Étiquette : Guillaume Lemay-Thivierge

Les rires complices résonnaient ce matin dans le studio 70 de la maison de Radio-Canada. Dans une ambiance de pataugeoire, on allait boire un smoothie avec trois vieux amis qui présentaient leur nouveau projet, leur excuse pour se réunir et travailler ensemble à nouveau. Bain libre, c’est un balado de 10 épisodes d’une demi-heure animé par Guillaume Lemay-Thivierge, Vincent Bolduc et Jessica Barker, un trio réuni pour la première fois depuis la fin de Sur la piste, l’émission jeunesse de 1995 qui a fondé leur amitié.

Nos trois mousquetaires se sont retrouvés ensemble sur le plateau des Enfants de la télé et c’est ainsi qu’est né le désir de faire à nouveau une émission ensemble. Réunis, ils ont neuf enfants de deux à 19 ans qui les amènent à continuer de tisser des liens déjà bien solides entre eux. De là, le concept est venu naturellement : leurs discussions de salon sur leur progéniture sont transposées dans un format radio où se mêlent des souvenirs personnels et des visions différentes de l’éducation. Comment aborde-t-on les tâches ménagères avec nos petits? Les réseaux sociaux? L’environnement? Chaque épisode se penche sur un thème pour partir une réflexion qui commencera avec l’enfance et finira dans un spectre bien plus large.

De leur propre aveu, la dynamique à trois n’est pas toujours évidente (allô l’effet sandwich!) et c’était donc évident pour le trio qu’une quatrième personne devait se joindre à la table. Dans chaque épisode, donc, un invité (appelé une « bouée de sauvetage ») donnera son avis sur le sujet. Ça peut être un artiste, comme Martin Matte qui jasera de rectitude politique (et racontera une histoire rocambolesque impliquant Guillaume Lemay-Thivierge au volant d’un hydravion) ou Boucar Diouf qui parlera de devoirs (et en profitera pour s’étaler sur les champs d’arachides, comme seul lui sait le faire), un parent qui a vécu une expérience liée au sujet du jour, comme Mylène Martel et Martin Fleury qui ont passé un an sur un voilier en famille, ou encore un spécialiste du domaine, comme le thanatologue Louis-Simon Lamontagne de l’émission Les Croque-morts.

L’épisode consacré à la mort est d’ailleurs un excellent exemple de l’amitié sincère qui unit Vincent, Jessica et Guillaume, alors que ce dernier revient sur les derniers instants de sa mère. Tous trois ont été témoins de son dernier souffle et discutent de cette épreuve pour dériver sur l’annonce qui a dû être faite aux enfants. On en arrive ainsi à la grande question : comment gérer son deuil et celui de ses enfants à la fois?

C’est spontané, c’est vif, ce n’est pas scripté, c’est supporté par bien des recherches, ça appelle à notre nostalgie de Sur la piste et ça sera disponible à compter de ce jeudi 23 mai sur le site et l’application d’ICI Première. Et vous savez quoi? Nos trois amigos sont déjà partants pour une deuxième saison!

Il y a deux semaines, Guillaume Lemay-Thivierge a accepté de plaider coupable d’avoir amorcé des travaux sans permis afin de mettre fin aux procédures judiciaires qui l’opposaient à la Ville de Montréal pour une affaire qui datait de 2015. Aujourd’hui, Le Journal de Montréal révèle que l’acteur compte à son tour poursuivre la Ville.

Alors qu’il avait initialement reçu une amende de 53 000$, le montant a été réduit à 9 500$ lorsque le comédien a accepté de plaider coupable à une infraction moins grave (avoir entamé des travaux sans permis plutôt que d’avoir trop avancé la démolition sans autorisation) en avril dernier. Malgré tout, Guillaume Lemay-Thivierge soutient que la Ville de Montréal est dans le tort et veut réclamer le remboursement de ses frais d’avocats des quatre dernières années.

« Quand on entend l’affaire, ça sonne comme si j’avais obtenu de la clémence, alors qu’en fait, c’est la Ville qui s’était trompée dans l’évaluation du dossier », a expliqué le comédien au Journal avant d’ajouter que plusieurs se lancent dans les travaux avant même d’obtenir un permis de la Ville malgré le risque d’amende. « Ça rentre dans le budget des travaux », selon lui.

Il croit aussi que des personnes sont, comme lui, ciblées par la Ville pour « faire peur aux autres » et que des complications administratives sont à blâmer pour la réception tardive de son permis de démolition, à l’époque.

Une histoire à suivre…

L’ex-couple formé de Guillaume Lemay-Thivierge et Mariloup Wolfe pourra enfin tourner la page d’un chapitre pénible de leur vie; depuis 2015, les ex tentent en vain de faire annuler une amende de 53 000$ et voilà que TVA Nouvelles révèle que l’acteur a accepté de plaider coupable et devra plutôt débourser 9500$ afin de mettre cette affaire derrière lui.

En 2015, Mariloup et Guillaume avaient en effet entamé des travaux de démolition de leur résidence située sur le Plateau Mont-Royal avant de recevoir le permis de la ville, ce qui est illégal même s’ils ont obtenu le permis par la suite.

Ils écopaient alors d’une amende de 53 000$.

Après des années de bataille judiciaire, Guillaume Lemay-Thivierge a réclamé l’arrêt des procédures en invoquant des délais trop longs, mais sa requête n’a pas été acceptée.

Afin de mettre cette histoire derrière lui, il a finalement choisi de plaider coupable d’avoir amorcé des travaux sans permis – une infraction moins grave – et devra donc payer une amende de 9500$.

Puisqu’il a accepté de prendre tout le blâme, son ex-conjointe, Mariloup Wolfe, s’en tire indemne et n’aura pas à casser sa tirelire.

Alors qu’un jeune Guillaume Lemay-Thivierge faisait fondre le Québec, il s’est retrouvé en compagnie d’un certain René Lévesque, un souvenir que partage le comédien avec ses abonnés sur Instagram.

« Souvenir d’un petit Matou qui ne réalisait même pas la chance qu’il avait de rencontrer un si GRAND « Ti Poil », écrit avec une émotion que l’on devine sincère Lemay-Thivierge en légende de la superbe photo d’archive le mettant en vedette devant l’ancien premier ministre du Québec.

Un beau moment d’anthologie alors que le Québec vivait de grands changements, et qu’un petit comédien du nom de Guillaume Lemay-Thivierge voyait sa carrière décoller avec une performance remarquée dans le film Le matou, de Jean Beaudin.

La publication n’a d’ailleurs pas manqué de faire réagir plusieurs personnes, dont des personnalités comme Marina Orsini et Gino Chouinard, qui y sont allés de quelques commentaires en lien avec ce beau « throwback ».

Crédit photo: Capture TVA

Il a tellement une énergie constante et contagieuse qu’on peine à l’imaginer en père autoritaire et pourtant, c’est bel et bien ce qu’a confié Guillaume Lemay-Thivierge au magazine Échos Vedettes.

« Je suis un père assez sévère, mais je joue aussi énormément avec eux. J’essaie de faire de mon mieux. Au fond de moi, j’ai quand même de la misère avec l’autorité, parce que ça leur fait de la peine, mais je sais que c’est pour leur bien », confie le père de quatre enfants.

Il semblerait que le conjoint d’Émily Bégin, avec qui il a accueilli son petit dernier en 2017, arrive à trouver le difficile équilibre entre le fun et la discipline et on lui lève notre chapeau!

Rappelons qu’il est le papa de Théodore (2 ans), de Miro et Manoé (les deux garçons de 6 et 7 ans qu’il a eus avec son ex-conjointe Mariloup Wolfe) ainsi que de Charlie (avec qui il partage la scène pour la pièce de théâtre Fais-toi une belle vie).

Il révèle aussi que son rôle de père le remplit de bonheur et qu’il profite pleinement des moments passés avec toute sa gang:

« Je suis tellement heureux quand j’ai les quatre réunis à table autour de moi, même si, en raison de notre situation familiale, c’est rare! »

On le connaît principalement comme comédien, mais Guillaume Lemay-Thivierge cumule aussi à ce jour plusieurs expériences de réalisation pour les séries 30 vies, Unité 9 et Subito texto.

Fort de ces nouvelles compétences, on découvre dans le Journal de Montréal qu’il se lance dans la réalisation d’un premier film!

Guillaume réalisera en effet l’adaptation de la pièce de théâtre Fais-toi une belle vie, dans laquelle il joue aux côtés de sa conjointe et de sa fille, Émily Bégin et Charlie Lemay-Thivierge, mais aussi de Sandrine Bisson et François Chénier.

« J’ai juste assez d’expérience pour me dire que je suis capable, et je suis juste assez novice pour avoir l’inconscience d’embarquer là-dedans », a lancé en riant Guillaume au Journal.

Il ne se contente pas non plus de réaliser le film en question; il l’autoproduit et l’autofinance, le coscénarise avec François Chénier et y joue le rôle principal (comme dans la pièce).

Le tournage débutera en septembre.

Cette année encore, Guillaume Lemay-Thivierge est porte-parole du Challenge Blanc, un grand rallye de motoneige en pleine nature où les participants doivent parcourir 800 kilomètres hors piste en trois jours. Cette année, c’est du 14 au 16 février à La Tuque que se tient l’événement et le comédien qui n’a jamais peur de l’aventure est donc en train de vivre toute une expérience.

La Clique du Plateau nous rappelle que ce n’est probablement pas ben, ben dans l’esprit du Pacte, mais rappelons que Guillaume Lemay-Thivierge avait déjà été critiqué en novembre pour son support à l’initiative environnementale tout en étant porte-parole de Hyundai et qu’il semble bien vivre avec ses contradictions.

Et avec le défi auquel il est en train de participer, il montre bien combien il aime autant la nature que les machines qui le permettent de se dépasser!

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Prêt pour le Challenge blanc merci #morinsports 800 km hors piste organisé par Patrick Trahan #challengeblanc

Une publication partagée par Guillaume Lemay-Thivierge (@guillaumelemaythivierge) le 13 Févr. 2019 à 12 :02 PST