L’humoriste Guillaume Wagner faisait une blague sur la chanteuse Marie-Hélène Thibert qu’elle n’a pas du tout appréciée.
Wagner, qui présente son premier one man show, a dû s’expliquer avec la principale intéressée, qui a écrit une lettre sur sa page Facebook pour exprimer son indignation devant cette blague de mauvais goût à son sujet.
« Marie-Élaine Thibert est tellement laide que ça devrait être déductible d’impôt de la fourrer. GUILLAUME WAGNER, humoriste…? Je le dis haut et fort, je suis victime d’intimidation… J’ai été extrêmement blessée par ses propos, mais pas autant blessée que ma famille, mes amis et surtout mon amoureux qui est, je vous le dis, hors de lui en ce moment. Malheureusement, trop souvent, on banalise tout ça… plus rien n’est grave aujourd’hui… et pour avoir la paix, on se la ferme. Souvent, ces gens qui nous font du mal savent très bien que nous ne dirons rien… Et dans le milieu artistique, comme on ne veut jamais déplaire, on se la ferme… Alors aujourd’hui, je dénonce! », écrivait la chanteuse.
« S’attaquer directement à une femme — personnalité publique ou non — de façon aussi violente strictement sur un critère physique en y reliant en prime une connotation sexuelle dégradante POUR TOUTES LES FEMMES — voilà que ce gars ne vient pas de faire avancer les choses. Pathétique! », ajoutait-elle.
« Je tiens à te dire une chose cher Guillaume : dans notre showbiz, tous les gens que l’on fait chier quand on monte l’escalier du succès, on les revoit tous quand on le redescend. Tu m’as envoyé un email d’excuses et d’explications. Je salue ton courage… Mais à quoi ça sert quand je sais que tu vas continuer à faire cette “bonne blague” partout au Québec. »
Finalement, les choses semblent s’être arrangées, puisque plus tard, Marie-Hélène Thibert a écrit, toujours sur Facebook, qu’elle avait discuté avec Guillaume Wagner de vive voix.
« Avis à tous à propos de Guillaume Wagner : nous nous sommes jasé en tout respect, et il m’a dit qu’il enlèverait son sketch sur moi. Merci Guillaume, bon succès, sans rancune », conclut-elle.