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Le tabagisme nuit à la guérison du cancer de la prostate

Le tabagisme aggrave non seulement l’agressivité du cancer de la prostate, il augmente en plus les risques de récidive après les traitements, de même que les risques de mortalité et de maladies cardiovasculaires.
 
Le Journal of the American Medical Association publie une étude réalisée auprès de 5 366 hommes avec un cancer de la prostate entre 1986 et 2006.
 
On constate que les fumeurs avaient 61 % plus de risques de faire une rechute et de mourir que les non-fumeurs.
 
Même chez ceux ayant reçu un diagnostic de cancer sans métastase, les risques de mourir d’un cancer généralisé étaient accrus de 80 %.

Bonne nouvelle toutefois, les hommes qui avaient cessé de fumer dix ans avant de recevoir leur diagnostic ont réduit leurs chances de développer la maladie au même niveau que les non-fumeurs.

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L’hypnose pour guérir plus rapidement

Des chercheurs de l’Université catholique de Louvain, en Belgique, mentionnent que l’hypnose associée à l’anesthésie locale accélère le processus de guérison après une intervention chirurgicale.
 
Deux groupes de personnes ont participé à cette étude. Le premier était constitué de 78 femmes avec un cancer du sein devant passer en chirurgie. 18 de ces femmes ont été hypnotisées et ont reçu une anesthésie locale, alors que les autres ont eu une anesthésie générale.
 
Les femmes qui ont été hypnotisées ont eu recours à de plus faibles doses de médicaments et leur hospitalisation a été plus courte que les autres.
 
Un deuxième groupe devant se faire retirer la glande thyroïde a aussi été examiné. 18 personnes ont été hypnotisées avec anesthésie locale et 36 autres ont eu une anesthésie générale.
 
Les résultats ont été les mêmes qu’avec le cancer du sein. L’hypnose et l’anesthésie locale favorisent un meilleur rétablissement et celui-ci est beaucoup plus rapide.
 
« En plus de permettre un usage réduit des médicaments et une récupération plus rapide, le fait de pouvoir éviter une anesthésie générale dans le cas du cancer du sein est particulièrement intéressant. Cela réduit le stress de l’organisme en réaction à la chirurgie et peut ainsi diminuer les risques de propagation éventuelle des métastases. On ne connaît pas encore le mécanisme exact qui fait que l’hypnose réduit la perception de la douleur, mais ce qu’on sait, c’est que ça fonctionne », explique la chercheuse Fabienne Roelants.
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L’avis de la mère serait primordial

Il vient d’être démontré que l’attitude de la famille joue un rôle majeur lorsqu’un jeune souffre d’une maladie mentale. Le rétablissement serait directement lié.

Il s’agirait en fait d’une relation de cause à effet. Une perception négative des troubles mentaux pourrait causer des dommages quant à la façon dont les personnes atteintes se considèrent.
 
Des chercheurs de la Northern Illinois University ont suivi 129 mères dont l’enfant avait reçu un diagnostic de schizophrénie durant 18 mois. Dès le départ, on a pu constater que l’avis de la maman jouait un rôle décisif.
 
Ceux qui était décrits par leur mère de manière négative avaient ainsi plus tendance à avoir des symptômes plus évidents, de même qu’à avoir une moins bonne qualité de vie et une plus faible estime d’eux-mêmes.

Finalement, cette recherche ouvre la voie à une nouvelle façon de traiter la maladie mentale, c’est-à-dire en ne l’abordant pas que d’un point de vue psychiatrique et dans un unique but de soulagement des symptômes.

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Les probiotiques contre les infections urinaires

Bien que les femmes utilisent les probiotiques pour traiter des mycoses, vaginoses et infections depuis longtemps, la science vient seulement de valider les bienfaits de ces bonnes bactéries que l’on retrouve notamment dans les yogourts.
 
Une nouvelle étude suggère même aux femmes de consommer beaucoup de probiotiques pour venir à bout de leurs infections urinaires.
 
Une équipe de l’Université de Washington a administré des suppositoires aux probiotiques à 50 femmes avec infections urinaires chroniques et 50 autres ont reçu un placebo.
 
On a noté que seulement sept femmes dans le premier groupe ont eu des résurgences de leurs infections dans les dix semaines suivantes, contre 13 chez celles ayant reçu le placebo.
 
Maintenant, avant de prescrire un traitement à base de probiotiques, on souhaite effectuer des recherches sur un plus grand nombre de femmes afin de confirmer les résultats.
 
Ces bonnes bactéries sont aussi reconnues pour avoir des bienfaits sur la santé intestinale, le système immunitaire et elles aideraient à prévenir ou ralentir le développement de certains cancers.
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Guérison possible du VIH/sida?

La revue Blood rapporte une nouvelle surprenante qui sème l’espoir de trouver un traitement contre le VIH éventuellement.
 
Un Américain séropositif avec une leucémie a reçu une transplantation de cellules souches de la moelle osseuse il y a trois ans. Depuis, tous les tests sanguins que cet homme de 43 ans passe ne présentent plus aucune trace du VIH.
 
Le donneur avait une mutation génétique qui lui donnait une protection naturelle contre le virus. Toutefois, cette mutation est présente chez seulement 1 % de la population blanche, ce qui rend complexe la recherche de donneurs potentiels.
 
De plus, 30 % des patients ne survivent pas à la greffe de moelle osseuse, voilà pourquoi ce traitement ne pourrait pas être appliqué aux 33 millions de personnes infectées par le VIH.
 
Des recherches supplémentaires sont nécessaires afin de transposer ce traitement sous une forme beaucoup moins dangereuse et plus accessible. Cela représente tout de même un grand espoir, car cela démontre qu’il serait possible de guérir du sida.
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Mettre de la glace sur une blessure l’empêche de guérir

Pendant des années, on a recommandé de mettre de la glace ou un sac de pois congelés sur une déchirure musculaire afin de réduire l’enflure. Une nouvelle étude affirme toutefois que cela nuit à la guérison.
 
L’inflammation des muscles serait essentielle dans le processus de réparation, selon les résultats de la recherche publiée dans le journal de la Fédération des sociétés américaines pour la biologie expérimentale.
 
Les scientifiques ont découvert la présence d’une protéine (IGF-1) qui est produite par les tissus endommagés après une blessure. C’est cette protéine qui aide à la guérison de la blessure et augmente le taux de régénération musculaire.
 
On souhaite donc pousser les recherches encore plus loin afin de découvrir les différents rôles joués par les tissus lors de l’inflammation. Ainsi, les médecins pourraient parvenir à se servir des effets positifs pour contrer les effets négatifs.
 
Si les recherches se confirment, cela mènerait à une nouvelle façon de guérir les personnes blessées.
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Un moyen d’accélérer la guérison de brûlures

Grâce à des chercheurs européens, des personnes victimes de brûlures pourraient voir leur guérison être grandement facilitée.
 
Cette équipe de scientifiques a créé un dispositif électronique capable de reconnaître les bactéries qui sont à l’origine des infections dans les plaies des victimes.
 
En ce moment, il faut au moins trois jours aux médecins pour identifier les bactéries présentes, alors que ce dispositif peut le faire en l’espace de quelques minutes seulement.
 
Les chercheurs ont identifié trois bactéries qui sont source de problèmes comme les staphylocoques, les streptocoques et les pseudomonas. Le dispositif est muni de capteurs de gaz qui tiennent compte des substances chimiques issues de ces bactéries nocives.
 
Les diagnostics précoces faciliteront donc maintenant la guérison des patients.
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Vers une meilleure guérison de l’hépatite C

L’ajout d’un antiviral nommé le booeprevir au traitement conventionnel contre l’hépatite C doublerait l’efficacité du traitement standard de la maladie, et donc, améliorerait grandement les chances de guérison.

Selon The Lancet, ce sont des chercheurs américains qui ont fait la découverte.

Habituellement, on utilise l’interféron pégylé et la ribavirine pour guérir l’hépatite C; avec le booeprevir, les chances de guérison sont doublées.

L’étude a été faite dans 67 hôpitaux aux États-Unis, au Canada et en Europe.

Cette découverte en est surtout une positive pour les personnes atteintes par le génotype 1 de la maladie, soit le plus difficile à traiter.

Rappelons que l’hépatite C touche 170 millions de personnes dans le monde, et qu’à long terme, elle peut provoquer la cirrhose et le cancer du foie.

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Vers une guérison des lésions de la moelle épinière

La moelle épinière est au cœur de la colonne vertébrale. Elle contient un réseau complexe qui relie le cerveau au corps avec des milliers de cellules nerveuses. Lors d’un accident, elle est rarement sectionnée, mais elle peut être compressée.
 
Ce genre de blessure laisse de graves séquelles. Près de la moitié des personnes qui en sont victimes lors d’un accident demeurent paraplégiques. De plus, elles sont longuement hospitalisées et leur réadaptation est coûteuse.
 
Le Science Translational Medicine mentionne que des chercheurs de l’Université du Maryland aux États-Unis ont découvert qu’en bloquant l’action d’un seul gène, on améliorait grandement le rétablissement à long terme.
 
La protéine Sur1 est activée par le gène ABCC8 lors d’une blessure à la moelle épinière. C’est un mécanisme de défense qui empêche la mort des neurones. Mais lors d’une blessure grave, il y a un dysfonctionnement et cela mène à une destruction des neurones.
 
En arrêtant l’action du gène ABCC8, les chercheurs ont réussi à freiner l’autodestruction des cellules nerveuses.
 
D’autres recherches seront nécessaires, ainsi que des tests sur des humains, mais on espère que cette nouvelle découverte pourra mener à de nouveaux traitements.
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Les microbes essentiels à la cicatrisation

Des dermatologues américains affirment que les microbes préviennent l’inflammation excessive après une blessure comme une coupure ou une éraflure.

Selon le professeur Richard Callo et ses collègues de l’École de médecine de l’Université de la Californie à San Diego, de nombreuses bactéries vivent à la surface de la peau et celles-ci jouent un rôle essentiel dans le maintien de la santé cutanée. Une trop grande propreté tue ces bactéries, affectant ainsi le processus de guérison.

Selon la revue Nature Medicine, les bactéries Staphylococci agissent dans la cicatrisation de la peau. Elles freinent la réaction trop forte du système immunitaire après une blessure, réduisant ainsi l’inflammation.

Cela vient appuyer la récente étude qui disait que les enfants avaient besoin de se salir pour être moins malades. De plus en plus, on a la preuve que l’exposition aux microbes dès la petite enfance renforce le système immunitaire et rend le corps plus résistant aux allergies notamment.

Ceci laisse également entrevoir que l’on aura une nouvelle approche dans le traitement des maladies inflammatoires de la peau dans le futur.