayant un surplus de poids éprouvent davantage de crainte à l’idée de se déshabiller devant leur médecin.
 
Les femmes en surpoids ou obèses ont également plus de difficulté à trouver un partenaire. Cela explique pourquoi elles sont trois fois plus nombreuses que les femmes du même âge et de poids normal à rencontrer leur partenaire sur le Web, là où elles peuvent cacher leur poids, du moins jusqu’à la véritable rencontre.
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L’écart raisonnable entre deux grossesses

Chaque famille est différente et il revient aux parents de savoir combien de temps ils souhaitent attendre avant d’avoir un deuxième enfant. Toutefois, il y a tout de même quelques points à prendre à considération.
 
En principe, l’organisme est prêt à fonctionner rapidement après un accouchement. L’utérus reprend sa taille en quelques semaines et une ovulation peut être possible après un mois seulement. Toutefois, si vous avez eu un gros bébé, il faudra peut-être attendre que les muscles périnéaux et les petits soucis urinaires se replacent. Si vous avez eu une césarienne, les médecins recommandent d’attendre un an afin de s’assurer que la cicatrice s’est solidifiée. Si vous avez eu des complications, comme le diabète, il faut attendre que tout se replace.
 
Sachez que des grossesses trop rapprochées augmentent les risques de prématurité, de petit poids à la naissance ou même de retard de croissance, mentionne le site français Parents. La mère n’a pas eu suffisamment le temps de récupérer et si elle a souffert d’anémie, ce qui est fréquent après avoir accouché, elle pourrait être totalement épuisée par une deuxième grossesse trop rapide.
 
D’autre part, un intervalle de plus de six ans augmente les risques de fausse couche ou de décès à la naissance. En fait, après l’accouchement, la mère bénéficie d’une sorte de protection qui finit par s’estomper. Après six ans, cette protection est inexistante et la mère se retrouve avec les mêmes risques présents lors d’une première grossesse.
 
Les spécialistes insistent sur le fait que c’est aux parents de décider et qu’il ne faut pas hésiter à consulter un médecin pour avoir son avis.
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L’écart raisonnable entre deux grossesses

Chaque famille est différente et il revient aux parents de savoir combien de temps ils souhaitent attendre avant d’avoir un deuxième enfant. Toutefois, il y a tout de même quelques points à prendre à considération.
 
En principe, l’organisme est prêt à fonctionner rapidement après un accouchement. L’utérus reprend sa taille en quelques semaines et une ovulation peut être possible après un mois seulement. Toutefois, si vous avez eu un gros bébé, il faudra peut-être attendre que les muscles périnéaux et les petits soucis urinaires se replacent. Si vous avez eu une césarienne, les médecins recommandent d’attendre un an afin de s’assurer que la cicatrice s’est solidifiée. Si vous avez eu des complications, comme le diabète, il faut attendre que tout se replace.
 
Sachez que des grossesses trop rapprochées augmentent les risques de prématurité, de petit poids à la naissance ou même de retard de croissance, mentionne le site français Parents. La mère n’a pas eu suffisamment le temps de récupérer et si elle a souffert d’anémie, ce qui est fréquent après avoir accouché, elle pourrait être totalement épuisée par une deuxième grossesse trop rapide.
 
D’autre part, un intervalle de plus de six ans augmente les risques de fausse couche ou de décès à la naissance. En fait, après l’accouchement, la mère bénéficie d’une sorte de protection qui finit par s’estomper. Après six ans, cette protection est inexistante et la mère se retrouve avec les mêmes risques présents lors d’une première grossesse.
 
Les spécialistes insistent sur le fait que c’est aux parents de décider et qu’il ne faut pas hésiter à consulter un médecin pour avoir son avis.