La bataille juridique que se livrent Kesha et Sony Music ne semble pas sur le point de se terminer.
La blonde chanteuse tente par tous les moyens de se défaire de son contrat qui la lie à Sony Music, mais surtout au controversé producteur Dr Luke, accusé par Kesha d’harcèlement psychologique et de contacts physiques déplacés.
Sur le plan légal, le clan Kesha allègue par ailleurs que les retards occasionnés par Sony Music sont en train de « ruiner son retour ».
Mais, selon Sony Music, Kesha n’a rien à craindre.
L’empire musical cite notamment Adele et Justin Timberlake comme des artistes « qui n’ont pas souffert d’une longue pause », et affirme avoir déjà investi 11 millions de dollars dans l’entreprise Kesha.
Aucun règlement à l’horizon, donc, pour l’interprète de We Die Young.
TMZ rapporte que Sony Music contre-attaque avec une poursuite, ce qui signifie que l’affaire pourrait trainer devant les tribunaux pour encore plusieurs mois, voire des années.